FILMS / SERIES / THEATRES 50s 60s 70s


MADELEN, l’acronyme de « Maison des Médias et des Entreprises de Loisirs Numériques », est une plateforme numérique mise en place par l’Institut national de l’audiovisuel (INA), un établissement public français dédié à la préservation, la valorisation et la diffusion du patrimoine audiovisuel.

MADELEN SERIES

De nombreuses personnes souhaiteraient revoir les pièces de théatre de l’époque ( Dont “au théatre ce soir) , des séries françaises anciennes des années 60 et 70, des films avec les géants du cinéma français ( Presle Bourvil, Fernandel, Gabin, Belmondo, Jouvet, Demongeot, Bardot, Constantine, Blanche, De funès etc..)

Des reportages sur ces artistes, interviews etc…

Pour notre part, à RadioSatellite, nous avons (re)découvert MADELEN , cette plateforme pour visionner nos séries de l’époque. Actuellement, c’est la série LES SAINTES CHERIES ( Avec Mme Micheline Presle et Feu M Daniel Gelin) que l’équipe visionne au quotidien (Il existe beaucoup plus qu’une saison à visionner)

MADELEN THEATRE

MADELEN offre aux utilisateurs un accès complet et détaillé à une vaste collection de films, théâtres et séries produits par l’INA au fil des décennies. Cette plateforme représente une fenêtre vers l’histoire culturelle et médiatique de la France, offrant un espace où les trésors du passé sont mis en valeur grâce aux avantages de la technologie moderne.

Historique de l’INA

L’INA a été créé en 1974 en tant qu’organisme public indépendant dans le but de collecter, restaurer, conserver et diffuser le patrimoine audiovisuel français. Avec les années, l’INA a accumulé une collection impressionnante de contenus, allant des émissions de télévision aux documentaires, en passant par les films et enregistrements audio. Pour rendre ce patrimoine plus accessible au public, l’INA a lancé la plateforme MADELEN en 2018.

Caractéristiques de MADELEN

  1. Large Éventail de Contenus : MADELEN propose une variété de contenus allant des films classiques aux émissions de télévision emblématiques, en passant par des enregistrements de spectacles de théâtre. Les utilisateurs ont la possibilité de naviguer à travers les décennies et de découvrir des productions qui ont marqué l’histoire culturelle de la France.
  2. Accessibilité Numérique : La plateforme offre aux utilisateurs un accès numérique à des milliers d’heures de contenu. Cela permet de préserver ces œuvres précieuses et de les rendre disponibles pour les générations futures.
  3. Expérience Interactive : MADELEN propose une expérience interactive où les utilisateurs peuvent non seulement regarder des vidéos, mais aussi explorer des documents d’archives, des photos et des informations contextuelles liées aux œuvres. Cela crée une immersion plus profonde dans le contexte historique et culturel.
  4. Recherche Avancée : La plateforme est équipée d’outils de recherche avancés qui facilitent la découverte de contenus spécifiques. Les utilisateurs peuvent rechercher par mots-clés, dates, genres et autres critères pour trouver des contenus qui les intéressent.
  5. Collections Thématiques : MADELEN propose des collections thématiques qui regroupent des œuvres liées à des sujets spécifiques. Cela permet aux utilisateurs de plonger plus profondément dans des domaines qui les passionnent, qu’il s’agisse de cinéma, de théâtre, de journalisme ou d’autres sujets.

Impact Culturel et Éducatif

MADELEN joue un rôle crucial dans la préservation de l’héritage culturel de la France. En rendant accessibles des œuvres qui sinon pourraient être oubliées, la plateforme contribue à la mémoire collective du pays. De plus, MADELEN est une ressource éducative précieuse, offrant aux étudiants, aux chercheurs et aux passionnés d’histoire culturelle la possibilité d’explorer des événements passés à travers des documents audiovisuels authentiques.

MADELEN représente un pont entre le passé et le présent, un espace numérique où les trésors de l’audiovisuel français sont préservés et partagés avec le monde. Grâce à cette plateforme, l’INA continue de jouer un rôle essentiel dans la préservation du patrimoine culturel et médiatique de la France, tout en offrant une expérience immersive aux utilisateurs qui souhaitent explorer l’histoire à travers le prisme de l’audiovisuel.

MADELEN FILMS

Ordinateurs et Navigateurs Web

L’accès à MADELEN via un ordinateur de bureau ( PC ou IMAC ) ou un ordinateur portable (LAPTOP) est l’une des méthodes les plus courantes. Il suffit de nous rendre sur le site web de MADELEN à l’aide de votre navigateur préféré. Cette option est idéale pour ceux qui aiment explorer le contenu à partir d’un grand écran et d’une interface conviviale.

Smartphones et Tablettes

La mobilité est devenue essentielle de nos jours, et MADELEN a été conçu pour être compatible avec les smartphones et les tablettes. En téléchargeant l’application MADELEN sur nos appareils Android ou iOS, nous pouvons profiter de nos émissions préférées, des films classiques et bien plus encore, où que nous soyons. Cela permet une expérience de visionnage pratique en déplacement.

Smart TVs et Appareils de Diffusion en Continu

Il nous est possible de profiter du contenu de MADELEN sur un écran plus grand. Nous pouvon le faire en utilisant des smart TVs compatibles (TV Connectées à Internet ) ou des appareils de diffusion en continu tels que Roku, Amazon Fire Stick ou Google Chromecast. Ces options permettent de connecter notre téléviseur à internet et d’accéder directement au contenu MADELEN depuis le canapé.

Connexions Sociales et Partage

MADELEN facilite également le partage et les interactions sociales. Nous pouvons découvrir des contenus intéressants et les partager avec nos amis et notre famille via les médias sociaux ou les messageries instantanées. Cette fonctionnalité nous permet de discuter de nos (re)découvertes et de créer des discussions autour des émissions, des films et des séries proposés par la plateforme.


MADELEN DOCUMENTAIRES


Images : Du site MADELEN
https://madelen.ina.fr/

SOCIAL MEDIA / SOCIAL NETWORKS


Social networks are websites or applications that allow individuals to create and share content, connect with others, and communicate with one another. Each platform offers its unique features and tools, catering to different interests and purposes. Here’s an overview of some of the most popular social networks in the world.

Facebook: Launched in 2004, Facebook is one of the most widely used social networks in the world. It allows users to connect with friends, family, and colleagues, share photos and videos, and join communities of interest. Facebook has more than 2.7 billion active users, making it a valuable tool for marketers and businesses.

Twitter is a micro-blogging platform that allows users to share short messages known as “tweets.” Users can follow one another and receive updates on news, entertainment, and other topics. Twitter has more than 330 million active users, making it a popular platform for breaking news and current events.

LinkedIn is a social network for professionals that allows users to create profiles, connect with other professionals, and share updates and articles related to their industry. It has more than 700 million users and is an essential tool for networking and job searching.

Instagram is a photo-sharing app that allows users to upload, edit, and share photos and videos. It has more than one billion active users and is a popular platform for influencers, brands, and creatives.

TikTok is a video-sharing app that allows users to create and share short-form videos. It has more than one billion active users and is particularly popular with younger audiences. TikTok is often used for creative content and challenges.

Snapchat is a messaging app that allows users to send disappearing messages, photos, and videos. It has more than 500 million active users and is a popular platform for sharing behind-the-scenes content and intimate moments.

Pinterest is a social network that allows users to discover and save images and ideas. Users can create boards based on their interests and share them with others. Pinterest has more than 400 million active users and is a popular platform for inspiration and planning.

Reddit is a social news aggregation platform that allows users to share content and discuss topics in forums known as “subreddits.” It has more than 430 million active users and is a popular platform for discussions, debates, and sharing information.

YouTube is a video-sharing platform that allows users to upload, watch, and share videos. It has more than two billion active users and is a popular platform for entertainment, education, and tutorials.

WhatsApp is a messaging app that allows users to send text messages, voice messages, and make voice and video calls. It has more than two billion active users and is a popular platform for staying in touch with friends and family.

In conclusion, social networks have become an integral part of modern life, allowing us to connect with others, share information, and express ourselves. Each platform offers unique features and tools, catering to different interests and purposes. From Facebook to TikTok, social networks are here to stay, and their influence will continue to shape how we interact with one another.

Some lesser-known social networks that may not have gained as much mainstream attention as some of the more popular platforms.

Ello is a social network that bills itself as the “ad-free social network.” It gained attention in 2014 when it launched with a manifesto promising to never show advertisements to users. It also emphasizes privacy and does not sell user data. Ello has a small but dedicated following of artists, designers, and creatives.

Nextdoor is a social network for neighborhoods, allowing neighbors to connect, share information, and build community. It has more than ten million users across the United States, and its focus on local connections makes it a valuable tool for community organizing and support.

Mastodon is an open-source social network that operates on a decentralized network of servers. It allows users to create their own communities or “instances” and connect with others across the network. Mastodon has gained a following among those who value privacy and want to avoid the centralized control of platforms like Twitter.

Vero is a social network that emphasizes authenticity and transparency. It allows users to share content, connect with others, and organize their posts by category. Vero has a small but dedicated following of artists, photographers, and other creatives who appreciate its focus on quality over quantity.

Peach is a social network that gained attention in 2016 for its playful design and unique features. It allows users to share status updates, photos, and drawings, and offers a variety of “magic words” that users can type to trigger hidden features. Peach has a small following of tech enthusiasts and early adopters.

In conclusion, while these social networks may not have gained the same level of mainstream attention as some of the more popular platforms, they still offer value to their users. Each platform has its unique features and serves different purposes, catering to diverse interests and communities. While they may not be as widely known, they offer alternatives to the dominant social networks and can provide a more personalized and focused experience for their users.

TV & SERIES STREAMING PLATFORMS


Streaming platforms have revolutionized the way we consume movies and TV shows. With the rise of subscription-based services, users can now access a vast library of content with just a few clicks. Here’s an overview of the current streaming platforms and their offerings:

Netflix is the most popular streaming platform worldwide, with over 209 million subscribers. The platform offers a vast library of original and licensed content, including movies, TV series, and documentaries. Some of its most popular shows include Stranger Things, The Crown, and Bridgerton.

Amazon Prime Video is part of the Amazon Prime subscription service, which also includes free shipping on eligible items, access to music, and more. The platform offers a library of original and licensed content, including movies and TV series. Some of its most popular shows include The Marvelous Mrs. Maisel, The Boys, and Tom Clancy’s Jack Ryan.

Disney+ is a streaming platform owned by Disney, offering a library of original and licensed content from Disney, Pixar, Marvel, Star Wars, and National Geographic. Some of its most popular shows include The Mandalorian, WandaVision, and Loki

HBO Max is owned by WarnerMedia and offers a library of content from HBO, Warner Bros., and other providers. Some of its most popular shows include Game of Thrones, The Sopranos, and Friends.

Hulu is owned by Disney and offers a library of original and licensed content, including movies and TV series. Some of its most popular shows include The Handmaid’s Tale, This Is Us, and Brooklyn Nine-Nine.

Apple TV+ is a streaming platform owned by Apple, offering a library of original content. Some of its most popular shows include Ted Lasso, The Morning Show, and See.

Peacock is owned by NBCUniversal and offers a library of original and licensed content, including movies and TV series. Some of its most popular shows include The Office, Yellowstone, and Chicago Fire.

Paramount+ is owned by ViacomCBS and offers a library of original and licensed content, including movies and TV series. Some of its most popular shows include Star Trek: Discovery, The Good Fight, and Why Women Kill.

Discovery+ is owned by Discovery, Inc. and offers a library of original and licensed content, including documentaries, reality TV shows, and nature programming. Some of its most popular shows include Deadliest Catch, 90 Day Fiancé, and MythBusters.

In conclusion, streaming platforms offer a wealth of options for movies and TV series, with each platform catering to different audiences and preferences. Whether you’re into classic sitcoms, gritty dramas, or action-packed movies, there’s a streaming platform out there that has you covered.

LOGOS : Source Google

Madame Gladys WEST


Gladys West, née Brown en 1930 est une mathématicienne américaine connue pour ses contributions aux systèmes de positionnement par satellites.

Madame Gladys WEST

Gladys West est née le 27 octobre 1930 dans le comté de Dinwiddie, en Virginie, dans une famille d’agriculteurs. La famille Brown possédait sa propre petite ferme, mais beaucoup de familles de la communauté pratiquaient le métayage. Dans un Sud sous l’emprise des lois Jim Crow offrant peu d’opportunités aux Afro-Américains, la jeune Gladys West ne s’empêche pas d’aspirer à une vie meilleure et comprend vite que c’est par l’éducation qu’elle échappera à la vie de la ferme, qui ne lui convient pas. Après avoir obtenu une bourse d’études pour avoir fini à la première place dans sa classe au lycée, elle étudie les mathématiques à l’Université d’État de Virginie . Elle est diplômée en 1952 puis commence à travailler comme enseignante au lycée, puis elle retourne à l’Université pour faire une maîtrise en mathématiques, qu’elle complète en 1955. En 1956, elle commence à travailler à Naval Surface Warfare Center Dahlgren Division , où elle fut la deuxième femme noire à être employée comme programmeuse. Elle rencontre son mari, Ira West, à la base navale et l’épouse en 1957.

Gladys West a commencé à recueillir des données à partir de satellites, aboutissant au développement du Global Positioning System (GPS). Au début des années 1960, elle participe à une étude révolutionnaire démontrant la résonance de Pluton avec Neptune. L’équipe reçoit une Achievement Medal pour cette recherche. En 1979, son superviseur Ralph Neiman la recommande pour mention élogieuse, puis comme chef de projet pour le projet d’altimétrie radar Seasat, le premier satellite à télédétecter les océans .

West est programmeuse dans la Division Dahlgren pour les ordinateurs de grande puissance et chef de projet pour les systèmes de traitement des données utilisées dans l’analyse des données satellitaires

En 1986, Gladys West publie Data Processing System Specifications for the Geosat Satellite Radar Altimeter (Spécifications du système de traitement de données pour l’altimètre radar du satellite Geosat), un guide illustré de 60 pages. Le guide du Naval Surface Weapons Center (NSWC) est publié pour expliquer comment augmenter la précision de l’estimation des « hauteurs de géoïde et la déviation de la verticale », sujets de géodésie satellitaire. Ceci a été réalisé par le traitement de données créées à partir du radioaltimètre du satellite Geosat mis en orbite le 12 mars 1984. Gladys West a travaillé à Dahlgren pendant 42 ans avant de prendre sa retraite en 1998. Ses contributions au GPS ont seulement été découvertes lorsqu’un membre de la sororité de West, Alpha Kappa Alpha, a lu une courte biographie que West avait soumise pour une cérémonie honorant les anciens membres de l’organisation. En 2000, elle complète un doctorat en administration publique.

En février 2018, Gladys West vit dans le comté de King George, en Virginie, et termine un doctorat (PhD) via un programme d’enseignement à distance avec Virginia Tech. La même année, elle est listée parmi les 100 Women de la BBC.

Les contributions essentielles de Gladys West à la technologie GPS ont été redécouvertes quand un membre de la sororité Alpha, Kappa Alpha, a lu une courte biographie que Gladys avait soumise pour une fonction d’ancienne élève.

Gladys West a été intronisée au Temple de la renommée de la Force aérienne des États-Unis en 2018, l’un des plus grands honneurs du Commandement spatial de la Force aérienne. Le capitaine Godfrey Weekes, commandant de la division Dahlgren du centre de guerre navale de surface, a décrit le rôle joué par Gladys West dans le développement du système de positionnement global : « Elle a gravi les échelons, travaillé sur la géodésie satellitaire et contribué à la précision du GPS et la mesure des données satellitaires. Lorsque Gladys West a commencé sa carrière de mathématicienne à Dahlgren en 1956, elle ne savait probablement pas que son travail aurait un impact sur le monde pendant des décennies. » Gladys West a acquiescé, affirmant qu’elle ne savait pas à l’époque que son travail toucherait tellement de gens : « Quand vous travaillez tous les jours, vous ne vous demandez pas quel impact cela aura sur le monde, mais vous pensez plutôt qu’il faut faire les choses correctement. »

Gladys West a été sélectionnée par la BBC dans le cadre de la série 100 Women de 2018.

Mrs /Mme Gladys WEST

Sources Wikipedia / Google / Youtube / Diverses

guitares and guitars


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geovelo


Suite au confinement…Puis déconfinement progressif, nous constatons que des routes cylables sont de plus en plus aménagées.

Il est vrai que ceci ne fait pas le bonheur de tout le monde. Nombreuses sont les personnes qui, soit à cause de l’âge, soit à cause de diverses raisons ( peur du vélo en pleine ville , déplacements en famille avec enfants de bas âge etc… ) préfèrent la voiture, néamoins, il existe une catégorie de personnes, notamment les plus jeunes qui ont opté pour ce genre de mobilités. Et c’est tant mieux. Cela dégagera un peu les transports publics en ces temps de contamination et de distanciation physique demandée voire obligée.

Et c’est pour cela que tout le monde professionnel lié aux déplacements et mobilités notamment le monde du vélo est mobilisé pour créer, améliorer et proposer de nombreux outils pour celles et ceux qui ont opté ou opteront pour le vélo comme moyen de déplacement pour aller à leurs obligations professionnelles ou scolaires. (à condition que le trajet soit faisable en termes de killométrages) .

Concernant les balades et découvertes, nous avons découvert un produit sympa que nous pourrions comparer à Waze (GPS pour auto). Ce produit c’est le GPS pour vélo : GEOVELO.

Produit nouveau, pratique et qui devrait intérersser les cyclistes qui auront envie de découvrir les routes, les chemins divers que ce soit en période de vacances ou de sortie les week end.

Au sein de notre équipe, il n’existe pas de cycliste invétéré maheureusement pour le tester, cependant si d’aucuns / d’aucunes souhaitent le tester, ce produit pourrait sans doute les intéresser.

Alexandre Saboundjian:Interview de “lalettre.pro”


Interview de M Alexandre Saboundjian CEO d’AUDIOVALLEY. Interviewé par “la lettre.pro”.

Nous reprenons l’entretien effectué par le magazine professionnel dédié à l’audio. Vidéo et lien

https://www.lalettre.pro/Alexandre-Saboundjian-L-audio-digital-devrait-etre-en-croissance-en-2020_a22951.html

M ALEXANDRE SABOUNDJIAN

Rating: 5 out of 5.

Records and recording


LONDON — Tucked in a trendy co-working complex in West London, just past the food court and the payment processing start-up, is perhaps the most technologically backward-looking record company in the world.

 

LONDON — Tucked in a trendy co-working complex in West London, just past the food court and the payment processing start-up, is perhaps the most technologically backward-looking record company in the world.

 

The Electric Recording Co., which has been releasing music since 2012, specializes in meticulous recreations of classical and jazz albums from the 1950s and ’60s. Its catalog includes reissues of landmark recordings by Wilhelm Furtwängler, John Coltrane and Thelonious Monk, as well as lesser-known artists favored by collectors, like the violinist Johanna Martzy.

 

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But what really sets Electric Recording apart is its method — a philosophy of production more akin to the making of small-batch gourmet chocolate than most shrink-wrapped vinyl.

 

Its albums, assembled by hand and released in editions of 300 or fewer — at a cost of $400 to $600 for each LP — are made with restored vintage equipment down to glowing vacuum-tube amplifiers, and mono tape systems that have not been used in more than half a century.

The goal is to ensure a faithful restoration of what the label’s founder, Pete Hutchison, sees as a lost golden age of record-making. Even its record jackets, printed one by one on letterpress machines, show a fanatical devotion to age-old craft.

“It started as wanting to recreate the original but not make it a sort of pastiche,” Hutchison said in a recent interview. “And in order not to create a pastiche, we had to do everything as they had done it.”

 

Electric Recording’s attention to detail, and Hutchison’s delicate engineering style in mastering old records, have given the label a revered status among collectors — yet also drawn subtle ridicule among rivals who view its approach as needlessly expensive and too precious by half.

 

An original Lyrec T818 tape machine that the label has painstakingly renovated, in its London studio.Credit…Tom Jamieson for The New York Times

original Lyrec T818 tape machine

original Lyrec T818 tape machine

 

Hutchison, 53, whose sharp features and foot-long beard make him look like a wayward wizard from “The Lord of the Rings,” dismissed such critiques as examples of the audiophile world’s catty tribalism. Even the word “audiophile,” he feels, is more often an empty marketing gimmick than a reliable sign of quality.
“Audiophiles listen with their ears, not with their hearts,” Hutchison said. He added: “That’s not our game, really.”

So what’s his game?

“The game is trying to do something that is anti-generic, if you like,” he said. “What we’re doing with these old records is essentially taking the technology from the time and remaking it as it was done then, rather than compromising it.”

To a large degree, the vinyl resurgence of the last decade has been fueled by reissues. But no reissue label has gone to the same extremes as Electric Recording.

In 2009, Hutchison bought the two hulking, gunmetal-gray machines he uses to master records — a Lyrec tape deck and lathe, with Ortofon amplifiers, both from 1965 — and spent more than $150,000 restoring them over three years. He has invested thousands more on improvements like replacing their copper wiring with mined silver, which Hutchison said gives the audio signal a greater level of purity.

The machines allow Hutchison to exclude any trace of technology that has crept into the recording process since a time when the Beatles were in moptops. That means not only anything digital or computerized, but also transistors, a mainstay of audio circuitry for decades; instead, the machines’ amplifiers are powered by vacuum tubes (or valves, as British engineers call them).

 

“We’re all about valves here,” Hutchison said on a tour of the label’s studio.

Mastering a vinyl record involves “cutting” grooves into a lacquer disc, a dark art in which tiny adjustments can have a big effect. Unusually among engineers, Hutchison tends to master records at low volumes — sometimes even quieter than the originals — to bring out more of the natural feel of the instruments.
He demonstrated his technique during a recent mastering session for “Mal/2,” a 1957 album by the jazz pianist Mal Waldron that features an appearance by Coltrane. He tested several mastering levels for the song “One by One” — which has lots of staccato trumpet notes, played by Idrees Sulieman — before settling on one that preserved the excitement of the original tape but avoided what Hutchison called a “honk” when the horns reached a climax.

“What you want to hear is the clarity, the harmonics, the textures,” he said. “What you don’t want is to put it on and feel like you’ve got to turn it down.”

These judgments are often subjective. But to test Hutchison’s approach, I visited the New Jersey home of Michael Fremer, a contributing editor at Stereophile and a longtime champion of vinyl. We listened to a handful of Electric Recording releases, comparing them to pressings of the same material by other companies, on Fremer’s state-of-the-art test system (the speakers alone cost $100,000).
Hutchison bought the two hulking, gunmetal-gray machines he uses to master records — both from 1965 — and spent more than $150,000 restoring them over three years.Credit…Tom Jamieson for The New York Times

 

vinyl 3

 

I am often skeptical of claims of vinyl’s superiority, but when listening to one of Electric Recording’s albums of Bach’s solo violin pieces played by Martzy, I was stunned by their clearness and beauty. Compared to the other pressings, Electric Recording’s version had vivid, visceral details, yielding a persuasive illusion of a human being standing before me drawing a bow across a violin.
“It’s magical what they’re doing, recreating these old records,” Fremer said as he swapped out more Electric Recording discs.

Hutchison is a surprising candidate to carry the torch for sepia-toned classical fidelity. In the 1990s, he was a player in the British techno scene with his label Peacefrog; the label’s success in the early 2000s with the minimalist folk of José González helped finance the obsession that became Electric Recording.

Hutchison’s conversion happened after he inherited the classical records owned by his father, who died in 1998. A longtime collector of rock and jazz, Hutchison was entranced by the sound of the decades-old originals, and found newer reissues unsatisfying. He learned that Peacefrog’s distributor, EMI, owned the rights to many of his new favorites. Was it possible to recreate things exactly has they had been done the first time around?

After restoring the machines, Electric Recording put its first three albums on sale in late 2012 — Martzy’s solo Bach sets, originally issued in the mid-1950s.

Hutchison decided that true fidelity applied to packaging as well as recording. Letterpress printing drove up his manufacturing costs, and some of the label’s projects have seemed to push the boundaries of absurdity.

In making “Mozart à Paris,” for example, a near-perfect simulacrum of a deluxe 1956 box set, Hutchison spent months scouring London’s haberdashers to find the right strand of silk for a decorative cord. The seven-disc set is Electric Recording’s most expensive title, at about $3,400 — and one of the few in its catalog that has not sold out.

Hutchison defends such efforts as part of the label’s devotion to authenticity. But it comes at a cost. Its manufacturing methods, and the quality-control attention paid to each record, bring no economies of scale. So Electric Recording would gain no reduction in expenses if it made more, thus negating the question Hutchison is most frequently asked: Why not press more records and sell them more cheaply?

“We probably make the most expensive records in the world,” Hutchison said, “and make the least profit.”

Electric Recording’s prices have drawn head-scratching through the cliquey world of high-end vinyl producers. Chad Kassem, whose company Acoustic Sounds, in Salina, Kan., is one of the world’s biggest vinyl empires, said he admired Hutchison’s work.

“I tip my hat to any company that goes the extra mile to make things as best as possible,” Kassem said.

But he said he was proud of Acoustic Sounds’s work, which like Electric Recording cuts its masters from original tapes and goes to great lengths to capture original design details — and sells most of its records for about $35. I asked Kassem what is the difference between a $35 reissue and a $500 one.
He paused for a moment, then said: “Four hundred sixty-five dollars.”

Yet the market has embraced Electric Recording. Even amid the coronavirus pandemic, Hutchison said, its records have been selling as fast as ever, although the company has had some production hiccups. The only manufacturer of a fabric that Hutchison chose for a Mozart set in the works, by the pianist Lili Kraus, has been locked down in Italy.

The next frontier for Electric Recording is rock. Hutchison recently got permission to reissue “Forever Changes,” the classic 1967 psychedelic album by the California band Love, and said that the original tape had a more unvarnished sound than most fans had heard. He expects that to be released in July, and “Mal/2” is due in August.

But Hutchison seemed most proud of the label’s work on classical records that seemed to come from a distant era. He pulled out a 10-inch mini-album of Bach by the French pianist Yvonne Lefébure, originally released in 1955. Electric Recording painstakingly recreated its dowel spine, its cotton sleeve, its leather cover embossed in gold leaf.

“It’s a nice artifact,” Hutchison said, looking at it lovingly. “It’s a great record as well.”

 

Source : The New York Times

 

 

 

FOR GOOGLE CHROME USERS


In case you use GOOGLE CHROME and the  platform  website dosen’t allow you to listen to some or any radio. It happens : The new rules of Google Chrome since January 2020 

You can follow those instructions to be able to make the player operational

Here is a video showing easy steps to do to make GOOGLE CHROME accept to play music some websites on your computer. (It dosen’t concern all other navigators like Firefox , safari etc…) (At least for now, date of publishing this article)

 

This is the process for one radios’s annuary but it can be also used for all other like TUNEin for instance and all others..

 

 

Sources : ONLINERADIO

 

https://www.listenonlineradio.com/france/radio-satellite

 

 

Salon de la Radio 2020


Le salon de la radio est organisé tous les ans à Paris.

Chaque année, un “pays” invité en est la star

 

Au parc de la Villette Paris 19e a eu lieu le salon annuel pour les professionnels de la radio. Jeudi 23 – Vendredi 24 et Samedi 25 Janvier 2020.

Depuis quelques années, ces jours sont choisis par les organisateurs. A l’époque où le salon était organisé à Paris 16e dans un autre local d’exposition (mais l’espace était nettement plus étroit que l’actuel ) cependant, les jours étaient plus adaptés ( Vendredi Samedi et Dimanche)

En fait, si l’on reprend l’historique de ce salon qui n’est pas si “vieux” que cela.

Ses débuts, timides, prenaient en compte toutes les radios notamment le “marché” des petites structures, dont les radios dites IP ou radios en ligne ( Radios internet ) ou plus connues en France sous le nom de “webradio“.

Cependant, ce salon a pris confiance en lui-même , fort de son succès. D’où sans doute ? le choix de passer au parc de la Villette.

LOGO SALON DE LA RADIO 2020

 

Le salon  a commencé à s’européaniser en invitant chaque année, aussi bien des radios que des entreprises européennes. Nous avons eu la belgique, le royaume uni… Cette année, ce fut le tour de l’allemagne  et l’autriche.

Voici pour la petite histoire du salon.

Nous en parlons, parce qu’avec l’équipe de RadioSatellite, nous avons constaté tout de même, un sacré changement au niveau des stands  : En tout cas, c’est un sentiment, un avis. Nous n’affirmons  pas que c’est le choix des organisateurs mais juste un sentiment. Nous en parlerons un peu plus loin dans notre article.

Arrivés au parking de la villette: Facilité d’accès. Bravo.

Nous avons retrouvé facilement le hall du salon. “nous” c’est en fait une partie de l’équipe qui y va pour la première fois. D’autres membres de l’équipe, vieux habitués du salon,  il est évident que l’endroit géographique du salon aussi bien que les organisateurs leur étaient connus d’emblée.

Arrivés à l’accueil, des membres de l’équipe vérifiant nos badges et scannant ces derniers ont reconnu les plus anciens de la radio. La conversation a eu lieu , les salutations, bla bla polis et amicaux usuels. Bon.. allez..Nous franchissons la porte.

Nous y sommes.

L’accueil ( interne cette fois ci ) nous remet des sacs ( pas mal d’ailleurs pour faire nos courses étant donné que le plastique est abandonné à raison ). Des documents, brochures et plans.

Nous avons commencé à flaner. Les plans, les programmes, nous les connaissions déjà. Tout a été minutieusement étudié en amont dans nos studios. Puis, il faut l’avouer : Nous étions limités à la présentation, débats et conférences ayant lieu uniquement dans la tranche horaire et la journée de notre présence.  D’autres conférences, parait il , étaient interessantes mais nous ne pouvions pas être présents au salon ce jour là.

Les stands…Hum… Oui… Premier choc ( positif ou non, selon les personnes / les radios)

La plupart ciblaient les grosses structures…les grosses radios à gros budget. Enfin, c’est ce qui était présenté en tout cas. C’est ce que les exposants voulaient afficher.

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Nous nous souvenons que voici quelques années: Il se trouvait des stands qui proposaient “physiquement” aussi bien des micros à prix hyper compétitifs… des enregistreurs digitaux pour reporters qui envoyaient directement aux studios radios les enregistrements (avec d’autres gadgets importants ), des stands comme  45tours.ca : Un stand canadien qui proposait des contenus ( musique etc..) aux radios : Les radios puisaient gratuitement dans le catalogue que les artistes postaient sur le site de 45tours.ca

 

Tout ce petit monde de la radio , des radios à petit budget…Franchement, nous ne les avons pas vus.  S’ils y étaient?? Ils étaient bien discrets en tout cas.

Pas tous heureusement: Nous avons retrouvé , un fidèle du salon “benztown” : Certes, fidèle d’origine , il ne pouvait surtout pas rater son passage à ce salon , à l’heure où le pays d’origine de BenzTown ( l’allemagne ) était l’invité star

Une partie de l’équipe est partie assiter aux conférences: Nous avions décelé 2 interessantes. Une 3e conférence débat: Franchement ( non ) on s’y serait cru à une conférence politico sociale sur l’emploi. Ils parlaient de chômage, emplois … Bon… Pour ces sujets, autant écouter les infos à la TV.

Donc les 2 autres sujets interessants : L’importance de la radio dans les cas d’urgence: Les invités  intervenants

Haiti intervenants

Effectivement, des sujets cruciaux abordés: Le rôle de la radio. Donc Haiti fut le sujet lors des douloureux évènements ( séismes) à l’époque.

 

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Le 2e débat : concernait l’hyperlocalisation des radios.

Sujet très interessant

Etaient présents et ont participé à ce débat

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Divers sujets furent abordés:  Un animateur, une équipe de radio : Peut elle se montrer au public?? Cela démystifie t il “la radio”?  Certaines radios : A la réunion notamment comme l’a précisé une des personnes présentes, préfère que les équipes ne se montrent pas.

D’ailleurs, chacun a son pseudo. Pour les protéger sans doute. Pour leur préserver leur vie privée.  Des avis différents furent émis.  Interessant pour un manager de radio . Parce que même ceci , fait partie de l’image de la radio.

 

Par la suite, nous avons pu papoter avec le responsable du stand de ZENON MEDIA 

zenon-media.com

 

ZENON MEDIA

 

Dans le cadre de nos découvertes: Enfin, pas tant que cela mais pour certains d’entre nous, cela reste encore à découvrir: La radio hybride: c’est un mix entre divers formats de radio ( IP  , FM , DAB+ etc..)

Etant donné que nous (RadioSatellite) c’est l’IP qui nous concerne, cependant l’hybride pourrait nous interesser.

Ainsi , nous avons bavardé avec Max ( Maximilian ) de HRADIO et l’entreprise qui partageait le même stand MARCONI

Avec HRADIO, la conversation a porté sur leur projet européen, qui vient d’être lancé en Janvier 2020  . Projet pour une application dont l’utilisateur sera l’auditeur où il pourra aussi bien écouter  la radio mais aussi , revenir “en arrière” pour ré-écouter ce qu’il / elle aurait manqué. Lorsque nous disons “en arrière” cela concerne plusieurs heures , en arrière. Tout dépend de l’option choisie et payée par la radio pour ses auditeurs.

Projet à suivre en tout cas.

hradio.eu

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Nous avons pu découvrir aussi des consoles, mixers…impressionnants.

Bon certains esprits de contradictions 🙂   vont nous faire la remarque ” mais ce n’est rien.. j’en ai vu de plus lourds et plus impressionnants” : Ok ok.. Nous aussi . Mais tout de même , les voir en live, en direct aussi c’est vraiment un “ouf” . Ou comme le disent nos amis Belges “oufti”

Parmi ces modèles, certains pris en photos et en vidéo aussi

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Parmi les stands, nous avons retrouvé nos vieux amis de RadioKing . La conversation a eu lieu , notamment avec Mathilda , qui a pris ses fonctions récemment au sein de leur équipe. Les sujets étaient divers et assez vastes.

Nous avons abordé les sujets liés à la politique générale de King notamment la politique tarifaire et des sujets liés à la partie technique. C’est une personne très  compétente et très professionnelle.

Mathilda de RadioKing

Mathilda de RadioKing

 

Pour résumer: Le salon a connu des périodes plus fastes, plus variées, plus riches

Voici 2 ans: Par ex: Les débats étaient assez “tendus” entre la radio DAB+ et nos radios IP ( les radios sur internet) : Qui va remplacer qui..? qui sera gagnant ? (En fait, tous les 2 resteront présents et vont se compléter)

Cependant, cette année: Le gros sujet ( assez lourd d’ailleurs et assez critiqué par les visiteurs) : Les PODCASTS.  Tout ou presque  était lié aux podcasts. Alors que les radios “live” notamment les plus modestes : Il existe plus de 10 000 radios “modestes” qu’elles soient associatives ou privées notamment sur internet.  C’est tout un marché pour l’instant très oublié par les annonceurs , par les médias et par les organisateurs du salon.

Lorsqu’ils parlent de webradios ?……   En général ce sont les “webradios déclinées des groupes  FM connus sur le marché…Sans les citer, tout le monde les connait…

Cependant, ce ne sont pas des Webradios “pur sang” ( pure player)  comme les 10 000 ou presque radios en ligne à modeste (ou parfois sans) revenu mais qui forment un marché juteux de par leurs besoins en matériel, logiciels, programmes, habillages , certes plus modestes mais aussi gourmands et surtout des besoins récurrents et “non stop”.

Ceci dit, c’est toujours un plaisir de venir et revenir au salon, chaque année. Etant donné que nous faisons partie des fidèles qui y allons depuis sa création.

Une fois, notre visite terminée, nous avons repris le chemin des studios…Nous vous épargnons les embouteillages parisiens d’un samedi soir 🙂

THUNDERBOLT sur MAC (APPLE)


Thunderbolt

Une petite vidéo pour partager avec vous les technologies liées aux ports des ordinateurs notamment les APPLE ( Imac, Mac pro…)

 

 

Sources : YouTips (Youtube)

 

Smartspeakers


 

Smart speaker assistants compared: Siri vs. Alexa vs. Google Assistant

 

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Article by  AppleInsider Staff

https://appleinsider.com

 

Smartspeakers

UNIVAC


14 Juin :  14th of june :   1951

L’Universal Automatic Computer (ou UNIVAC) est le premier ordinateur, traitant aussi bien des nombres que du texte, disponible sur le marché.Image

 

Il a été conçu à l’Université de Pennsylvanie par John Presper Eckert et John Mauchly qui ont déjà créé l’Electronic Numerical Integrator And Calculator (ou ENIAC), le premier ordinateur, en 1946. L’UNIVAC occupe une superficie au sol de 25 m² et sa mémoire interne a une capacité de 1000 mots. 56 exemplaires seront vendus.Image