Une fois n’est pas coutume, cependant, il serait bon de faire découvrir des stars, des artistes , des géants voir icones du cinéma Egyptien des années 50 / 60 / 70 et même certains sont encore des monuments du cinéma actifs ( comme M Adel Imam : Considéré comme LE monument du cinéma Egyptien en activité)
Des photos d’une époque. Cependant, à noter que le cinéma Egyptien regorge d’artistes jeunes, modernes et très talentueux. Dans cet article, nous avons préféré aborder certains ( une infime partie, pour être honnête) acteurs, comédiens qui ont marqué le cinéma Egyptien : Cinéma Egyptien voire Panarabe , étant donné que les films Egyptiens représentaient à cette époque ( et à jour même ) plus de 80% du cinéma de tous les pays de la région. Ces films, ces stars :Leur notoriété recouvrait tous les pays du Machrek ( Cad d’orient : à l’Est de l’Egypte: Cad : Liban, Jordanie, Irak, Arabie, Emirats etc…) aussi bien que du Maghreb ( la partie occidentale : A l’ouest de L’Egypte : Le maghreb (Maroc….)
Nous pouvons reconnaitre : Adel Imam, Omar Shariff, ( qui n’est plus à présenter en occident évidemment puisqu’il a joué dans des dizaines de film de cinéma dont Docteur Jivago ou d’autres films français ) , Faten Hamama, Madiha Kamel, Hussein Fahmi, Najlaa Fathi, Shams el Baroudy, Souad Husni, Hassan Youssef, Jamil Rateb le Franco Egyptien ( ayant joué dans plusieurs séries et films en France / Belgique)
Charles Spencer Chaplin, dit Charlie Chaplin , né le 16 avril 1889 probablement à Londres (Royaume-Uni) et mort le 25 décembre 1977 à Corsier-sur-Vevey (Suisse), est un acteur, réalisateur, scénariste, producteur et compositeur britannique.
Devenu une idole du cinéma muet à partir du milieu des années 1910, et plus particulièrement du burlesque, grâce à son personnage de Charlot (désigné simplement comme « the tramp » — le vagabond — dans les versions originales), il acquiert ensuite une notoriété et une reconnaissance plus large pour ses performances d’acteur comme pour ses réalisations. Durant une carrière longue de 65 ans, il joue dans plus de 80 films. Sa vie publique et privée, ainsi que ses prises de position, font par ailleurs l’objet d’adulations comme de controverses.
Chaplin grandit dans la misère entre un père absent et une mère en grandes difficultés financières, tous deux artistes de music-hall, qui se séparent deux ans après sa naissance. Plus tard, sa mère est internée à l’hôpital psychiatrique alors que son fils a quatorze ans. À l’âge de cinq ans, il fait sa première apparition sur scène. Il commence très tôt à se produire dans des music-halls et devient rapidement acteur. À 19 ans, il est remarqué par l’imprésario Fred Karno et réalise une tournée aux États-Unis. Il joue au cinéma pour la première fois en 1914 dans le film Pour gagner sa vie et travaille avec les sociétés de production Essanay, Mutual et First National. En 1918, il est l’une des personnalités les plus connues au monde.
En 1919, Chaplin cofonde la société United Artists et obtient ainsi le contrôle total sur ses œuvres. Parmi ses premiers longs-métrages figurent Charlot soldat (1918), Le Kid (1921), L’Opinion publique (1923), La Ruée vers l’or (1925) et Le Cirque (1928). Il refuse de passer au cinéma sonore et continue de produire des films muets dans les années 1930, comme Les Lumières de la ville (1931) et Les Temps modernes (1936). Ses œuvres deviennent ensuite plus politiques, avec notamment Le Dictateur (1940), dans lequel il se moque d’Hitler et de Mussolini. Sa popularité décline dans les années 1940 en raison de controverses au sujet de ses liaisons avec des femmes bien plus jeunes que lui et d’un procès en reconnaissance de paternité. Chaplin est également accusé de sympathies communistes et les enquêtes du FBI et du Congrès lui font perdre son visa américain. Il choisit de s’établir en Suisse en 1952. Il abandonne son personnage de Charlot dans ses derniers films, dont Monsieur Verdoux (1947), Les Feux de la rampe (1952), Un roi à New York (1957) et La Comtesse de Hong-Kong (1967).
Chaplin écrit, réalise et produit la plupart de ses films, en plus d’y jouer et d’en composer la musique. Il est perfectionniste et son indépendance financière lui permet de consacrer plusieurs années au développement de chacune de ses œuvres. Bien qu’étant des comédies de type slapstick, ses films intègrent des éléments de pathos et sont marqués par des thèmes sociaux et politiques ainsi que par des éléments autobiographiques. En 1972, l’Academy of Motion Picture Arts and Sciences lui a remis un Oscar d’honneur pour sa contribution inestimable à l’industrie cinématographique et plusieurs de ses œuvres sont aujourd’hui considérées comme faisant partie des plus grands films de tous les temps.
Même si Chaplin a encore des projets de film, sa santé devient très fragile dans le milieu des années 1970. Plusieurs affectent son élocution et il doit utiliser un fauteuil roulant.
Parmi ses dernières réalisations figurent la création d’une autobiographie en images, My Life in Pictures (1974) et la resonorisation de L’Opinion publique en 1976 Il apparaît également dans un documentaire sur sa vie, The Gentleman Tramp (1975), réalisé par Richard Patterson. En 1975, la reine Élisabeth II le fait chevalier.
En octobre 1977, la santé de Chaplin s’est détériorée au point qu’il demande une attention de tous les instants Il meurt d’un AVC dans son sommeil le matin du 25 décembre 1977, à l’âge de 88 ans. Selon ses dernières volontés, une petite cérémonie funéraire anglicane est organisée le 27 décembre et il est inhumé dans le cimetière de Corsier-sur-Vevey Parmi les hommages du monde du cinéma, le réalisateur René Clair écrit : « il était un monument du cinéma » ; l’acteur Bob Hope a quant à lui déclaré : « nous avons eu de la chance de vivre à son époque ».
Le 1er mars 1978, le cercueil de Chaplin est exhumé et volé par deux mécaniciens automobiles, un Polonais, Roman Wardas, et un Bulgare, Gantcho Ganev. Leur but est d’extorquer une rançon de cent mille francs suisses à Oona Chaplin afin de pouvoir ouvrir plus tard un garage automobile. Ils sont arrêtés lors d’une vaste opération de police le 17 mai 1978 et le cercueil est retrouvé enterré dans un champ de maïs près du village voisin de Noville. Il est réenterré dans le cimetière de Corsier-sur-Vevey et un caveau en béton armé est ajouté pour empêcher tout nouvel incident.
En 2006, Benny Hill est élu 17e plus grande star de la télévision anglaise par le public britannique.
Il est notamment connu pour son émission télévisée de comédie intitulée The Benny Hill Show, diffusée en Grande-Bretagne de 1955 à 1989 et qui figurait parmi les programmes les plus regardés au Royaume-Uni, avec un pic d’audience de plus de 21 millions de personnes en 1971
Alfred Hawthorn Hill est le fils d’Alfred Hawthorne Hill (1893-1972) et d’Helen Florence Cave (1894-1976). Son grand-père Henry Hill et son père étaient clowns de cirque. Avec son frère, il fréquente le collège de Taunton à Southampton. Pendant la Seconde Guerre mondiale, Alfred, que l’on surnomme Alfie, est envoyé à l’École de Bournemouth. Pendant cette période, il fait partie de la troupe Stars in Battledress dont les membres font partie des forces armées britanniques et qui sont chargés de divertir les troupes de l’armée pour maintenir le moral des soldats durant le conflit. Après avoir terminé ses études, il trouve du travail comme laitier à Eastleigh, puis comme opérateur de pont, chauffeur et finit par mettre un pied dans l’industrie du spectacle en devenant assistant de metteur en scène.
Ayant le théâtre pour objectif, il choisit de changer son prénom en Benny, en hommage à son comédien préféré, Jack Benny. Il est auditionné pour le Windmill Theatre de Soho, connu pour Revudeville, un spectacle populaire mélangeant chanteurs, comédiens et filles nues, mais il n’est pas engagé. Il décroche son premier rôle dans Straight man de Reg Varney, à la place de Peter Sellers, alors inconnu.
Après avoir travaillé comme animateur de radio, il fait sa première apparition à la télévision en 1949 dans l’émission Hi There. Il continue à travailler par intermittence, jusqu’à ce que sa carrière décolle avec The Benny Hill Show qui est diffusée pour la première fois le 15janvier1955 sur la chaîne de télévision de la BBC. Il s’entoure de comédiens récurrents comme Patricia Hayes, Jeremy Hawk, Peter Vernon, Ronnie Brody ainsi que le coauteur de l’émission, du milieu des années 1950 jusqu’au début des années 1960, Dave Freeman. Benny Hill reste sur la BBC jusqu’à fin 1968, malgré quelques infidélités avec la chaîne de télévision indépendante ATV(en) de 1957 à 1960, puis à nouveau en 1967. De 1962 à 1963, il produit une sitcom, Benny Hill, dans laquelle il joue un personnage différent à chaque épisode. Il anime également une émission de radio de courte durée, Benny Hill Time, diffusée sur les ondes de la BBC de 1964 à 1966. En 1964, il interprète Nick Bottom dans l’adaptation télévisuelle du Songe d’une nuit d’été de William Shakespeare.
Son émission est diffusée et produite d’abord par la BBC dès 1955, puis la diffusion s’alterne entre la BBC et ITV (où elle est produite par Thames Television ou ATV selon les saisons) pour les saisons suivantes. Elle durera trente quatre ans, s’arrêtant en 1989 après une émission spéciale6. On y retrouve à chaque épisode les courses poursuites en accéléré sur le thème de Yakety Sax, ponctuées par La Lettre à Élise de Beethoven ou la mélodie de la chanson Bruxelles de Jacques Brel, des batailles de tartes à la crème et d’autres formes d’humour potache. Les autres thèmes musicaux récurrents de la série sont le Benny Hill Waltz en accéléré de Paul Lewis ainsi que Mahna Mahna de Piero Umiliani et, moins connu, Gimme Dat Ding du groupe The Pipkins. La série fut taxée de sexisme dans les années 607.
Benny Hill est entouré de comédiens, musiciens et mannequins dont certains de manière récurrente , comme Jackie Wright (1905-1989) qui joue le rôle du petit vieux martyrisé par ses compagnons, Bob Todd (1921-1992) qui tient divers rôles secondaires dont celui du serveur ou du valet, Henry McGee (1929-2006) dans divers rôles secondaires, souvent à l’élégante moustache, comme ceux de Bobb Todd, Nicholas Parsons (1923-2020) que l’on voit dans divers rôles entre 1969 et 1974 et Sue Upton, une danseuse des Hill’s Angels et interprète de divers rôles entre 1977 et 1989.
En France, l’émission de la BBC est diffusée à partir du 8septembre1965 sur l’ORTF. Les émissions de Thames Television sont diffusées tous les dimanches à 20h du 14septembre1980 jusqu’au 10septembre2000 sur FR3 puis France 3. L’émission Spécial Benny Hill diffusée le 2janvier1992 nous montre la rencontre de Benny Hill et de l’acteur Roger Carel qui fut faite en 1991 et qui lui prête sa voix en français
La santé de Benny Hill commença à décliner à la fin des années 1980. Après une légère crise cardiaque le 24 février 1992, les médecins lui ont dit qu’il avait besoin de perdre du poids et ont recommandé un pontage coronarien. Il a refusé, et une semaine plus tard, on a découvert qu’il souffrait d’insuffisance rénale. Il décède à l’âge de 68 ans le 20 avril 1992. Le 22 avril 1992, après plusieurs jours d’appels téléphoniques sans réponse, il est retrouvé mort dans son fauteuil devant la télévision. La cause du décès est une thrombose coronarienne. Benny Hill est enterré au cimetière Hollybrook près de son lieu de naissance à Southampton, le 26 avril 1992.
Dans la nuit du 4 octobre 1992, à la suite de spéculations dans les médias selon lesquelles Benny Hill avait été enterré avec une grande quantité d’or et de bijoux, des pilleurs de tombes ont fouillé sa tombe et ont ouvert le cercueil. La tombe ouverte fut remarquée par un passant, le lendemain matin. Après un examen policier de la scène, le cercueil a été refermé et la tombe remblayée par les employés du cimetière, et par mesure de sécurité, une dalle de béton de 30 cm d’épaisseur a été placée dessus.
Benny Hill était un travailleur compulsif et comptait peu d’amis. Il ne s’est jamais marié, bien qu’il l’ait proposé à deux femmes mais il essuya un refus à chaque fois.
Il n’a jamais possédé de maison, ni même de voiture, il n’aimait pas dépenser son argent. Sa mère, Helen, vécut avec lui jusqu’à sa mort en 1976. Il déménagea ensuite à Teddington où il loua un petit appartement, dont la proximité avec les studios de Thames Television (ITV) où étaient enregistrées ses émissions lui permettait de s’y rendre à pieds. Les voyages étaient le seul luxe qu’il s’autorisait.
Il devint véritablement francophile. Il se rendait fréquemment à Marseille et, jusqu’aux années 1980, il put apprécier l’anonymat des terrasses de café français, des transports publics et sympathiser avec les habitants. En plus de maîtriser le français, Benny parlait aussi allemand, néerlandais et italien.
Benny Hill était un parent de la chanteuse et actrice australienne Holly Valance (le cousin de Benny étant le grand-père de Holly).
Rachel Green interprétée par Jennifer AnistonAmie de Monica au lycée, elle est issue d’une famille aisée, qu’elle abandonne dans le premier épisode après avoir quitté son fiancé devant l’autel. Elle a pour colocataires successifs Monica, Phoebe, Joey, Ross et Chandler. Elle entretient une relation compliquée avec Ross, qui est brièvement son époux et dont elle a une fille, Emma. Après avoir longtemps été serveuse au café Central Perk, elle se lance dans le monde de la mode et travaille chez Bloomingdale’s, puis chez Ralph Lauren. Lors de la dernière saison on lui offre un travail à Louis Vuitton mais pour cela elle doit déménager à Paris. Elle finit par refuser pour être avec Ross.
Monica Geller interprétée par Courteney Cox, sœur de Ross et anciennement obèse, toujours maniaque de l’ordre et de la propreté, elle devient chef cuisinier dans différents restaurants, dont l’Alessandro. Après avoir partagé son appartement avec Phoebe, elle devient la colocataire de Rachel. Monica a une relation avec Richard Burke, un ami de longue date de sa famille, de vingt-et-un ans son aîné. Ils ont une forte et longue relation jusqu’à ce que Richard avoue qu’il ne souhaite plus avoir d’enfants, au grand dam de Monica. Elle épouse Chandler, avec qui elle adopte des jumeaux : Jack et Erica, Jack est le prénom du père de Monica et Erica est le prénom de leur mère biologique. Elle emménage en périphérie de New York avec son mari et ses enfants dans l’ultime épisode.
Phoebe Buffay interprétée par Lisa KudrowAncienne colocataire de Monica, elle est brièvement la colocataire de Rachel avant que son appartement ne brûle. Son passé semble agité : elle a vécu dans la rue après le suicide de sa mère et son père s’est enfui. Elle a une sœur jumelle, Ursula, avec qui elle ne s’entend pas et un demi frère, Frank junior. D’un naturel cependant joyeux et anticonformiste, elle est masseuse et chanteuse amatrice au Central Perk. Elle est connue pour sa chanson Smelly Cat. Elle est la mère porteuse des triplés de son frère et d’Alice nommé Frank Jr Jr, Leslie et Chandler. Phoebe a trois relations sérieuses : David, un scientifique, avec qui elle rompt quand il déménage à Minsk pour y faire des recherches ; Gary, un policier dont elle a trouvé l’insigne ; et Mike Hannigan, un pianiste avec qui elle se marie dans la dernière saison.
Joey Tribbiani interprété par Matt LeBlancColocataire de Chandler, son meilleur ami, puis de Rachel, avec laquelle il a une brève liaison. Issu d’une famille italo-américaine nombreuse, il exerce le métier d’acteur sans faire preuve d’un grand talent. Le sommet de sa carrière est le rôle du Dr. Drake Ramoray dans le soap opera Les Jours de notre vie (Days of our lives). Bien qu’il ne soit pas très intelligent, il accumule les conquêtes féminines, auxquelles il ne s’attache d’ailleurs que très rarement. Il a tout de même, brièvement, le béguin pour Rachel.
Chandler Bing interprété par Matthew PerryColocataire de Joey dans les premières saisons, c’est un ami de longue date de Ross, dont il épouse la sœur, Monica. Même après son mariage, il est souvent l’objet de malentendus concernant ses orientations sexuelles, en raison de son attitude jugée peu virile. Il exerce un métier ennuyeux, à l’intitulé imprécis (on sait tout juste qu’il travaille dans la « reconfiguration de données » et la « facturation statistique »), avant de se réorienter dans la publicité. Son père est une femme trans meneuse de revue à Las Vegas et sa mère écrit des best-sellers érotiques. Depuis le divorce de ses parents, il utilise l’humour sarcastique comme arme de défense. Il assiste à la séparation de ses parents jeune. Il semble appartenir à une famille aisée et fréquente un lycée privé pour garçons. Il a pendant longtemps un problème avec le mariage et le fait d’avoir des enfants, mais finit par en avoir envie lors de sa relation avec Monica. Ils adoptent deux enfants : Jack Bing, nommé d’après son grand père maternel et Erica Bing, nommée d’après la mère biologique des jumeaux.
Ross Geller interprété par David SchwimmerFrère de Monica et ami de Chandler depuis l’université. Il est paléontologue, métier qui le passionne mais qui ennuie profondément ses amis. Il est marié et divorcé trois fois : avec Carol, une lesbienne avec qui il a un fils, Ben ; puis avec Emily, une anglaise avec qui il entretient une relation de quelques mois qui débouche sur un mariage lors duquel il prononce le mauvais prénom à l’autel ; enfin avec Rachel, épousée lors d’une cuite à Las Vegas. Après leur divorce, Ross et Rachel ont ensemble une fille, Emma, avant de se remettre ensemble à la fin de la série.
Autres personnages récurrents
D’autres personnages apparaissent fréquemment. Parmi ceux apparaissant le plus souvent11, citons :
GuntherTravaillant au Central Perk (comme gérant), c’est le personnage le plus fréquemment présent de la série en dehors des six acteurs principaux. Amoureux de Rachel, il se montre aigre avec ses prétendants, en particulier Ross, qu’il ne supporte pas.
Amy GreenComme sœur la plus jeune de Rachel Green, elle apparaît dans deux épisodes de Friends. Au cours de ses apparitions, Amy est représentée comme étant une personne désagréable, abrasive, amorale et totalement antipathique.Jack et Judy GellerLes parents de Monica et Ross. Ils adulent Ross et sont souvent odieux avec Monica au point d’oublier parfois son existence. Tandis que Judy rabaisse tout le temps sa fille, Jack le fait beaucoup plus involontairement et cherche maladroitement à se rattraper lorsqu’il s’en aperçoit : en lui offrant sa Porsche par exemple.
Janice Littman Guralnick Ancienne petite amie de Chandler, elle apparaît à chaque saison. Sa voix et surtout son rire sont horripilants. Sa phrase Oh my god ! (Oh mon dieu ! en français) est répétée à maintes reprises lorsqu’elle est étonnée. Joey ne la supporte pas, et elle aura une brève relation avec Ross. Au cours de la série, elle aura trois maris (dont un sourd), et aura deux enfants, un avec son premier mari et un avec le dernier. Avant que Chandler se soit marié avec Monica, ils se remettront fréquemment ensemble, souvent contre la volonté de celui-ci.Julie
Petite amie de Ross durant la fin de la saison 1 et la saison 2. Ross fait sa rencontre lors d’un voyage en Chine et Rachel supporte mal l’arrivée de cette rivale.Estelle LeonardAgent de Joey, elle entretient un look extravagant (maquillage à outrance, vêtements léopards, cigarettes à la chaîne) malgré son âge sans doute bien avancé. C’est grâce à elle que Joey a eu son rôle du célèbre docteur Drake Ramoray dans la série Days of our lives (Les Jours de notre vie en français). Dépendante à la cigarette, elle meurt d’une embolie pulmonaire dans la saison 10.
Elle a décidé de divorcer quand elle a découvert qu’elle était lesbienne et vit désormais en couple avec une femme, Susan Bunch. Dans la première saison, Carol accouche de Ben, le fils de Ross, conçu avant leur divorce, qu’elle élèvera avec Susan. Ross est en bons rapports avec Carol, mais il ne supporte pas Susan.Emma Geller GreenLa fille de Rachel et Ross, née à la fin de la huitième saison. On peut notamment retenir d’elle qu’elle a prononcé son premier mot au téléphone à Rachel et que ce mot est « gleba ». Lorsque Rachel lit la définition de ce mot, Ross devient très content à l’idée de voir en sa petite fille une future scientifique et ce, en laissant Rachel perplexe.
Ben Geller Le fils de Ross et Carole, né à la fin de la 1re saison. Ben est très gaffeur et imaginatif. Lorsque Rachel le garde, elle apprend à Ben des tas de bêtises ce qui laisse Ross perplexe. Le prénom a été trouvé grâce à Phoebe, qui a porté l’uniforme d’un certain Ben alors qu’elle était coincée avec Susan et Ross pendant que Carole accouchait.
Ursula Buffay Sœur jumelle de Phoebe. Serveuse dans un café, elle est, durant une courte période, star de films X sous le nom de sa sœur jumelle. Malgré leur lien de parenté, les deux sœurs sont très distantes l’une de l’autre et ne se ressemblent que physiquement. Ursula apparaît en effet comme un personnage peu sympathique, malhonnête et menteur. Elle sortira momentanément avec Joey.
Quand Phoebe le rencontre il est célibataire et a pour passion de brûler des objets, puis il épousera son professeur, Alice, qui a 30 ans de plus que lui et avec qui il élèvera trois enfants : Leslie, Frank Junior Junior et Chandler (le dernier étant une fille, contrairement à ce que son prénom pourrait laisser penser). Alice et Frank ne pouvant avoir d’enfants, c’est Phoebe qui sera la mère porteuse des triplés.
Mike Hannigan Ancien avocat devenu pianiste, Mike apparaît pour la première fois dans la saison 9, en tant que petit ami de Phoebe. C’est par l’intermédiaire de Joey qu’ils se sont rencontrés, par hasard. Échaudé par un divorce, Mike refuse dans un premier temps de se marier avec Phoebe, mais après une brève rupture, change d’avis. Ils se marient dans la saison 10 et annoncent vouloir un enfant.
Richard BurkePetit ami de Monica lors de la saison 2, c’est un vieil ami de son père Jack Geller. Dans la saison 3 elle décide de rompre avec lui car il ne veut pas avoir d’enfants. Mais il se rend compte, trop tard, qu’il est toujours amoureux d’elle. Il a une fille, Michèle, et un fils, Timothy, avec qui Monica va sortir, mais leur liaison ne dure pas, car « il embrasse comme son père ».
Emily WalthamSeconde femme de Ross. Ce dernier ayant prononcé le nom de Rachel à la place du sien lors de leur mariage, ils se séparèrent pour de bon quelques épisodes plus tard. En effet, Emily annonce à Ross qu’elle est prête à faire fonctionner leur mariage à condition qu’il ne voie plus Rachel, ce qu’il refuse.DavidEx petit-ami de Phoebe rencontré dans la saison 1, il apparaît plusieurs fois au fil des saisons. En raison d’un de ses projets scientifiques impliquant son départ pour Minsk, Phoebe et lui durent se séparer. Dans la saison 9, il retourne à New-York pour de bon et se remet avec Phoebe, alors séparée de Mike. Il demande en mariage Phoebe mais est interrompu par Mike, qui annonce à cette dernière qu’il veut se marier avec elle.
Eddie Minowick Interprété par Adam Goldberg apparaissant au cours de la saison 2, épisodes 17, 18 et 19 , il a « remplacé » Joey quand ce dernier partit pour un autre appartement, rapidement on remarque qu’Eddie est bizarre, ce qui poussa Chandler à le faire partir.
Charlie WheelerProfesseur de paléontologie, elle apparaît dans les saisons 9 et 10. Ayant d’abord eu une relation avec Joey, ils décident de rompre pendant leur séjour à la Barbade. Elle se mettra ensuite à avoir une relation avec Ross pendant quelques épisodes avant de retourner avec son ancien petit ami dans l’épisode 6 de la saison 10, « Celui qui a failli avoir la subvention ».
Bernard Tapie, né le 26 janvier 1943 dans le 20e arrondissement de Paris et mort le 3 octobre 2021 dans le 7e arrondissement de Paris, est un homme d’affaires et homme politique français.
REUSSIE SA VIE : CHANSON INTERPRETÉE PAR BERNARD TAPIE
Il est dirigeant d’un groupe d’entreprises, notamment propriétaire d’Adidas et de l’Olympique de Marseille, gérant du Groupe Bernard Tapie et propriétaire du Groupe La Provence, qui édite le journal du même nom, ainsi que Corse-Matin.
Dans les années 1990, engagé en politique en tant que radical de gauche, il est deux fois ministre de la Ville au sein du gouvernement Bérégovoy, député des Bouches-du-Rhône à deux reprises, député européen (sa liste obtient 12 % aux élections de 1994) ainsi que conseiller général des Bouches-du-Rhône.
Bernard Tapie naît le 26 janvier 1943 dans le 20e arrondissement de Paris Il est le fils de Jean-Baptiste Tapie (1920-2010), ouvrier ajusteur-fraiseur puis frigoriste puis patron de PME, né le 18 juillet 1920 à Niaux, en Ariège, d’une famille paysanne pauvre et de Raymonde Nodot (1920-2013), aide-soignante. Son grand-père Léonce (1890-1964), cheminot natif de Villeneuve-d’Olmes, s’était installé en 1923 avec sa famille au Blanc-Mesnil, dans la banlieue nord de Paris.
Il s’invente un cursus scolaire qui aboutit à l’école d’électricité industrielle de Paris et l’obtention d’un diplôme de technicien en électronique alors qu’il « a vraisemblablement pour seul bagage un certificat d’études primaires ».
Outre ce parcours scolaire romancé, il « perpétuera la tradition du mensonge dans d’autres domaines pour se concocter un itinéraire décent et aguicheur » selon le journaliste Christophe Bouchet.
Il effectue son service militaire au 93e régiment d’infanterie au camp de Frileuse, dans le département des Yvelines. Il rejoint les EOR à Montpellier mais échoue aux examens pour devenir officier et quitte l’armée en octobre 1963
Il tente une carrière dans le cinéma et le théâtre, sous le nom de Bernard Pascal, puis une carrière de chanteur chez RCA sous le nom de Bernard TapyNote , sans succès. Il poursuit le façonnage de sa succes story en s’inventant une carrière d’ingénieur chez Panhard (il n’y est que prospecteur) et de coureur automobilede Formule 3 chez Matra, carrière à laquelle il renonce après un accident dans une Lotus qui le laisse quasiment indemne (et non trois jours dans le coma comme le rappellent les médias). Il aurait trouvé sa voie dans les affaires par la suite
Dès qu’il apprend être atteint d’un cancer de l’estomac en septembre 2017, Bernard Tapie décide de médiatiser sa maladie. Il subit des traitements de chimiothérapie et, en janvier 2018, une lourde intervention chirurgicale. La même année, il annonce qu’il souffre d’un double cancer de l’œsophage et de l’estomac En novembre 2019, il déclare que son cancer s’est étendu aux poumons tout en refusant de se dire en phase terminale En avril 2021, il évoque avoir également des atteintes aux reins et au cerveau
Bernard Tapie meurt le 3 octobre 2021 à 8 h 40, dans son hôtel particulier situé au 52, rue des Saints-Pères à Paris, des suites de son cancer métastasé, à l’âge de 78 ans
M. BERNARD TAPIE. RIP
Après cette annonce, des acteurs, politiques et sportifs lui rendent hommage, saluant son courage et sa combativité. Une chapelle ardente se tient au milieu de la pelouse du stade Vélodrome le 7 octobre : son cercueil y est exposé et près de 5 000 personnes viennent lui rendre hommage Le lendemain, ses funérailles ont lieu en la cathédrale Sainte-Marie-Majeure de Marseille Il est inhumé au cimetière de Mazargues, situé dans le septième arrondissement de Marseille
Vie privée et familiale
Bernard Tapie épouse en 1964 Michèle Layec avec qui il a une fille Nathalie et un fils Stéphane, animateur, producteur et acteur En secondes noces, il s’unit le 23 mai 1987 à Corfou (Grèce)108 à Dominique Mialet-Damianos, d’origine grecque, avec qui il a une fille, Sophie, chanteuse et comédienne, et un fils, Laurent. Il achète l’hôtel de Cavoye du 52 rue des Saints-Pères, à Paris, où il vit avec sa famille. Son frère cadet, Jean-Claude, ancien président du club de handball OM-Vitrolles (1991-1996)109, est président-directeur général de Massilia International.
À partir de 1999, il réside (principalement le week-end) dans une résidence secondaire dite « moulin du Breuil » située à Combs-la-Ville (Seine-et-Marne). Il achète cette propriété en 2010 à travers une société anglaise. Dans la nuit du 3 au 4 avril 2021, lui et son épouse sont victimes d’un cambriolage de leur domicile à Combs-la-Ville au cours duquel ils sont violentés et ligotés110. Des photographies du couple tuméfié sont ensuite publiées dans la presse
Œuvres et activités artistiques
Discographie
1966 : Je ne crois plus les filles, Avait-il tort ?, Le retour, Vite un verre
1966 : Passeport pour le soleil, Sauve qui peut, L’Enfant de ma vie, Je les aime toutes
1966 : Tu l’oublieras, My little black, Pour de rire pour de vrai, Les pistonnés
1985 : reprise de la chanson Le Blues du businessman
1985 : Je t’interdis, en collaboration avec Didier Barbelivien
1998 : collaboration avec le chanteur français Doc Gynéco à la chanson C’est beau la vie, qu’ils produisent en duo
Filmographie
Cinéma
1996 : Hommes, femmes, mode d’emploi de Claude Lelouch : Benoit Blanc
Télévision
2001 : Cazas, téléfilm d’Yves Boisset : Philippe Cazas
2003-2008 : Commissaire Valence (série télévisée) : le commissaire Pierre Valence
2005 : Un beau salaud, téléfilm d’Éric Civanyan : François Dumoulin
Théâtre
2001 : Vol au-dessus d’un nid de coucou d’après la pièce de Dale Wasserman adaptée par Robert Cordier, théâtre de Paris
2004 : Un beau salaud de Pierre Chesnot avec Agnès Soral, théâtre de Paris
2008 : Oscar de Claude Magnier avec Chantal Ladesou, théâtre de Paris (une captation de cette pièce a été diffusée à la télévision)
2012 : Les Montagnes russes d’Éric Assous avec Romane Portail, théâtre Comédia
Publications
1986 : Gagner, Paris, Robert Laffont, 258 p. (ISBN 2-221-04784-2)
1994 : De l’énergie pour l’Europe, préface de Jean-François Hory, Paris, Les Éditions radicales, 111 p. (ISBN 2-910415-00-7)
1995 : Parole(s) de Tapie !, [réunies par] William Reymond [et illustrées par] Cabu, Paris, Albin Michel, 136 p. (ISBN 2-226-07612-3) [la couverture porte en plus : Le bêtisier de Nanard-La-Combine]
1998 : Librement, Paris, Plon, 310 p. (ISBN 2-259-18631-9)
2000 : Des yeux trop grands : roman, Paris, Plon, 308 p. (ISBN 2-259-19074-X)
2013 : Un scandale d’État, oui ! : mais pas celui qu’ils vous racontent, Paris, Plon, 229 p. (ISBN 978-2-259-22155-9)
Au Bébête show (1982-1995), il est représenté en taureau, appelé « Tapie violent ».
Dans Les Guignols de l’info (1988-2015), Bernard Tapie est le premier représentant régulier du monde du football, puis intervient par la suite sur les sujets d’actualité les plus divers ; il est caricaturé comme une « grande gueule sûre d’elle » et a pour gimmick de s’autoproclamer « sévèrement burné » Brocardé pour sa gouaille verbale (se nommant lui-même « Nanard »).
En 1992, il est parodié dans la chanson La Combine à Nanard, popularisant l’expression qui représente bien son image à ce moment-là. Dans son ouvrage Librement (1998), il s’affirme très différent de cette caricature, ajoutant qu’il trouve l’image qu’on présente de lui détestable.
SOURCES : WIKIPEDIA/BRUT (VIDEO) /LES GUIGNOLS DE L’INFO (VIDEO)
In the pilot episode, “The Lady in the Bottle”, astronaut Captain Tony Nelson, United States Air Force, is on a space flight when his one-man capsule Stardust One comes down far from the planned recovery area, near a deserted island in the South Pacific.
I DREAM OF JEANNIE
On the beach, Tony notices a strange bottle that rolls by itself. When he rubs it after removing the stopper, smoke starts shooting out and a Persian-speaking female genie materializes and kisses Tony on the lips, shocking him.
They cannot understand each other until Tony expresses his wish that Jeannie (a homophone of genie) could speak English, which she then does. Then, per his instructions, she “blinks” and causes a recovery helicopter to show up to rescue Tony, who is so grateful, he tells her she is free, but Jeannie, who has fallen in love with Tony at first sight after being trapped for 2,000 years, re-enters her bottle and rolls it into Tony’s duffel bag so she can accompany him back home.
One of the first things Jeannie does, in a subsequent episode, is break up Tony’s engagement to his commanding general’s daughter, Melissa, who, along with that particular general, is never seen or mentioned again. This event reflects producer Sidney Sheldon’s decision that the engagement depicted in the pilot episode would not be part of the series continuity; he realized the romantic triangle he created between Jeannie, Tony, and Melissa would not pan out in the long run.
Tony at first keeps Jeannie in her bottle most of the time, but he finally relents and allows her to enjoy a life of her own. However, her life is devoted mostly to his, and most of their problems stem from her love and affection towards Tony, and her desire to please him and fulfill her ancient heritage as a genie, especially when he does not want her to do so.
I dream of jeannie / Barbara Eden
His efforts to cover up Jeannie’s antics, because of his fear that he would be dismissed from the space program if her existence were known, brings him to the attention of NASA’s resident psychiatrist, U.S. Air Force Colonel Dr. Alfred Bellows. In a running gag, Dr. Bellows tries over and over to prove to his superiors that Tony is either crazy or hiding something, but he is always foiled (“He’s done it to me again!”) and Tony’s job remains secure.
A frequently used plot device is that Jeannie loses her powers when she is confined in a closed space. She is unable to leave her bottle when it is corked, and under certain circumstances, the person who removed the cork would become her new master. A multiple-episode story arc involves Jeannie (in miniature) becoming trapped in a safe when it is accidentally locked.Eden with husband Michael Ansara as The Blue Djinn (1966)
Tony’s best friend and fellow astronaut, United StatesArmy Corps of Engineers Captain Roger Healey, does not know about Jeannie for several episodes; when he finds out (in the episode “The Richest Astronaut in the Whole Wide World” [January 15, 1966]), he steals her so he can live in luxury, but not for long before Tony reclaims his status as Jeannie’s master.
Roger is often shown as girl-crazy or scheming to make a quick buck. He occasionally has hopes to claim Jeannie so he can use her to live a princely life or gain beautiful girlfriends, but overall he is respectful that Tony is Jeannie’s master, and later her husband. Both Tony and Roger are promoted to the rank of major late in the first season. In later seasons, Roger’s role is retconned to portray him knowing about Jeannie from the beginning (i.e., to him having been with Tony on the space flight that touched down, and thus having seen Jeannie introduce herself to Tony).
I DREAM OF JEANNIE
Jeannie’s evil fraternal twin sister, mentioned in a second-season episode (also named Jeannie – since, as Barbara Eden’s character explains it, all female genies are named Jeannie — and also portrayed by Barbara Eden, in a brunette wig), proves to have a mean streak starting in the third season (demonstrated in her initial appearance in “Jeannie or the Tiger?” [September 19, 1967]), repeatedly trying to steal Tony for herself, with her as the real “master”.
Her final attempt in the series comes shortly after Tony and Jeannie are married, with a ploy involving a man played by Barbara Eden’s real-life husband at the time, Michael Ansara (in a kind of in-joke, while Jeannie’s sister pretends to be attracted to him, she privately scoffs at him). The evil sister wears a green costume, with a skirt rather than pantaloons.
Early in the fifth season (September 30, 1969), Jeannie is called upon by her uncle Sully (Jackie Coogan) to become queen of their family’s native country, Basenji.
Tony inadvertently gives grave offense to Basenji national pride in their feud with neighboring Kasja. To regain favor, Tony is required by Sully to marry Jeannie and to avenge Basenji’s honor by killing the ambassador from Kasja when he visits NASA.
After Sully puts Tony through an ordeal of nearly killing the ambassador, Tony responds in a fit of anger that he is fed up with Sully and his cohorts and he would not marry Jeannie if she were “the last genie on earth”. Hearing this, Jeannie bitterly leaves Tony and returns to Basenji. With Jeannie gone, Tony realizes how deeply he loves her. That outweighs all concerns he has had about Jeannie’s threat to his career.
He flies to Basenji to win Jeannie back. Upon their return to NASA, Tony introduces Jeannie as his fiancée. She attires herself as a modern American woman in public, and it is easily accepted that Tony has a girlfriend. This changed the show’s premise: instead of to avoid Jeannie’s exposure, it was to hide her magical abilities.
This is contrary to the mythology created by Sidney Sheldon’s own season-two script for “The Birds and Bees Bit”, in which it was claimed that upon marriage a genie loses all of her magical powers.
CASTING
Barbara Eden as Jeannie
Larry Hagman as Captain/Major Anthony “Tony” Nelson
Bill Daily as Captain/Major Roger Healey
Hayden Rorke as Col. Dr. Alfred Bellows
Philip Ober as Brig. Gen. Wingard Stone (season 1, episodes 1 and 4)
Karen Sharpe as Melissa Stone (season 1, episodes 1 and 4)
Henry Corden as Jeannie’s father (season 1, episode 2)
Barton MacLane as General Martin Peterson (seasons 1–4)
Emmaline Henry as Amanda Bellows (seasons 2–5)
Abraham Sofaer as Haji, master of all the genies (seasons 2–3)
Vinton Hayworth as Maj. Gen. Winfield Schaeffer (seasons 4–5)
Michael Ansara as The Blue Djinn (season 2, episode 1), also as King Kamehameha (season 3, episode 19), last as Major Biff Jellico (season 5 episode 12) and directed “One Jeannie Beats Four of a Kind” (season 5 episode 25)
Barbara Eden as Jeannie’s evil fraternal twin sister, Jeannie II (seasons 3–5)
The role of Jeannie’s mother was played by several actresses:
Peggy Lipton, née le 30 août 1946 à New York et morte le 11 mai 2019 à Los Angeles, est une actrice et ancienne mannequin.
Elle est devenue célèbre grâce à son rôle le plus connu, celle d’une jeune fleuriste nommée Julie Barnes, dans la série télévisée de contre-culture ABC La Nouvelle Équipe (1968-1973) pour lequel elle remporte le Golden Globe de la meilleure actrice dans une série télévisée dramatique en 1970.
Sa carrière de près de cinquante ans, à la télévision, au cinéma et sur scène, a inclus des apparitions dans diverses autres séries télévisées, notamment dans le rôle de Norma Jennings dans Twin Peaks de David Lynch. Sa carrière de près de cinquante ans, à la télévision, au cinéma et sur scène, a inclus des apparitions dans diverses autres séries télévisées, notamment dans le rôle de Norma Jennings dans Twin Peaks de David Lynch.
Lipton a épousé le musicien et producteur Quincy Jones et est mère de leurs deux filles, Rashida Jones et Kidada Jones, devenues également actrices.
Née à New York le 30 août 1946, Peggy Lipton est élevée dans une famille juive de la classe moyenne. Son père Harold Lipton (1911-1999), est juriste d’entreprise, et sa mère Rita Benson (1912-1986), artiste.
Ses grands-parents paternels étaient des Juifs de Russie, et sa mère est née à Dublin en Irlande, de parents juifs émigrés d’Europe de l’Est
Peggy Lipton grandit à Long Island avec ses frères, Robert, qui deviendra acteur, et Kenneth. Elle fréquente le lycée Lawrence et l’école professionnelle des enfants. Abusée sexuellement par un oncle, Peggy Lipton devient une enfant nerveuse et solitaire. Des accès de bégaiement l’empêchent parfois de dire son propre nom.
En 1964, la famille déménage à Los Angeles ; Peggy devient, à ses dires, une « Hippie Topanga Canyon », explorant méditation et yoga, et subsistant de gâteaux de riz et de fromage cottage
Le père de Peggy Lipton a organisé ses premiers travaux de modélisation à New York, tandis que sa mère l’encourageait à prendre des cours de théâtre.
À 15 ans, Lipton est devenue un mannequin de l’Agence Ford et de là s’ensuivit le succès de sa carrière. Après qu’elle et sa famille ont déménagé à Los Angeles en 1964, Lipton a signé un contrat avec Universal Pictures.
Elle fait ses débuts à la télévision à l’âge de 19 ans dans la sitcom NBC John Forsythe Show (1965).
Entre 1965 et 1968, elle est apparue dans les épisodes de la série suivante : Ensorcelé, Le Virginien, ( the virginian ) Les Envahisseurs, La Route de l’Ouest, Le F. B. I., de Walt Disney, Willie et le Yankee, L’Heure d’Alfred Hitchcock, et M. Novack.
Elle est devenue célèbre avec La Nouvelle Équipe. Apparaissant perdue et vulnérable, comme l’a écrit David Hutchings, son interprétation de Julie Barnes en « canari à l’aile cassée » lui a valu quatre nominations aux Emmy Awards et quatre nominations aux Golden Globes.
THE MOD SQUAD
En 1971, elle a remporté un Golden Globe de la meilleure actrice dans une série télévisée dramatique. Mince avec de longs cheveux blonds, habillée en mini-jupes, ou en pantalons pattes d’éléphant, son personnage de Julie Barnes devint une icône de la mode hippie de son temps.
Au cours de la fin des années 1960 et au début des années 1970, Peggy Lipton s’est liée à une série d’hommes alcooliques, violents, et/ou mariés.
Elle a également eu une relation avec le Beatle Paul Mc Cartney de 1965 à 1968.
Lorsque Paul venait aux États-Unis, il passait beaucoup de temps avec Peggy, très amoureuse.
Malheureusement pour elle, Paul McCartney était un peu tel un marin, une fille dans chaque port.
En 1968, Paul venu à Miami contacte Linda Eastman afin qu’ils passent la soirée ensemble. Peggy, au courant de la présence de Paul aux États-Unis, accourt à l’hôtel où il est descendu, mais se voit éconduire par Barry Miles comme une vulgaire groupie, elle ne reverra Paul.
Elle apprendra son mariage avec Linda en 1969, en restera inconsolable au point de consommer de la drogue. Peggy Lipton a évoqué cette période dans sa biographie Respirer (2005), co-écrit par David et Coco Dalton.
Peggy Lipton épouse le musicien et producteur Quincy Jones en 1974 et fait une pause dans le cinéma pour se consacrer à sa famille (avec une exception notable de figurante dans le film Le Retour de la Mod Squad en 1979), à leurs deux filles, Rashida et Kidada Jones. Lipton et Jones se séparent en 1986, et divorcent en 1990.
En 2004, elle révèle son le cancer du côlon et son traitement. A partir de 2003, Jack Chartier, à l’époque chef d’état-major de Alan Hevesi, puis contrôleur de l’État à New York, verse une somme de 90 000 $ à Lipton pour l’aider à payer ses loyers et factures d’hôpitaux. Il a également investi 44 000 $ supplémentaires en fonds de caisse de retraite pour une entreprise dans laquelle une des filles de Lipton est impliquée
Peggy Lipton for the television series, ‘The Mod Squad,’ c. 1968. (Photo by ABC/Hulton Archive/ Getty Images)
Cependant, l’opération foire. La dame malade , Edwina CUTWATER ( rôle tenu par Lily Tomlin) se retrouve dans le corps de son avocat. Corps qu’ils partagent à 2.
Elle occupe et maitrise les organes du corps se trouvant au côté droit ( pied et main droite) alors que l’avocat ROGER COBB ( rôle joué par Steve Martin) contrôle le bras et pied gauche.
Evidemment ca se complique au quotidien du fait qu’il faille coordonnées leurs gestes pour faire « bouger » aussi bien le pied gauche que droite pour marcher. Idem pour écrire et …pour aller aux toilettes. COBB étant droitier, donc il a besoin de la « participation » d’Edwina pour ses besoins sanitaires (pour ouvrir la braguette et toute la suite, en tant que droitier).
Tout se complique par la suite. Sans rentrer dans les détails du film que nous vous laisserons voir si l’occasion se présente.
Un film Paramount qui date de 1984 mais qui vaut le détour.
Même si le sujet du film semble relativement frivole. Il est même surréaliste ( parce que dans le film, changer de corps via un gourou venant d’on ne sait où mais vivant au Tibet apparemment : Ce changement de corps se fait en moins de 15 secondes et aussi facilement qu’on changerait de chemise. D’où l’absurdité du sujet mais le message étant plus profond : Il essaie de transmettre l’idée de vivre « sa vie », en profiter, « vivre avec soi et avec les autres » ( Dans ce cas, c’est exagéré puisque l’autre vit dans le même corps) mais au final, la richesse n’aura servi à rien à Edwin qui n’a jamais accompli de bien autour d’elle. Tout comme elle n’avait aucun ami.
Même chose pour COBB, musicien de jazz à ses heures perdues. Il se morfondait dans un cabinet d’avocat où le patron ne lui confiait que des missions de « messagers » ou de paperasses sans intérêt et sans pour aider « son prochain » : Cobb ayant voulu faire carrière en tant qu’avocat pour aider les pauvres. Au final, il aidait les riches à la demande de son patron
(Le cas d’Edwina, multimilliardaire)
Pour résumer : Une comédie surréaliste, sympa divertissante mettant en scène :Un avocat désespéré, une malade désespérée, une jeune fille au casier judiciaire lourd, un gourou qui ne parle pas et un musicien ( ami de COBB) qui ne voit pas mais a vite cru l’histoire de transfert sans poser de question et sans s’en étonner.
There are few things in life considered timeless, among them are The Beatles, red lipstick, and, of course, Friends. Seriously, that show kept me alive during my junior semester abroad in a city that’s tied for least things to do and worst food. If you’re ever in Spain, be sure to not visit to Salamanca.…
Anonymous people who look like artists. Here are some amazing photos . Hoping that they will please you. Some of them are already stars in their own countries because of their “look”
Brazilian Dany De Vito
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Turkish George Clooney
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Mexican Morgan Freeman
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Russian Hugh Laurie (Dr House)
Russian Hugh Laurie Dr House
Asian Brad Pitt
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Asian Morgan Freeman
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Chinese Vladimir Putin ( Poutine)
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Indian Bradley Cooper
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Indian Clark Gable
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Indonesian Obama
indonesian Barak Obama
Mexican Obama
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Japanese Bruce Willis
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Peruvian Morgan Freeman
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Russian Jim Carrey
Russian Jim Carrey
Vietnamese George W Bush
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SOURCES : BORED PANDA https://boredpanda.com/foreign-celebrity-lookalikes
American Graffiti is a 1973 American coming-of-age comedy-drama film directed and co-written by George Lucas starring Richard Dreyfuss, Ron Howard, Paul Le Mat, Harrison Ford, Charles Martin Smith, Cindy Williams, Candy Clark, Mackenzie Phillips, Bo Hopkins, and Wolfman Jack. Suzanne Somers and Joe Spano also appear in the film.
Set in Modesto, California in 1962, the film is a study of the cruising and rock and roll cultures popular among the post–World War II baby boom generation. The film is told in a series of vignettes, telling the story of a group of teenagers and their adventures over a single night.
The genesis of American Graffiti was in Lucas‘ own teenage years in early 1960s Modesto. He was unsuccessful in pitching the concept to financiers and distributors but found favor at Universal Pictures after United Artists, 20th Century Fox, Columbia Pictures, Metro-Goldwyn-Mayer, Warner Bros., and Paramount Pictures turned him down. Filming was initially set to take place in San Rafael, California, but the production crew was denied permission to shoot beyond a second day.
American Graffiti premiered on August 2, 1973 at the Locarno International Film Festival in Switzerland and was released on August 11, 1973 in the United States. The film received widespread critical acclaim and was nominated for the Academy Award for Best Picture. Produced on a $777,000 budget, it has become one of the most profitable films of all time. Since its initial release, American Graffiti has garnered an estimated return of well over $200 million in box office gross and home video sales, not including merchandising. In 1995, the United States Library of Congress deemed the film “culturally, historically, or aesthetically significant” and selected it for preservation in the National Film Registry.
In early September 1962 in Modesto, California, on the last evening of summer vacation, recent high school graduates and longtime friends, Curt Henderson and Steve Bolander, meet John Milner, the drag-racing king of the town, and Terry “The Toad” Fields in the parking lot of the local Mel’s Drive-In diner. Curt and Steve are scheduled to travel the next morning to Northeastern United States to start college. Despite receiving a $2,000 scholarship from the local Moose Lodge, Curt has second thoughts about leaving Modesto. Steve gives Toad his 1958 Chevrolet Impala to watch while he’s away at college until he returns at Christmas. Steve’s girlfriend, Laurie, who is also Curt’s sister, arrives in her car. Steve suggests to Laurie, who is already glum about him going to college, that they see other people while he is away in order to “strengthen” their relationship. Though not openly upset, she is displeased with his proposal which affects their interactions the rest of the evening.
Curt accompanies Steve, last year’s high school student class president, and Laurie, the current head cheerleader, to the back-to-high-school sock hop. In one story line, Curt is desperate to find a beautiful blonde girl driving a white 1956 Ford Thunderbird that he sees en route to the dance: at a stoplight, she appears to say “I love you” before disappearing around the corner. After leaving the hop, Curt is coerced by a group of greasers (“The Pharaohs”) to participate in an initiation rite that involves hooking a chain to a police car and ripping out its back axle. The Pharaohs tell Curt that “The Blonde” is a trophy wife or prostitute, but he refuses to believe either.
Determined to get a message to the blonde girl, Curt drives to the local radio station to ask DJ Wolfman Jack, who is omnipresent on the car radios, to announce a message for the blonde girl. Inside the radio station, Curt encounters a bearded man who tells him that the voice of The Wolfman is pre-taped from afar.
The man still accepts the message from Curt to see what he could do. As he is leaving the station, Curt sees the man talking into the microphone and hears the voice of The Wolfman, and realizes the man is the actual DJ himself.
Sure enough, The Wolfman eventually reads the message on the radio for “The Blonde” to meet Curt or call him at a number which happens to be a telephone booth. Curt waits by the telephone booth and early the next morning, he is awakened by the phone ringing. It turns out to be “The Blonde” who says she knows him and maybe she would see him cruising the coming night. Curt replies probably not, intimating that he decided to go to college and will be leaving that morning.
The Toad, in Steve’s car, and John, in his yellow 1932 Ford Deuce Coupé hot rod, cruise the strip of Modesto. Toad, who is normally socially inept with girls, successfully picks up a flirtatious, and somewhat rebellious, girl named Debbie. John inadvertently picks up Carol, an annoying 12-year-old who seems fond of him. Another drag racer, the handsome and arrogant Bob Falfa, is searching out John in order to challenge him to a race.
Steve and Laurie have a series of arguments and make-ups through the evening. They finally split and, as the story lines intertwine, Bob Falfa picks up Laurie in his black 1955 Chevrolet One-Fifty Coupé. Bob finally finds John and goads him into racing. A parade of cars follow them to “Paradise Road” to watch the race. Laurie rides shotgun with Bob as Toad starts the race. As Bob begins taking a lead in the race, he loses control of the car when a front tire blows, and the car plunges into a ditch and rolls over. Steve and John leap out of their cars and rush to the wreck as a dazed Bob and Laurie stagger out of the car before it explodes. Distraught, Laurie grips Steve tightly and begs him not to leave her. He assures her that he will stay in Modesto.
At the airfield in the morning, Curt says goodbye to his parents, his sister Laurie, Steve, John and The Toad. As the plane takes off, Curt, gazing out of the window, sees the white Ford Thunderbird belonging to the mysterious blonde driving down a country road.
An on-screen epilogue reveals that
John is killed by a drunk driver in December 1964,
Toad is reported missing in action near An Lộc in December 1965,
Steve is an insurance agent in Modesto, California,
Angie Dickinson (born September 30, 1931) is an American actress. She began her career on television, appearing in many anthology series during 1950s, before landing her breakthrough role in the 1959 western film Rio Bravo, for which she received Golden Globe Award for New Star of the Year.
Dickinson has appeared in more than 50 films, including Ocean’s 11 (1960), The Sins of Rachel Cade (1961), Jessica (1962), Captain Newman, M.D. (1963), The Killers (1964), The Art of Love (1965), The Chase (1966) and the neo-noir classic Point Blank (1967). From 1974 to 1978, Dickinson starred as Sergeant Leann “Pepper” Anderson in the NBC crime series Police Woman, for which she received Golden Globe Award for Best Actress – Television Series Drama and three Primetime Emmy Award for Outstanding Lead Actress in a Drama Series nominations.
During her later career, Dickinson starred in a number of television movies and miniseries, also playing supporting roles in films such as Sabrina (1995), Pay It Forward (2000) and Big Bad Love (2001). As lead actress, she starred in the 1980 erotic crime thriller Dressed to Kill, for which she received a Saturn Award for Best Actress.
Dickinson, the second of four daughters, was born Angeline Brown (called “Angie” by family and friends) in Kulm, North Dakota, the daughter of Fredericka (née Hehr) and Leo Henry Brown.
Her family is of German descent and she was raised Roman Catholic.
Her father was a small-town newspaper publisher and editor, working on the Kulm Messenger and the Edgeley Mail.
In 1942, her family moved to Burbank, California, where she attended Bellarmine-Jefferson High School, graduating in 1947 at 15 years of age. The previous year, she had won the Sixth Annual Bill of Rights essay contest.
She studied at Glendale Community College and in 1954 graduated from Immaculate Heart College with a degree in business. Taking a cue from her publisher father, she had intended to be a writer. While a student from 1950–52, she worked as a secretary at Lockheed Air Terminal in Burbank (now Bob Hope Airport) and in a parts factory. She became Angie Dickinson in 1952, when she married football player Gene Dickinson.
Dickinson entered a beauty pageant in 1953 and placed second. The exposure brought her to the attention of a television industry producer, who asked her to consider a career in acting. She studied the craft and a few years later was approached by NBC to guest-star on a number of variety shows, including The Colgate Comedy Hour. She soon met Frank Sinatra, who became a lifelong friend. She later was cast as Sinatra’s wife in the film Ocean’s 11.
On New Year’s Eve 1954, Dickinson made her television acting debut in an episode of Death Valley Days. This led to other roles in such productions as Matinee Theatre (eight episodes), Buffalo Bill Jr., City Detective, It’s a Great Life (two episodes), Gray Ghost, General Electric Theater, Broken Arrow, The People’s Choice (twice), Meet McGraw (twice), Northwest Passage, Gunsmoke, The Virginian, Tombstone Territory, Cheyenne, and The Restless Gun.
In 1956, Dickinson was cast as Ann Drew, who slips a gun to her jailed husband, Harry (John Craven), a former associate of the Jesse James gang, in the ABC/Desilu western series, The Life and Legend of Wyatt Earp, starring Hugh O’Brian. In the story line, Harry vowed never to go to prison and was shot to death while escaping.
In 1957, she was cast as Amy Bender in Richard Boone’s series “Have Gun-Will Travel” in the episode “A Matter of Ethics.” She played the sister of a man who was killed and who wanted the murderer lynched.
In 1958, she was cast as Laura Meadows in the episode “The Deserters” of an ABC/Warner Brothers western series, Colt .45, with Wayde Preston.
That year she also played the role of defendant Mrs. Fargo in the Perry Mason episode “The Case of the One-Eyed Witness.”
Dickinson went on to create memorable characters in Mike Hammer, Wagon Train, and Men into Space. In 1965, she had a recurring role as Carol Tredman on NBC’s Dr. Kildare. She had a memorable turn as the duplicitous murder conspirator in a 1964 episode of The Fugitive series with David Janssen and fellow guest star Robert Duvall. She was at her evil best as an unfaithful wife and bank robber in the 1958 “Wild Blue Yonder” episode of Rod Cameron’s syndicated television series State Trooper.
She starred in two Alfred Hitchcock Hour episodes, “Captive Audience” with James Mason on Oct. 18, 1962, and “Thanatos Palace Hotel” on Feb. 1, 1965.
Dickinson’s motion picture career began with a small, uncredited role in Lucky Me (1954) starring Doris Day, followed by The Return of Jack Slade (1955), Man with the Gun (1955), and Hidden Guns (1956). She had her first starring role in Gun the Man Down (1956) with James Arness, followed by the Sam Fuller cult film China Gate (1957), which depicted an early view of the Vietnam War.
Rejecting the Marilyn Monroe/Jayne Mansfield style of platinum blonde sex-symbolism because she felt it would narrow her acting options, Dickinson initially allowed studios to lighten her naturally brunette hair to only honey-blonde.
She appeared early in her career mainly in B-movies or westerns, including Shoot-Out at Medicine Bend (1957), in which she co-starred with James Garner. In the 1958 crime drama Cry Terror!, Dickinson had a supporting role opposite James Mason and Rod Steiger as a femme fatale.
In 1959, Dickinson’s big-screen breakthrough role came in Howard Hawks’ Rio Bravo, in which she played a flirtatious gambler called “Feathers” who becomes attracted to the town sheriff played by Dickinson’s childhood idol John Wayne. The film co-starred Dean Martin, Ricky Nelson, and Walter Brennan. When Hawks sold his personal contract with her to a major studio without her knowledge, she was unhappy. Dickinson nonetheless became one of the more prominent leading ladies of the next decade, beginning with The Bramble Bush with Richard Burton. She also took a supporting role in Ocean’s 11 with friends Sinatra and Martin, released in 1960.
These were followed by a political potboiler, A Fever in the Blood (1961); a Belgian Congo-based melodrama, The Sins of Rachel Cade (1961), in which she played a missionary nurse tempted by lust; a scheming woman in Rome Adventure (1962), filmed in Italy, and the title role in Jean Negulesco’s Jessica (1962) with Maurice Chevalier, in which she played a young midwife resented by the married women of the town, set in Sicily.
Angie would also share the screen with friend Gregory Peck as a military nurse in the dark comedy Captain Newman, M.D. (1963).
For The Killers (1964), originally intended to be the very first made-for-television movie but released to theatres due to its violent content, Dickinson played a femme fatale opposite future U.S. President Ronald Reagan in his last movie role.
Directed by Don Siegel, it was a remake of the 1946 version based on a story by Ernest Hemingway and the only film Reagan made in which he was cast as a villain. He viciously slaps Dickinson in one of the film’s scenes.[8]
Dickinson co-starred in the comedy The Art of Love (1965), playing the love interest of both James Garner and Dick Van Dyke. She joined a star-studded Arthur Penn/Sam Spiegel production, The Chase (1966), along with Marlon Brando, Jane Fonda, Robert Redford, and Robert Duvall. That same year she was featured in Cast a Giant Shadow, a war story with Kirk Douglas.
Dickinson’s best movie of this era was arguably John Boorman’s cult classic Point Blank (1967), a lurid crime drama with Lee Marvin as a criminal betrayed by his wife and best friend and out for revenge. The film epitomized the stark urban mood of the period, and its reputation has grown through the years.
Westerns would continue to be a part of her work in the late ’60s, when she starred in The Last Challenge opposite Glenn Ford, in Young Billy Young with Robert Mitchum, and in Sam Whiskey, where she gave rising star Burt Reynolds his first on-screen kiss.
In 1971, she played a lascivious substitute high school teacher in the dark comedy Pretty Maids All in a Row for director Roger Vadim and writer-producer Gene Roddenberry, in which her character seduces a sexually inexperienced student, portrayed by John David Carson, against the backdrop of a series of murders of female students at the same high school; it was a box-office failure. In 1972’s The Outside Man, a French movie shot in L.A., with Jean-Louis Trintignant, directed by Jacques Deray, she plays the wife of a mobster. In 1973, she co-starred with Roy Thinnes in the supernatural thriller The Norliss Tapes, a TV movie produced and directed by Dan Curtis.
One of Dickinson’s best known and most sexually provocative movie roles followed, that of the tawdry widow Wilma McClatchie from the Great Depression romp Big Bad Mama (1974) with William Shatner and Tom Skerritt. Although well into her forties at the time, she appeared nude in several scenes, which created interest in the movie and a new generation of male fans for Dickinson.
A 1966 Esquire magazine cover gained Dickinson additional fame and notoriety, her having posed in nothing but a sweater and a pair of panty hose. The photo became so iconic that, while celebrating the magazine’s 70th anniversary in 2003, the Dickinson pose was recreated for the cover by Britney Spears.
Police Woman
Dickinson as Pepper Anderson, 1975 in Police Woman
Dickinson returned to the small screen in March 1974 for an episode of the critically acclaimed hit anthology series Police Story. That one guest appearance proved to be so popular that NBC offered Dickinson her own television show, which became a ground-breaking weekly series called Police Woman; it was the first successful dramatic TV series to feature a woman in the title role. At first, Dickinson was reluctant, but when producers told her she could become a household name, she accepted the role. They were right.
In the series, she played Sgt. Leann “Pepper” Anderson, an officer of the Los Angeles Police Department’s Criminal Conspiracy Unit who often works undercover.
The show became a hit, reaching number one in many countries in which it aired during its first year. It ran for four seasons and Dickinson would win a Golden Globe award, and receive Emmy nominations for three consecutive years.
Angie Dickinson
Co-starring on the show was Earl Holliman as Sergeant Bill Crowley, Anderson’s commanding officer, along with Charles Dierkop as investigator Pete Royster and Ed Bernard as investigator Joe Styles.
The series ran from 1974 to 1978. The same year the show ended, Dickinson reprised her Pepper Anderson character on the television special Ringo, co-starring with Ringo Starr and John Ritter. She also parodied the part in the 1975 and 1979 Bob Hope Christmas specials for NBC. She would do the same years later on the 1987 Christmas episode of NBC’s Saturday Night Live.
Police Woman caused a surge of applications for employment from women to police departments around the United States; journalists who have in recent years examined the inspiration for long-term female law enforcement officials to adopt this vocation as their own have been surprised by how often Dickinson’s Police Woman has been referenced.
Dickinson and Police Woman proved that a female lead could carry an hour-long television series, paving the way for several female-starring, hour-long TV series during the 1970s and 1980s, such as Charlie’s Angels, Wonder Woman, The Bionic Woman and Cagney and Lacey. In 1987, the Los Angeles Police Department awarded Dickinson an honorary doctorate, which led her to quip, “Now you can call me Doctor Pepper.”
On occasion during the 1970s, Dickinson took part in the popular Dean Martin Celebrity Roast on television, and herself was the guest of honor on August 2, 1977, roasted by a dais of celebrities that included James Stewart, Orson Welles and her Police Woman series co-star Earl Holliman.
The 1980s
Having done a television series plus the mini-series Pearl (1978) about the Pearl Harbor bombing of 1941, Dickinson’s career in feature films appeared to be in decline. But she returned to the big screen in Brian De Palma’s erotic thriller Dressed to Kill (1980), for which she gained considerable notice, particularly for a long, silent scene in a museum before the character meets her fate. The role of Kate Miller, a sexually frustrated New York housewife, earned her a 1981 Saturn Award for Best Actress. “The performers are excellent,” wrote Vincent Canby in his July 25, 1980 New York Times review, “especially Miss Dickinson.”
She took a less substantial role in 1981’s Death Hunt, reuniting her with Lee Marvin, and also appeared in Charlie Chan and the Curse of the Dragon Queen. Earlier that year, she had been the first choice to play the character Krystle Carrington on the television series Dynasty but, deciding she wanted to spend more time with her daughter, she turned it down; the role instead went to Linda Evans. In the mid-1980s Dickinson declined the role of Sable Colby on the Dynasty spin-off, The Colbys.
After nixing her own Johnny Carson-produced prospective sitcom, The Angie Dickinson Show, in 1980 after only two episodes had been shot because she did not feel she was funny enough, the private-eye series Cassie & Co. became her unsuccessful attempt at a television comeback. She then starred in several TV movies, such as One Shoe Makes It Murder (1982), Jealousy (1984), A Touch of Scandal (1984), and Stillwatch (1987). She had a pivotal role in the highly rated mini-series Hollywood Wives (1985), based on a novel by Jackie Collins.
In 1982, and again in 1986, Dickinson appeared in two of Perry Como’s Christmas specials for the ABC television network, in both of which she did something she was not known to have done before: singing. The specials in which she appeared, and in which she sang songs, were Perry Como’s Christmas In Paris, produced on location in Paris, France, which was transmitted on Saturday, December 18, 1982, and The Perry Como Christmas Special, produced on location in San Antonio, Texas, and transmitted on Saturday, December 6, 1986. As of early January of 2013, these two specials were not known to be available on home video.[citation needed] Dickinson later denied having sung on camera since then in an interview with Larry King conducted at the approximate time of her appearance in Duets.
In motion pictures, Dickinson reprised her role as Wilma McClatchie for Big Bad Mama II (1987) and completed the television movie Kojak: Fatal Flaw, in which she was reunited with Telly Savalas. She co-starred with Willie Nelson and numerous buddies in the 1988 television western Once Upon a Texas Train.
She was presented one of the Golden Boot Awards in 1989 for her contributions to western cinema.
1990s and 2000s
In the 1993 ABC miniseries Wild Palms, produced by Oliver Stone, she was the sadistic, militant sister of Senator Tony Kruetzer, played by Robert Loggia. That same year, she starred as a ruthless Montana spa owner in Gus Van Sant’s Even Cowgirls Get the Blues with Uma Thurman.
In 1995, Sydney Pollack cast her as the prospective mother-in-law of Greg Kinnear in the romantic comedy Sabrina starring Harrison Ford, a remake of the Billy Wilder classic. She played Burt Reynolds’ wife in the thriller The Maddening and the mother of Rick Aiello and Robert Cicchini in the National Lampoon comedy The Don’s Analyst. In 1997, she seduced old flame Artie (Rip Torn) in an episode of HBO’s The Larry Sanders Show called “Artie and Angie and Hank and Hercules.”
Dickinson acted out the alcoholic, homeless mother of Helen Hunt’s character in Pay It Forward (2000); the grandmother of Gwyneth Paltrow’s character in the drama Duets (2000), and the mother of Arliss Howard’s character in Big Bad Love (2001), co-starring Debra Winger.
Having appeared in the original Ocean’s 11 (1960) with good friends Frank Sinatra and Dean Martin, four decades later she made a brief cameo in the 2001 remake with George Clooney and Brad Pitt.
An avid poker player, during the summer of 2004 she participated in the second season of Bravo’s Celebrity Poker Showdown. After announcing her name, host Dave Foley said, “Sometimes, when we say ‘celebrity,’ we actually mean it.”
Dickinson is a recipient of the state of North Dakota’s Rough Rider Award.
In 1999, Playboy ranked Dickinson No. 42 on their list of the “100 Sexiest Stars of the Century.” In 2002, TV Guide ranked her No. 3 on a list of the “50 Sexiest Television Stars of All Time,” behind Diana Rigg and George Clooney (who tied for No. 1).
In 2009, Dickinson starred in a Hallmark Channel film, Mending Fences. It is her last screen role to date.
Personal life
With husband-composer Burt Bacharach and new child, 1966
She was married to Gene Dickinson, a former football player, from 1952 to 1960. Close friends with John Kenneth Galbraith and Catherine Galbraith, her extensive visits to them and touring when John was American Ambassador to India is amply recounted in Galbraith memoirs including Ambassador’s Journal and A Life in Our Times. Dickinson kept her married name after her first divorce.
She married Burt Bacharach in 1965. They remained a married couple for 15 years, though late in their marriage, they had a period of separation where each dated other people.
Their daughter, Lea Nikki, known as Nikki, arrived a year after they were married. Born three months prematurely, Nikki suffered from chronic health problems, including visual impairment; she was later diagnosed with Asperger syndrome. Burt composed the music of the song Nikki for their fragile young daughter, and Angie rejected many roles to focus on caring for their daughter. Nikki’s parents eventually placed her at the Wilson Center, a psychiatric residential treatment facility for adolescents in Faribault, Minnesota, where she remained for nine years. Later, Nikki studied geology at California Lutheran University, but her poor eyesight prevented her from pursuing a career in that field. On January 4, 2007, Nikki killed herself by suffocation in her apartment in the Ventura County suburb of Thousand Oaks. She was 40.
In a joint statement, Dickinson and Bacharach said, “She quietly and peacefully committed suicide to escape the ravages to her brain brought on by Asperger’s… She loved kitties, earthquakes, glacial calving, meteor showers, science, blue skies and sunsets, and Tahiti. She was one of the most beautiful creatures created on this earth, and she is now in the white light, at peace.”
In a 2006 interview with NPR, Dickinson stated that she was a Democrat. She supported John F. Kennedy’s presidential campaign in 1960.
The Change-Up is a 2011 American comedy film produced and directed by David Dobkin, written by Jon Lucas and Scott Moore, and starring Ryan Reynolds and Jason Bateman.
The film was released on August 5, 2011, in North America, by Universal Pictures, and received mostly negative reviews, with commentators criticizing the overly crude humor and generic plot, but praising the cast and particularly Bateman’s against-type performance.
Dave Lockwood (Jason Bateman) and Mitch Planko (Ryan Reynolds) are close friends who are each jealous of the other’s lifestyle.
While Dave is a lawyer with a wife and kids, Mitch is a freewheeling actor who has sex with many different women.
After getting drunk at a bar, Mitch and Dave urinate in a park’s fountain, and simultaneously wish that they had each other’s lives.
The next morning, Mitch and Dave realize they have switched bodies. Mitch remembers the wish they made the night before and they drive back to the park, planning to urinate again in the fountain and wish for their original lives back, but find the fountain has been removed for restorations.