Sophia Loren


Sofia Villani Scicolone ,  Sophia Loren , est une actrice italienne née le 20 septembre 1934 à Rome.

Actrice parmi les plus importantes du cinéma italien, mondialement reconnue, elle a tourné dans de nombreux films depuis le début des années 1950.

Elle obtient ses plus grands rôles dans les années 1960 avec notamment le personnage dramatique de La ciociara ; son jeu est couronné par le prix d’interprétation féminine au Festival de Cannes, un Ours d’or d’honneur à la Berlinale, un BAFTA, un Oscar de la meilleure actrice, onze David di Donatello et quatre Rubans d’argent.

Dans Hier, aujourd’hui et demain, son striptease devant Marcello Mastroianni est une des plus célèbres scènes du genre dans l’histoire du cinéma.

Sofia Scicolone est la fille illégitime de l’ingénieur en bâtiment et homme d’affaires, Riccardo Scicolone et de Romilda Villani, professeur de piano et sosie de l’actrice Greta Garbo. Elle passe une enfance et une jeunesse difficiles à Pouzzoles, à une quinzaine de kilomètres de Naples, avec sa mère, sa grand-mère Luisa et sa sœur Anna Maria, née quatre ans après elle.

Scicolone refuse en effet d’épouser la mère de Sofia et d’Anna Maria et n’apporte aucun soutien financier à sa famille illégitime. Sofia n’a ensuite rencontré son père que trois fois dans sa vie : à l’âge de 5 ans, de 17 ans et de 42 ans alors qu’il était mourant.

Elle déclare qu’elle lui a pardonné mais n’a jamais oublié l’abandon de sa mère, restée seule avec ses deux filles. Sofia a par son père deux demi-frères, Giuliano et Giuseppe, plus jeunes qu’elle également.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le port de Pouzzoles et son usine de munitions sont souvent bombardés par les Alliés. Pendant un raid, alors qu’elle court vers un abri, la petite Sofia est blessée au menton par un éclat de bombe.

Après cela, la famille décide de déménager à Naples et est hébergée par des parents. La guerre finie, elle retourne à Pouzzoles. Luisa, la grand-mère, ouvre alors un bar dans leur salle de séjour où elle sert de la liqueur faite maison : Romilda, la mère, joue du piano, la sœur Anna Maria chante et Sofia s’occupe des tables et fait la vaisselle. L’endroit devient fréquenté par les G.I. dont le casernement est proche

Enfant, Sofia n’est pas attirée par le monde du spectacle, et se destine au métier de professeur d’anglais. Néanmoins fortement encouragée par sa mère, à l’âge de 16 ans, elle est l’une des quatre représentantes de la région du Latium au concours de beauté Miss Italie, à l’époque appelé Mille lire per un sorriso (Mille lires pour un sourire) ; elle s’y classe deuxième, mais le jury, impressionné par la beauté, la grâce et la sensualité que dégage l’adolescente, crée pour elle le prix de Miss Élégance, prix que, depuis, toutes les aspirantes au titre de Miss Italie convoitent également.

Elle gagne une certaine réputation en figurant dans des romans-photos (genre populaire à l’époque) sous le pseudonyme de Sofia Lazzaro et obtient de petits rôles dans des films, où elle apparaît parfois seins nus comme dans Quelles drôles de nuits en 1951 ou dans Deux nuits avec Cléopâtre en 1953, alors qu’elle n’a que 16 ans pour le premier et 18 pour le second.

Ces apparitions sont remarquées en France mais pas en Italie où la censure, toujours vigilante, les a supprimées.

Ces films sont depuis extrêmement recherchés par les fans de la star, en raison de leur rareté. Une photo de Sophia Loren seins nus, tirée de Quelles drôles de nuits, est reproduite en 1957 dans le magazine américain Playboy alors que l’actrice est déjà connue. Elle ne s’est jamais remontrée partiellement nue ensuite, arguant du fait qu’elle ne se sentait pas à l’aise dans ces conditions et que « Sophia Loren nue, ça représente beaucoup de nudité

En 1952, sur le tournage de Sous les mers d’Afrique de Giovanni Roccardi, Sofia Scicolone, alias Sofia Lazzaro, est rebaptisée « Sophia Loren » par le producteur Goffredo Lombardo. Le producteur Carlo Ponti, qu’elle va épouser plus tard bien qu’il soit son aîné de vingt-deux ans, lui fait alors signer un contrat d’une durée de sept ans.

Sophia Loren entame sa carrière avec des rôles de femmes « populaires » dans Le Carrousel fantastique (Carosello napoletano) d’Ettore Giannini (1953), L’Or de Naples (L’Oro di Napoli) de Vittorio De Sica et Dommage que tu sois une canaille (Peccato che sia una canaglia) d’Alessandro Blasetti (1954), et Par-dessus les moulins (La Bella mugnaia) de Mario Camerini (1955).

Rapidement, sa provocante et explosive beauté, sa grâce et ses qualités de comédienne donnent à Sophia Loren une renommée internationale. En 1955, elle fait la couverture de Life alors que Carlo Ponti envisage pour elle une carrière internationale.

À Hollywood de 1957 à 1961, elle tourne sous la direction de Jean NegulescoStanley KramerHenry HathawayDelbert Mann, Carol Reed, George Cukor, Melville ShavelsonSidney LumetMichael CurtizCharlie Chaplin. Elle a pour partenaires Cary GrantFrank SinatraJohn WayneAnthony PerkinsWilliam HoldenTrevor HowardMarlon BrandoAnthony QuinnGeorge SandersPeter SellersClark GableJohn GavinCharlton Heston et Raf Vallone.

Martin Ritt lui apporte sa première consécration avec L’Orchidée noire (The Black Orchid) : son rôle de Rose Bianco lui vaut la coupe Volpi de la meilleure actrice à la Mostra de Venise en 1958.

En 1960, sort La ciociara de Vittorio De Sica où elle tient le rôle de Cesira aux côtés de Jean-Paul Belmondo. C’est une succession de récompenses pour Sophia Loren : le prix d’interprétation féminine au Festival de Cannes, le David di Donatello de la meilleure actrice, le ruban d’argent de la meilleure actrice principale, le NYFCC Award de la meilleure actrice et l’oscar de la meilleure actrice.

Le succès de La ciociara la ramène devant les caméras italiennes et plus précisément celles de Vittorio De Sica. Elle tourne sous sa direction Boccace 70 (Boccaccio ’70) et Les Séquestrés d’Altona (I Sequestrati di Altona) en 1962, Hier, aujourd’hui et demain (Ieri, oggi, domani) en 1963 où son porte-jarretelles noir fait tourner les têtes, Mariage à l’italienne (Matrimonio all’italiana) en 1964. Un peu plus tard, ce sont Les Fleurs du soleil (I Girasoli) en 1970 et Le Voyage (Il Viaggio) en 1974. Il la dirige dans huit films en tout, dont six où il apparaît en tant qu’acteur à ses côtés.

Marcello Mastroianni est aussi le partenaire fidèle de l’actrice dans une douzaine de films.

En 1977, Une journée particulière (Una Giornata particolare) d’Ettore Scola, est le dernier grand rôle de sa carrière. Elle revient en 1984 dans Aurora (Qualcosa di biondo) de Maurizio Ponzi, avec son jeune fils Edoardo Ponti.

À partir de 1984, les récompenses qu’elle reçoit sont des prix en hommage à sa carrière : oscar d’honneur, David di Donatello spécial, et autres Golden Globes de remerciement. En 1991, la République française la fait chevalier de la Légion d’honneur.

En 2007, un documentaire sur sa vie intitulé Sophia : hier, aujourd’hui et demain (Sofía : Ieri, oggi, domani) est réalisé par Massimo Ferrari. Le documentaire contient des interviews exclusives de l’actrice ainsi que celles de figures célèbres du cinéma international comme Woody AllenEttore ScolaClaude ChabrolLina Wertmüller et Maria Grazia Cucinotta.

En juillet 2006, elle pose pour la 33e édition du calendrier Pirelli et devient, à 71 ans, le modèle le plus âgé qui figure dans ce célèbre calendrier.

En 2010, elle interprète le rôle de sa propre mère, Romilda Villani, dans La mia casa è piena di specchi, une mini-série de la chaîne italienne Rai Uno, inspirée du livre écrit par sa sœur Anna Maria Scicolone.

L’histoire retrace la propre vie de Sophia Loren, de ses débuts difficiles dans le cinéma jusqu’à la gloire. La série enregistre des records d’audience.

En 2020, à 86 ans, elle tient le rôle de Mme Rosa dans La Vie devant soi, film inspiré du roman de Romain Gary, réalisé par son fils Edoardo Ponti durant la pandémie de Covid-19, dans la région des Pouilles au sud de l’Italie.

Sophia Loren est l’égérie de la compagnie MSC Croisières et baptise tous leurs nouveaux paquebots, dont le dernier en date le MSC Meraviglia en juin 2017 au Havre, alors qu’elle est âgée de près de 83 ans.

Sophia Loren est catholique. Elle habite principalement à Genève en Suisse depuis fin 2006. Elle possède aussi une maison à Naples et à Rome.

Sophia Loren et Cary Grant partagent la vedette du film La Péniche du bonheur. L’épouse d’alors de Grant, Betsy Drake, en a écrit le scénario original et Grant souhaitait initialement que son épouse partage l’affiche avec lui. Mais, au cours du tournage du film précédent en 1957, Orgueil et Passion, une liaison était née entre Loren et Grant, et ce dernier s’était alors arrangé pour que Loren prenne la place de Drake dans le film suivant (La Péniche du bonheur), avec un scénario réécrit ne faisant plus référence à celui de Betsy Drake, son épouse. Néanmoins, la liaison entre Grant et Loren s’est terminée avant la fin du tournage d’Orgueil et Passion, créant des problèmes sur le plateau du film suivant. Grant espèrait pouvoir reprendre sa liaison avec Loren mais celle-ci a préfèré accepter la demande en mariage de Carlo Ponti.

Sofia Villani Scicolone rencontre pour la première fois le producteur de cinéma italien Carlo Ponti (1912-2007) en 1950, alors qu’elle n’a que 16 ans et lui 37 : il est occasionnellement dans des jurys de concours de beauté ; il n’a ensuite cessé de guider le début de carrière de l’adolescente, puis de jeune femme, qui devient actrice.

Elle apparaît dans près d’une vingtaine de films au début des années 1950. L’ami de Ponti, Goffredo Lombardo, qui dirige la société de production Titanus, engage en 1952 la jeune Sofia dans Sous les mers d’Afrique et lui trouve le pseudonyme de « Sophia Loren ».

Carlo Ponti, qui est marié à Giuliana, et Sophia Loren finissent par se fréquenter dans le plus grand secret.

Elle devient une vedette internationale. Sept ans après sa première rencontre avec Loren, Ponti obtient un divorce au Mexique , séparé ainsi de sa première épouse, il se marie avec Loren par procuration, toujours au Mexique le 17 septembre 1957 : deux avocats les représentent.

Mais ce mariage est annulé en Italie en raison du non-enregistrement du divorce de Carlo Ponti d’avec Giuliana. Ponti et Loren continuent à vivre ensemble, mais ils sont dans l’illégalité dans leur propre pays, l’Italie, où les lois sont encore largement dictées par la tradition catholique : ils demandent la nationalité française, ce qui leur est accordé par le Premier ministre français de l’époque, Georges Pompidou. En 1965, Ponti régularise son divorce en France et peut cette fois épouser Loren dans les formes, le 9 avril 1966, soit près de neuf ans après le premier mariage annulé.

Le couple aura deux fils : Carlo Jr.  né en 1968, et Edoardo né en 1973.

Sophia Loren restera mariée à Carlo Ponti jusqu’à sa mort, 10 janvier 2007, d’une infection pulmonaire

Sources : Wikipedia / Pinterest / YouTube / Divers

SOUVENIRS TV


Old tv series


  • who’s the boss
  • rawhide ( with clint Eastwood)
  • the higj chaparal ( manolito )

  • Different Strokes
  • I dream of Jeannie
  • bewitched

I DREAM OF JEANNIE


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PEGGY LIPTON


Peggy Lipton, née le 30 août 1946 à New York et morte le 11 mai 2019 à Los Angeles, est  une actrice et ancienne mannequin.

Elle est devenue célèbre grâce à son rôle le plus connu, celle d’une jeune fleuriste nommée Julie Barnes, dans la série télévisée de contre-culture ABC La Nouvelle Équipe (1968-1973) pour lequel elle remporte le Golden Globe de la meilleure actrice dans une série télévisée dramatique en 1970. 

Sa carrière de près de cinquante ans, à la télévision, au cinéma et sur scène, a inclus des apparitions dans diverses autres séries télévisées, notamment dans le rôle de Norma Jennings dans Twin Peaks de David Lynch. Sa carrière de près de cinquante ans, à la télévision, au cinéma et sur scène, a inclus des apparitions dans diverses autres séries télévisées, notamment dans le rôle de Norma Jennings dans Twin Peaks de David Lynch.

Lipton a épousé le musicien et producteur Quincy Jones et est mère de leurs deux filles, Rashida Jones et Kidada Jones, devenues également actrices.

Née à New York le 30 août 1946, Peggy Lipton est élevée dans une famille juive de la classe moyenne. Son père Harold Lipton (1911-1999), est juriste d’entreprise, et sa mère Rita Benson (1912-1986), artiste.

 Ses grands-parents paternels étaient des Juifs de Russie, et sa mère est née à Dublin en Irlande, de parents juifs émigrés d’Europe de l’Est

Peggy Lipton grandit à Long Island avec ses frères, Robert, qui deviendra acteur, et Kenneth. Elle fréquente le lycée Lawrence et l’école professionnelle des enfants. Abusée sexuellement par un oncle, Peggy Lipton devient une enfant nerveuse et solitaire. Des accès de bégaiement l’empêchent parfois de dire son propre nom. 

En 1964, la famille déménage à Los Angeles ; Peggy devient, à ses dires, une « Hippie Topanga Canyon », explorant méditation et yoga, et subsistant de gâteaux de riz et de fromage cottage

Le père de Peggy Lipton a organisé ses premiers travaux de modélisation à New York, tandis que sa mère l’encourageait à prendre des cours de théâtre. 

À 15 ans, Lipton est devenue un mannequin de l’Agence Ford et de là s’ensuivit le succès de sa carrière. Après qu’elle et sa famille ont déménagé à Los Angeles en 1964, Lipton a signé un contrat avec Universal Pictures. 

Elle fait ses débuts à la télévision à l’âge de 19 ans dans la sitcom NBC John Forsythe Show (1965). 

Entre 1965 et 1968, elle est apparue dans les épisodes de la série suivante : Ensorcelé, Le Virginien, ( the virginian ) Les Envahisseurs, La Route de l’Ouest, Le F. B. I., de Walt Disney, Willie et le Yankee, L’Heure  d’Alfred Hitchcock, et M. Novack.

Elle est devenue célèbre avec La Nouvelle Équipe. Apparaissant perdue et vulnérable, comme l’a écrit David Hutchings, son interprétation de Julie Barnes en « canari à l’aile cassée » lui a valu quatre nominations aux Emmy Awards et quatre nominations aux Golden Globes.

 

THE MOD SQUAD

En 1971, elle a remporté un Golden Globe de la meilleure actrice dans une série télévisée dramatique. Mince avec de longs cheveux blonds, habillée en mini-jupes, ou en pantalons pattes d’éléphant, son personnage de Julie Barnes devint une icône de la mode hippie de son temps.

 Au cours de la fin des années 1960 et au début des années 1970, Peggy Lipton s’est liée à une série d’hommes alcooliques, violents, et/ou mariés. 

Elle a également eu une relation avec le Beatle Paul Mc Cartney de 1965 à 1968. 

Lorsque Paul venait aux États-Unis, il passait beaucoup de temps avec Peggy, très amoureuse.

 Malheureusement pour elle, Paul McCartney était un peu tel un marin, une fille dans chaque port. 

En 1968, Paul venu à Miami contacte Linda Eastman afin qu’ils passent la soirée ensemble. Peggy, au courant de la présence de Paul aux États-Unis, accourt à l’hôtel où il est descendu, mais se voit éconduire par Barry Miles comme une vulgaire groupie, elle ne reverra Paul. 

Elle apprendra son mariage avec Linda en 1969, en restera inconsolable au point de consommer de la drogue. Peggy Lipton a évoqué cette période dans sa biographie Respirer (2005), co-écrit par David et Coco Dalton.

Peggy Lipton épouse le musicien et producteur Quincy Jones en 1974 et fait une pause dans le cinéma pour se consacrer à sa famille (avec une exception notable de figurante dans le film Le Retour de la Mod Squad en 1979), à leurs deux filles, Rashida et Kidada Jones. Lipton et Jones se séparent en 1986, et divorcent en 1990. 

En 2004, elle révèle son le cancer du côlon et son traitement. A partir de 2003, Jack Chartier, à l’époque chef d’état-major de Alan Hevesi, puis contrôleur de l’État à New York, verse une somme de 90 000 $ à Lipton pour l’aider à payer ses loyers et factures d’hôpitaux. Il a également investi 44 000 $ supplémentaires en fonds de caisse de retraite pour une entreprise dans laquelle une des filles de Lipton est impliquée

Peggy Lipton for the television series, ‘The Mod Squad,’ c. 1968. (Photo by ABC/Hulton Archive/ Getty Images)

Ali Mac Graw


Elizabeth Alice “Ali” MacGraw (born April 1, 1939) is an American actress, model, author, and animal rights activist.

Ali MacGraw

Ali MacGraw

 

She first gained attention with her role in the 1969 film Goodbye, Columbus, for which she won the Golden Globe Award for Most Promising Newcomer. She reached international fame in 1970’s Love Story, for which she was nominated for an Academy Award for Best Actress and won the Golden Globe Award for Best Actress in a Motion Picture – Drama.

In 1972, MacGraw was voted the top female box office star in the world and was honored with a hands and footprints ceremony at Grauman’s Chinese Theatre after having been in just three films. She went on to star in the popular action films The Getaway (1972) and Convoy (1978) as well as the romantic sports drama Players (1979), the comedy Just Tell Me What You Want (1980), and the historical novel-based television miniseries The Winds of War (1983). In 1991, she published an autobiography, Moving Pictures.

MacGraw was born in Pound Ridge, New York, the daughter of commercial artists Frances (née Klein; 1901–1980)  and Richard MacGraw.

She has one brother, Dick, an artist. Her father was adopted. Her maternal grandparents were from Budapest, Hungary, of Jewish heritage.

MacGraw’s mother chose not to disclose her true ethnicity to her father, instead professing ignorance about it. “I think Daddy was bigoted,” MacGraw has said.

Her mother was considered a “pioneer” as an artist, who had taught school in Paris before settling in Greenwich Village.

Her parents married when her mother was 40: “My gorgeous father: a combination of Tyrone Power and a mystery, a brilliant artist and a brain beyond brains.”

He was born in New Jersey with his childhood spent in an orphanage. He ran away to sea when he was 16 and studied art in Munich. MacGraw adds, “Daddy was frightened and really, really angry. He never forgave his real parents for giving him up.”

As an adult, he constantly suppressed the rage he built up against his parents.

She described her father as “violent”.

Beginning in 1960, MacGraw spent six years working at Harper’s Bazaar magazine as a photographic assistant to fashion maven Diana Vreeland.

She worked at Vogue magazine as a fashion model, and as a photographer’s stylist. She has also worked as an interior decorator.

ALI Mac Graw

ALI Mac Graw

MacGraw started her acting career in television commercials, including one for the Polaroid Swinger camera. MacGraw gained critical notice in the 1969 film Goodbye, Columbus, but real stardom came in 1970 when she starred opposite Ryan O’Neal in Love Story, one of the highest-grossing films in U.S. history.

MacGraw was nominated for the Academy Award for Best Actress for that performance. Following Love Story, MacGraw was celebrated on the cover of Time magazine.

 

In 1972, after appearing in just three films, she had her footprints and autograph engraved at Grauman’s Chinese Theatre. She then starred opposite Steve McQueen in The Getaway (1972), which was one of the year’s top ten films at the box office.

Having taken a five-year break from acting, in 1978 MacGraw re-emerged in another box office hit, Convoy (1978), opposite Kris Kristofferson. She then appeared in the films Players (1979) and Just Tell Me What You Want (1980), directed by Sidney Lumet.

In 1983, MacGraw starred in the highly successful television miniseries The Winds of War.

In 1985, MacGraw joined hit ABC prime-time soap opera Dynasty as Lady Ashley Mitchell, which, she admitted in a 2011 interview, she did for the money.

She appeared in 14 episodes of the show before her character was killed off in the infamous “Moldavian wedding massacre” cliffhanger episode in 1985.

MacGraw made her Broadway theatre debut in New York City in 2006 as a dysfunctional matriarch in the drama Festen (The Celebration).

In 2016, MacGraw reunited with Love Story co-star Ryan O’Neal in a staging of A.R. Gurney’s play Love Letters.

In 1991, People magazine selected MacGraw as one of its “50 Most Beautiful People” in the World.

 

In 2008 GQ magazine listed her in their “Sexiest 25 Women in Film Ever” edition.

Having become a Hatha Yoga devotee in her early 50s, MacGraw produced a yoga video with the American Yoga Master Erich Schiffmann, Ali MacGraw Yoga Mind and Body.

This video was a bestseller upon release and still popular more than a decade later. The video’s impact was such that in June 2007 Vanity Fair magazine credited MacGraw with being one of the people responsible for the practice’s recent popularity in the United States.

In July 2006, MacGraw filmed a public service announcement for People for the Ethical Treatment of Animals (PETA), urging residents to take their pets with them in the event of wildfires.

In 2008, she wrote the foreword to the book Pawprints of Katrina  by author Cathy Scott and photography by Clay Myers about Best Friends Animal Society and the largest pet rescue in U.S. history.

An animal rights advocate throughout her life, she received the Humane Education Award by Animal Protection of New Mexico for speaking out about animal issues.

 

MacGraw has acknowledged having had an abortion in her early twenties, at a time when the procedure was illegal.

After college, she married Robin Hoen, a Harvard-educated banker, but they divorced after a year and a half.

Ali and Kris Kristofferson in Convoy

Ali and Kris Kristofferson in Convoy

On October 24, 1969, MacGraw married film producer Robert Evans; their son, Josh Evans, is an actor, director, producer and screenwriter.

They divorced in 1972 after she became involved with Steve McQueen on the set of The Getaway. She married McQueen on August 31, 1973, in Cheyenne, Wyoming, and divorced him in 1978.

 

 

 

 

 

MacGraw’s autobiography, Moving Pictures revealed her struggles with alcohol and sex addiction. She was treated for the former at the Betty Ford Center.

 

When former husband Evans received his star on the Hollywood Walk of Fame in 2002, she accompanied him. Their grandson Jackson was born in December 2010 to Josh and his wife, singer Roxy Saint.

 

Since 1994 she has lived in Tesuque, New Mexico, after “fleeing Malibu” when a house she was renting burned down.

 

Ali Mac Graw

Ali Mac Graw

 

 

Also :    https://radiosatellite.co/2018/01/14/ryan-oneil/

 

Sources : Youtube / Pinterest / Wikipedia

AMERICAN GRAFFITI


American Graffiti is a 1973 American coming-of-age comedy-drama film directed and co-written by George Lucas starring Richard Dreyfuss, Ron Howard, Paul Le Mat, Harrison Ford, Charles Martin Smith, Cindy Williams, Candy Clark, Mackenzie Phillips, Bo Hopkins, and Wolfman Jack. Suzanne Somers and Joe Spano also appear in the film.

 

Set in Modesto, California in 1962, the film is a study of the cruising and rock and roll cultures popular among the post–World War II baby boom generation. The film is told in a series of vignettes, telling the story of a group of teenagers and their adventures over a single night.

The genesis of American Graffiti was in Lucas‘ own teenage years in early 1960s Modesto. He was unsuccessful in pitching the concept to financiers and distributors but found favor at Universal Pictures after United Artists, 20th Century Fox, Columbia Pictures, Metro-Goldwyn-Mayer, Warner Bros., and Paramount Pictures turned him down. Filming was initially set to take place in San Rafael, California, but the production crew was denied permission to shoot beyond a second day.

 

American Graffiti premiered on August 2, 1973 at the Locarno International Film Festival in Switzerland and was released on August 11, 1973 in the United States. The film received widespread critical acclaim and was nominated for the Academy Award for Best Picture. Produced on a $777,000 budget, it has become one of the most profitable films of all time. Since its initial release, American Graffiti has garnered an estimated return of well over $200 million in box office gross and home video sales, not including merchandising. In 1995, the United States Library of Congress deemed the film “culturally, historically, or aesthetically significant” and selected it for preservation in the National Film Registry.

 

In early September 1962 in Modesto, California, on the last evening of summer vacation, recent high school graduates and longtime friends, Curt Henderson and Steve Bolander, meet John Milner, the drag-racing king of the town, and Terry “The Toad” Fields in the parking lot of the local Mel’s Drive-In diner. Curt and Steve are scheduled to travel the next morning to Northeastern United States to start college. Despite receiving a $2,000 scholarship from the local Moose Lodge, Curt has second thoughts about leaving Modesto. Steve gives Toad his 1958 Chevrolet Impala to watch while he’s away at college until he returns at Christmas. Steve’s girlfriend, Laurie, who is also Curt’s sister, arrives in her car. Steve suggests to Laurie, who is already glum about him going to college, that they see other people while he is away in order to “strengthen” their relationship. Though not openly upset, she is displeased with his proposal which affects their interactions the rest of the evening.

 

Curt accompanies Steve, last year’s high school student class president, and Laurie, the current head cheerleader, to the back-to-high-school sock hop. In one story line, Curt is desperate to find a beautiful blonde girl driving a white 1956 Ford Thunderbird that he sees en route to the dance: at a stoplight, she appears to say “I love you” before disappearing around the corner. After leaving the hop, Curt is coerced by a group of greasers (“The Pharaohs”) to participate in an initiation rite that involves hooking a chain to a police car and ripping out its back axle. The Pharaohs tell Curt that “The Blonde” is a trophy wife or prostitute, but he refuses to believe either.

Determined to get a message to the blonde girl, Curt drives to the local radio station to ask DJ Wolfman Jack, who is omnipresent on the car radios, to announce a message for the blonde girl. Inside the radio station, Curt encounters a bearded man who tells him that the voice of The Wolfman is pre-taped from afar.

The man still accepts the message from Curt to see what he could do. As he is leaving the station, Curt sees the man talking into the microphone and hears the voice of The Wolfman, and realizes the man is the actual DJ himself.

 

Sure enough, The Wolfman eventually reads the message on the radio for “The Blonde” to meet Curt or call him at a number which happens to be a telephone booth. Curt waits by the telephone booth and early the next morning, he is awakened by the phone ringing. It turns out to be “The Blonde” who says she knows him and maybe she would see him cruising the coming night. Curt replies probably not, intimating that he decided to go to college and will be leaving that morning.

The Toad, in Steve’s car, and John, in his yellow 1932 Ford Deuce Coupé hot rod, cruise the strip of Modesto. Toad, who is normally socially inept with girls, successfully picks up a flirtatious, and somewhat rebellious, girl named Debbie. John inadvertently picks up Carol, an annoying 12-year-old who seems fond of him. Another drag racer, the handsome and arrogant Bob Falfa, is searching out John in order to challenge him to a race.

Steve and Laurie have a series of arguments and make-ups through the evening. They finally split and, as the story lines intertwine, Bob Falfa picks up Laurie in his black 1955 Chevrolet One-Fifty Coupé. Bob finally finds John and goads him into racing. A parade of cars follow them to “Paradise Road” to watch the race. Laurie rides shotgun with Bob as Toad starts the race. As Bob begins taking a lead in the race, he loses control of the car when a front tire blows, and the car plunges into a ditch and rolls over. Steve and John leap out of their cars and rush to the wreck as a dazed Bob and Laurie stagger out of the car before it explodes. Distraught, Laurie grips Steve tightly and begs him not to leave her. He assures her that he will stay in Modesto.

At the airfield in the morning, Curt says goodbye to his parents, his sister Laurie, Steve, John and The Toad. As the plane takes off, Curt, gazing out of the window, sees the white Ford Thunderbird belonging to the mysterious blonde driving down a country road.

An on-screen epilogue reveals that

John is killed by a drunk driver in December 1964,

Toad is reported missing in action near An Lộc in December 1965,

Steve is an insurance agent in Modesto, California,

and

Curt is a writer living in Canada.

 

Richard Dreyfuss as Curt Henderson

Ron Howard as Steve Bolander

Paul Le Mat as John Milner

Charles Martin Smith as Terry “The Toad” Fields

Cindy Williams as Laurie Henderson

Candy Clark as Debbie Dunham

Mackenzie Phillips as Carol Morrison

Wolfman Jack as himself

Bo Hopkins as Joe Young

Manuel Padilla, Jr. as Carlos

Harrison Ford as Bob Falfa

Lynne Marie Stewart as Bobbie Tucker

Terry McGovern as Mr. Wolfe

Kathleen Quinlan as Peg

Scott Beach as Mr. Gordon

Susan Richardson as Judy

Kay Lenz as Jane

Joe Spano as Vic

Debralee Scott as Falfa’s Girl

Suzanne Somers as “The Blonde” in T-Bird

American Graffiti

 

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Sources : Wikipedia / YouTube/Pinterest/Google/Tumblr/various

Tears in heaven…First time played…Souvenirs…


We always prefer to let you show videos…let you see pictures…let you listen music and souvenirs than to talk uselessly.

We, ( in our studios) consider that the best way to express our feelings : It’s “music” “videos” and “pictures”. Words could be used but as we  ( you) are coming from different countries and readers / listeners  are from north america to Russia … From South America to Middle East…From Africa to Asian countries..Well, Music, photos  and videos are the best way to express what we like, what we could feel.

Here is an “old” video for an interview : “Eric Clapton”, presenting for the first time his golden hit ” tears in heaven”. We found it on the social networks and of course we are glad to share it with you.

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For the 70s lovers


VIDEO TO WATCH ( below)

VIDEO A VOIR  (en Dessous)

Wonderful


Below this picture,  a video tracing the evolution of dance ( the 20th century)

dance_marathon_1923

 

Sources : shared.com

JOE DASSIN L’INOUBLIABLE… UNFORGETTABLE


Joseph Ira  Dassin, dit Joe Dassin, né le 5 novembre 1938 à New York et mort le 20 août 1980 à Papeete (Tahiti), est un chanteur, compositeur et écrivain américano-français.

En seize ans de carrière (1964-1980), il a connu de nombreux succès dans la francophonie et ailleurs2, notamment en Finlande, en Grèce et en Allemagne 3 : Joe Dassin a vendu plus de 50 millions de disques dans le monde4 dont près de 17 millions de disques en France, soit 10 millions de singles et 7 millions d’albums

Dassin l'été indien

Biographie et parcours professionnel

Naissance et famille

Joe Dassin est le fils de Jules Dassin (1911-2008), réalisateur de films, et de Béatrice Launer (1913-1994), violoniste virtuose, tous deux de nationalité américaine.

Il a deux sœurs, Richelle (surnommée « Ricky ») et Julie (surnommée « la petite »).

Son grand-père, Samuel Dassin, était un émigré juif russe originaire d’Odessa.

A son arrivée en Amérique, ne parlant pas anglais, il dit simplement qu’il venait d’Odessa aux services d’immigration.  Ces derniers l’enregistrèrent sous le nom de « Dassin ».

Les années 1960

Jeunesse

Joe Dassin et ses parents habitent New York puis Los Angeles où il apprend le piano, le banjo et la guitare auprès de sa mère.

Son père ayant brièvement appartenu au Parti communiste américain (jusqu’à la conclusion du pacte germano-soviétique) est dénoncé par un membre du parti, le réalisateur Edward Dmytryk, désireux de s’affranchir des soupçons qui pèsent sur lui  et cédant à la pression de la commission des activités anti-américaines.

Aussi la famille s’expatrie en 1950 en Europe où elle déménage de nombreuses fois .

Suivant son père dans ses tournages, Joe Dassin connait onze écoles : il étudie notamment dans plusieurs collèges en Angleterre, en Italie, à l’Institut Le Rosey en Suisse.

Il passe son bac à Grenoble. Il obtient la mention « bien ».

Supportant mal la séparation de ses parents en 1954, il décide de venger son père, chassé comme un paria, en regagnant les États-Unis.

Il  finance ses études par différents jobs (plongeur dans un restaurant, chauffeur-livreur, testeur psychologique, DJ dans la radio WCX de Détroit) ou en interprétant, dans les cafés autour du campus ou lors de mariages, des airs de son chanteur préféré Georges Brassens, mais est trop timide pour chanter devant un vrai public.  C’est en fréquentant le milieu musical qu’il fait la connaissance de Pete Seeger et Bob Dylan.

Il étudie d’abord la médecine puis choisit la spécialité de l’ethnologie.

Il soutient une thèse d’ethnologie sur la tribu des Indiens Hopis à l’université du Michigan et reçoit le diplôme de « professeur assistant »  le jour de ses 23 ans.

Son doctorat en poche, il est réformé par les autorités militaires à cause d’un souffle au cœur.

Alors qu’il envisage une carrière d’écrivain, il revient en 1962 en France où il rejoint sa mère et ses sœurs.

Il  écrit un roman et des nouvelles, écrit pour des magazines américains (New Yorker, Playboy), travaille comme technicien pour son père, puis fait quelques figurations dans ses films.

Joe Dassin à l'olympia

Joe Dassin à l’olympia

Son père l’engage comme assistant sur le tournage de « Topkapi », film où il fait une brève apparition dans le rôle de Josef.

Le 13 décembre 1963, il rencontre sa compagne, Maryse Massiera, chez Eddie Barclay . L’année suivante, il double des films américains et écrit des articles pour Playboy et The New Yorker.

En 1965, il apparaît dans le film Nick Carter et le trèfle rouge de Jean-Paul Savignac, aux côtés d’Eddie Constantine, Nicole Courcel et Graziella Galvani, et dans Lady L. .

Il est   (aussi)  assistant-metteur en scène sur le tournage de What’s New Pussycat?..

Premiers échecs (1964-1965)

Maryse Massiera est une connaissance de Catherine Régnier, secrétaire chez CBS Records, entreprise qui s’est récemment installée en France afin d’y distribuer les disques de ses stars américaines.

Maryse fait donc passer à son amie une bande sur laquelle Joe Dassin entonne un folk song américain, Freight Train.

Son objectif est de graver cette bande sur un disque simple afin de l’offrir à Joe Dassin pour son anniversaire.

A l’écoute de la bande, CBS est convaincue de lancer son premier artiste francophone. Ainsi, le 26 décembre 1964, Joe Dassin est le  premier résident français à signer avec une maison de disques américaine. Il enregistre quatre titres (dont la version française de Freight Train), accompagné de l’orchestre de Oswald d’Andréa.  Deux chansons sont signées Jean-Michel Rivat et Frank Thomas.

Au mois de juin 1965, il sort un nouvel  Maxi 45t,  dont le titre phare est « Je vais mon chemin ». Ce deuxième disque est un nouvel échec.

Il ne s’écoule qu’à 2 000 exemplaires environ.  Et si, en ce début de carrière, Joe Dassin a quelquefois l’occasion d’interpréter ses chansons à la télévision (notamment « Je change un peu de vent » et «  Je vais mon chemin » ), les médias s’intéressent plus à lui en tant que fils de Jules Dassin qu’en tant que chanteur.

Début du succès (1965-1966)

Son troisième EP sort à la fin de l’année 1965.   Si Bip-bip ne marque pas encore le marché du disque (environ 25 000 exemplaires sont écoulés), ce titre devient son premier succès d’estime.

C’est en tout cas son premier vrai succès radio et  pour la première fois de sa carrière, Joe Dassin fait son apparition dans les hit-parades.

Le 31 décembre 1965, Jacques Souplet, nouveau PDG de CBS France, lui présente celui qui deviendra son producteur et ami, Jacques Plait.

En avril 1966, il sort son quatrième EP (sa première collaboration avec Jacques Plait). Deux titres sortent rapidement du lot :  « Ça m’avance à quoi » et « Comme la lune ».

Bien que les  ventes soient encore modestes,  cependant , les titres sont diffusés en boucle sur les radios musicales  et contribuent à la popularité grandissante du chanteur.

Joe Dassin est plus que jamais catalogué parmi les chanteurs de folk song de langue française. Au cours de l’été, il sort son premier single, « Guantanamera »  ainsi que l’adaptation d’un traditionnel, Katy Cruel.

Joe Dassin effectue également son premier concert en public à l’Ancienne Belgique à Bruxelles. À la fin de l’année, il sort un nouvel EP, « Excuse me lady », ainsi que le tout premier album de sa carrière, Joe Dassin à New-York, album qu’il enregistre à New York. Toujours pas de franc succès commercial, même si Joe Dassin continue lentement sa progression dans les hit-parades.

Reconnaissance (1967-1968)

En janvier 1967, André Salvet et Bernard Chevry créent le MIDEM que Joe Dassin va présenter en deux langues.

Il sort aussi un nouvel EP le 3 mai 1967 .  Il obtient le premier vrai réel succès de sa carrière avec « Les Dalton » . « Viens voir le loup », titre de la face B, est éclipsé et n’obtient qu’un succès d’estime.

Sur ce disque, figure la chanson  « Hello hello »  qui reste le premier texte de Claude Lemesle écrit pour Joe Dassin.

À l’automne 1967, il signe « Bébé requin »  pour France Gall et enregistre un nouveau single dont les titres sont  « Marie-Jeanne » et « Tout bébé a besoin d’une maman ».

JOE DASSIN ON STAGE  ( Listen to Joe Dassin's Songs on webradios Radio Satellite & Radio Satellite2 )

JOE DASSIN ON STAGE ( Listen to Joe Dassin’s Songs on webradios Radio Satellite & Radio Satellite2 )

En mars 1968 sort le nouveau single de Joe Dassin avec La Bande à Bonnot. La chanson devient un classique de l’artiste au fur et à mesure des années. Un mois à peine plus tard, il sort un nouveau 45T, Siffler sur la colline. En pleine période de mai 68, le titre rencontre un grand succès commercial : 500 000 copies sont vendues en France15[réf. incomplète]. Joe Dassin devient avec ce titre une véritable vedette et remporte le premier disque d’or de sa carrière.

En novembre 1968, Joe Dassin confirme son succès en sortant Ma bonne étoile, une reprise d’une chanson italienne (comme Siffler sur la colline) avec des paroles de Pierre Delanoë.

joe Dassin country music

joe Dassin country music

Le titre s’installe en tête des hit-parades et remporte un nouveau disque d’or (367 000 exemplaires). La face B du disque « Un peu comme toi » apparait  également dans les hit-parades. Cette période marque également la fin de la collaboration entre Joe Dassin, Jean-Michel Rivat et Franck Thomas. Le nouveau parolier  attitré de Joe Dassin  est désormais Pierre Delanoë.

En mars 1969, Le Petit Pain au chocolat, toujours adapté de l’italien par Delanoë, devient son nouveau grand succès (447 000 copies). Joe Dassin est de nouveau en tête des hit-parades.

Tournées et récompenses (1969)

Le 1er avril 1969, Joe Dassin est victime d’un premier infarctus. Reprenant ses tournées, il rencontre Boby Lapointe, qui lui présente Georges Brassens et l’emmène en tournée.

L’année 1969 se poursuit par  « Les Champs-Élysées », une adaptation anglaise par Pierre Delanoë de Waterloo Road de Lionel Morton, et « Le Chemin de papa », cosigné par Dassin et Delanoë.

Les deux chansons se vendent à plus de 550 000 exemplaires chacune.

 

Le 22 octobre 1969, Joe Dassin cloture sa tournée à l’Olympia avant de recevoir le grand prix du disque de l’Académie Charles-Cros pour l’album « Le Chemin de papa », qui est l’album le plus vendu de sa carrière (presque 800 000 exemplaires) et dans lequel il reprend l’ensemble de ses hits précédents : « La Bande à Bonnot », « Siffler sur la colline », « Ma bonne étoile », « Le Petit Pain au chocolat », « les Champs-Élysées », « Le Chemin de papa »ou encore « Mon village du bout du monde ».

L’Amérique et nouveaux tubes (1970)

Alors qu’il est au sommet de sa carrière discographique, il enregistre « L’Amérique » ainsi que « Cécilia », deux adaptations signées Delanoë.

Le disque se vend à plus de 730 000 exemplaires.

L’Amérique devient rapidement sa chanson de référence . Désormais chacun de ses concerts est cloturé  par ce titre. Après une tournée au cours de l’été, Joe Dassin est à la recherche de nouveaux titres qui seraient susceptibles de prendre la relève de L’Amérique.

Le retour de l’armée de Claude Lemesle marque un nouveau tournant dans sa carrière.

En effet, à la fin de l’année 1970, celui-ci propose deux chansons à Joe Dassin mais ce dernier les refuse.

De nouveau, Jacques Plait convainc le chanteur d’enregistrer ces deux titres. « La Fleur aux dents »

et « L’Équipe à Jojo » qui remportent un énorme succès.

Les ventes de l’album s’en ressentent (740 000 ventes environ)

Le creux de la vague (1971-1974)

Le 4 janvier 1971, « La Fleur aux dents est mis en vente ».

C’est l’un des grands succès de ce début d’année et 359 000 exemplaires seront vendus.

Fin 1971, Joe Dassin sort un nouvel album ainsi qu’un single extrait de cet album.

La promotion de l’album est correcte et le titre phare de l’album  « Elle était oh »  se classe dans le top 10 des hit-parades de l’époque, mais Joe Dassin connaît tout de même un premier creux de la vague .

Les ventes connaissent un net fléchissement. hormis « Elle était oh »,  peu de titres de l’album s’imposent.

« La Mal Aimée du courrier du cœur », « Bye Bye Louis », « La Ligne de vie » sont repris par d’autres artistes et malgré ceci, le succès n’est pas au rendez-vous.

Joe Dassin retrouve le succès lors de l’été 1972 avec « Taka Takata »  qui s’écoule à 300 000 exemplaires ce qui lui vaut un nouveau disque d’or.

A la fin de l’année, il sort son nouveau succès 3La Complainte de l’heure de pointe3.

Joe Dassin sort alors son nouvel album intitulé «  Joe ».

Fin 1974, Joe Dassin sort un nouvel album. « Vade rétro »  et   « Si tu t’appelles mélancolie » qui  lui permettent de retrouver le succès (384 000 ex).

joe dassin et hélène ségara album

joe dassin et hélène ségara album

Le 24 mai 1975, est lancé sur la marché  « L’Été indien » de Toto Cutugno et de Vito Pallavicini. Titre qui devient le plus grand succès de sa carrière.

Il en vend 950 000 ex en France et quasiment deux millions dans le monde . Le titre est interprété, repris,  dans vingt-cinq pays , traduit en plusieurs langues (allemand, italien, espagnol).

Joe Dassin devient le chanteur français le plus apprécié et le plus exporté dans les pays de l’Est, comme l’URSS ou la Pologne.

joe Dassin l'amérique

joe Dassin l’amérique

L’Été indien ne sort sur aucun album studio du chanteur mais figure sur une compilation de ses plus grands succès, sortie à la fin de l’année 1975. L’Été indien est le plus gros succès de l’année 1975 en France et sa version française un plus grand succès que la version originale italienne.

Fin 1975, Joe Dassin sort un nouveau single : La face A  « Ça va pas changer le monde »  s’accapare   la 1re place des hit-parades.  La face B « Il faut naître à Monaco »  lui permet de se replacer dans un registre musical comique voire ironique.

« Et si tu n’existais pas »  (qui est l’un de ses plus grands classiques) et « Salut »  lui permettent  d’occuper à nouveau les top ( appellés Hit Parade à l’époque).

À la fin des années 1970, Joe participe à plusieurs émissions de Maritie et Gilbert Carpentier avec sa bande composée de Carlos, Jeane Manson, Joelle  ( du groupe il était une fois ) , Dave.

Fin 1976, il présente son nouvel album nommé « Le Jardin du Luxembourg »  composé à l’attention de Dassin, par Toto Cutugno et Vito Pallavicini. Ce titre  est quelque peu boudé par les radios et les télévisions en raison de sa longueur (douze minutes).

Joe Dassin se voit dans l’obligation de présenter une version écourtée du morceau.

Ce titre ne dispose même pas d’une version 45 tours, seul un 45 tours promotionnel verra le jour. Début 1977, ce sont donc «  A toi »  et « Le Café des trois colombes »  qui sortent et remportent un grand succès malgré la vague Disco en cours à cette époque

Le 23 juin 1977, à Paris, Joe Dassin participe au spécial télé Soirée canadienne du Québec à l’Olympia enregistré par la Société Radio-Canada.

Comme chaque fin d’année, il profite des fêtes pour sortir un nouvel album.  « Les femmes de ma vie » ne connait pas de succès, au niveau des ventes.  En revanche, le single extrait de l’album (sur lequel figure  « Dans les yeux d’Émilie » se vend à près de  250 000 exemplaires.

Durant l’été 1978, il enregistre « Si tu penses à moi », adapté de « No Woman, No Cry », un tube de Bob Marley revu par Boney M. Le succès de ce titre est mitigé.

Fin 1978, Joe Dassin atteint ses quinze ans de carrière dans la chanson. Pour l’occasion, il sort un nouvel album intitulé 15 ans déjà.

Le disque obtient un disque d’or pour 100 000 exemplaires vendus

Santé

La santé de Joe Dassin se détériore à cette époque. En décembre 1979, une alerte cardiaque, doublée d’une opération due à un ulcère à l’estomac, l’oblige à annuler toutes ses tournées.

Dans les mois qui suivent, il multiplie les malaises cardiaques, exacerbés par le stress (notamment la procédure juridique concernant la garde de ses enfants depuis son divorce en 1977), l’alcool et la drogue.

Il sort tout de même un ultime single nommé « the guitar don’t lie . Fin juillet 1980, Joe est à nouveau victime d’un infarctus et est hospitalisé à l’hôpital américain de Neuilly.

Décès

Après avoir fait une énorme tournée en Europe dont il  en sort très fatigué, sans avoir obéi à son médecin qui lui avait conseillé de se reposer.  Il  part, donc,  à Tahiti pour une quinzaine de jours de vacances et de repos… Le 20 août 1980, Joe Dassin meurt à l’âge de 41 ans à la suite d’un infarctus du myocarde à Papeete (Tahiti).

Il déjeunait alors avec sa famille et des amis dans le restaurant  « Chez Michel et Éliane »  lorsque soudainement, à 12 h 30, il est pris d’un malaise et s’effondre sur sa chaise.

La seule ambulance de Papeete est indisponible et n’arrive sur les lieux qu’environ quarante minutes après l’attaque cardiaque.

Le cœur de Joe Dassin bat encore à l’hôpital mais de façon très aléatoire. Malgré un massage cardiaque et un essai de réanimation, le médecin ne peut que constater son décès.

Une plaque à sa mémoire est visible à Papeete au bar « le Rétro » sur le front de mer où il est mort, au premier étage. Son monument funéraire se trouve à l’Hollywood Forever Cemetery, cimetière juif d’Hollywood à Los Angeles (Californie).

Joe dassin le meilleur

Joe dassin le meilleur

Vie privée

Le 18 janvier 1966, Joe Dassin se marie avec Maryse Grimaldi. Après avoir avorté à plusieurs reprises « pour qu’elle puisse continuer à le suivre dans ses nombreuses tournées », elle lui donne son premier fils, Joshua, né le 12 septembre 1973 mais mort prématurément, cinq jours après sa naissance.

Joe Dassin est alors animateur d’une série d’émissions radio, Western Story, sur les antennes de Radio Luxembourg.

Séduit par l’environnement de Feucherolles, il y fait construire une très grande maison de 800 m² dans laquelle il vivra avec sa famille de 1975 à 1980. Ses deux enfants y passeront leur petite enfance.

Le 5 mai 1977, il divorce à l’amiable de Maryse Grimaldi. Il a en effet rencontré Christine Delvaux, fille d’un commerçant de Rouen, dans une boîte à la mode de Courchevel où il séjournait pour ses vacances d’hiver.

S’étant perdus de vue, ils se sont retrouvés chez Castel au cours d’une soirée entre amis.

Le 14 janvier 1978, il se marie avec Christine Delvaux à Cotignac. Lors d’un gala qu’il effectue gratuitement dans cette même commune, la municipalité lui offre un terrain. Il fera construire une maison de vacances qu’il occupera plusieurs années. Le 14 septembre 1978, son fils Jonathan naît à l’hôpital américain de Neuilly.

Le 22 mars 1980 naît son second fils, Julien. Christine Delvaux meurt en 1995, à l’âge de 50 ans, foudroyée par une crise d’asthme.

Joe Dassin Les Champs-Élysées

Joe Dassin Les Champs-Élysées

SOURCES: Wikipedia

 

Pour écouter Joe Dassin et toutes les variétés Françaises: Rendez vous sur “RS2: Radio Satellite2”:

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