Travelling the world


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Travelling the world

If you’ve ever considered going on a road trip through Iceland, chances are you will have heard of the ‘ring road’. The ring road – or route one – is a 1,332km circular road that runs all around Iceland, connecting all the major cities and towns. This road is well maintained and well signed, making it the perfect way to travel all around Iceland.

Because of the circular nature of the road, pretty much all Icelandic road trips will start (and end) in the capital of Reykjavik.

We had picked up our rental car a couple of days before actually departing from Reykjavik, as it made more sense to use the capital as a base to explore the Golden Circle rather than trying to cram too much into each day.

After packing up our little car and finally saying goodbye to the hustle and bustle of the capital, it wasn’t long before we goodbye to the traffic and finally arrived onto route one.

Seljalandsfoss

Our first stop on route one was Seljalandsfoss, one of approximately fifty bajillion waterfalls in Iceland. In a country of so many beautiful waterfalls – or foss’ in Icelandic – they need to be pretty dang special to stand out. Luckily, Seljalandsfoss isn’t just any other waterfall.

No, Seljalandsfoss is one of the few waterfalls in the world which allow you to actually walk behind the plummeting stream of water! Due to the hollowed out and cave-esque nature of this rock, Seljalandsfoss provides visitors with a way to see a waterfall from a totally different perspective.

Fair warning, even though it looks like the pathway is quite far from the water, you will absolutely still get wet!

 

SOURCES : TO CONTINUE READING :


https://travellingtheworldsolo.com/2019/04/16/day-one-of-driving-icelands-ring-road-waterfalls-waterfalls-and-more-waterfalls/

 

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Notre Dame de Paris


Choqués, attristés et n’arrivant pas à trouver les mots, nous n’avons pu écrire que ce jour, le drame que nous vivons : L’incendie de Notre Dame de Paris

 

Voici quelques jours que le feu brûle. Il a détruit une partie de notre monument historique international.

Croyant chrétiens ou non. Peu importe. Cette batisse majestueuse en plein centre de Paris. En plein point ZERO kilométrique, à partir duquel tous les calculs Kilométriques sont effectués

Ce monument visité par des centaines de millions voire de Milliards de personnes depuis le temps..

Notre Dame de Paris en feu. Notre Dame of Paris on fire

Notre Dame de Paris en feu. Notre Dame of Paris on fire

Cette Cathédrale qui abrite la plupart des grands évènements : Que ce soit les disparitions ou les grands concerts classiques du monde entier.

Cette Cathédrale qui berce l’enfance, l’adolescence et la vie de centaines de générations.

Notre Dame de Paris, nous accompagne en fait, où que nous soyons. Elle est là, quelque part dans notre mémoire. Dans notre histoire. Dans notre vie. Batisse, Orgue, la flèche majestueuse (qui a pris feu et qui est tombée )

 

 

Nous n’avons jamais réalisé sa présence. Ce n’est que lorsqu’elle a brûlé qu’un déclic international s’est mis en marche quelque part.

Les humains, ont réalisé qu’il se passe quelque chose. Un truc qui ébranle nos vie et nous déséquilibre aussi. Le choc: Cette batisse tranquilisante qui nous réconforte, en ces temps durs où l’on se pose des questions , sur “la civilisation”, “sur le mode de vie actuel”, “sur les valeurs humaines”…

L’un des principaux monuments qui regroupe toute l’histoire de notre civilisation….Brûle.

Dans notre malheur, il faut voir le bon côté des choses.

Les citoyens du monde entier ont bougé. Que l’on partage leurs opinions, leurs avis ( politique, religieux, sociaux ou autres…) Nous avons senti une communion pour avancer.

Les personnes fortunées  ont mis la main à la poche ( Merci ) en précisant qu’ils refusent toute défiscalisation quant à leur donation  . C’est une donation purement humanitaire pour reconstruire un pan de ce batiment, un pan de notre culture.

Des citoyens Lambda ont mis aussi la main à la poche.

Des chômeurs ont participé et envoyé un peu de ce qu’ils pouvaient donner pour reconstruire leur cathédrale

Des SDF ( nos équipes ont pu le constater ) ont voulu participer aussi en donnant ce qu’ils n’avaient pas.

 

Ce genre de communion ne peut que nous réjouir et nous féliciter : L’humanité est en bonne santé malgré tout ce que nous voyons.

Lorsqu’un danger approche et que les gens sentent que leur passé, leur présent et leur futur est en danger, ils sont là pour protéger, aider et reconstruire.

Evidemment, il n’est pas question d’écrire cet article sans rendre un grand hommage aux pompiers.  Ces soldats du feu qui , comme à chaque fois, sont là, nous protègent, nous assistent, nous aident aux dépends de leurs vies.

Ces pompiers souvent oubliés. Les gens ne s’en souviennent qu’aux Etrennes de fin d’année. Mais ils sont là, tout au long de l’année aussi.

Oui, les Etrennes de fin d’année: EUX SEULS méritent ces Etrennes

Notre Dame de Paris est là et le restera.

Entretemps, il s’agit de ne pas oublier que nous sommes unis,(es)  tous / toutes,   tous les pays, quelque soient nos communautés, religions, couleurs ou croyances…Nous sommes tous faits d’eau et de sang ….Avec Beaucoup de sentiments et d’amour à partager.

Il suffit de le partager.

 

Vidéos et Photos  : Source ARTE / BFM TV / 

 

 

Les grincheux et l’humanisme


Hier, je n’ai rien écrit, juste posté des photos. Comme beaucoup, j’ai été profondément touchée par l’incendie de Notre Dame. Et aujourd’hui, je suis encore choquée, mais par les réactions qu’on peut lire ça et là. J’en suis même atterrée. Alors que le monde entier a été ému, il faut qu’il y ait des hargneux, […]

via Les grincheux et l’humanisme — Pom de Pin in Wonderland

UNE TANTE BIZARRE


Belœil: Elle échappe à une condamnation après avoir mis sur Facebook des photos de sa nièce nue.

 

vieille tante

grand mother

Un jeune homme est resté bouche bée devant son ordinateur. Sa sœur âgée de 15 ans s’exposait nue, dans des poses érotiques, sur son mur Facebook. Ces images destinées à exciter un adolescent boutonneux de l’autre côté de la Méditerranée étaient là, à la vue de tous ses contacts.

 

 

 

dancing girls

dancing girls

Elles y sont restées quarante minutes, le temps pour la police, alertée par le jeune homme, de découvrir que les images avaient été publiées par un tiers malveillant.

Le coupable a rapidement été identifié. Il s’agissait de la tante de la jeune fille qui avait eu accès à son compte Facebook puisque la jeune fille avait pour habitude de squatter son ordinateur quand elle accompagnait ses parents chez son oncle. Cette mauvaise addiction, qui frappe les jeunes de 7 à 77 ans, n’a pas plu à la tante qui ne portait pas sa nièce dans son cœur.

judge

juge

En analysant le profil de sa nièce, la prévenue avait découvert les photos érotiques envoyées par message privé. Elle avait expliqué au tribunal qu’elle voulait montrer à sa belle-sœur de quoi était capable sa fille car elle n’avait pas l’air de la croire quand elle prétendait qu’il fallait la recadrer.

Mais au lieu de lui en parler en privé, elle n’a rien trouvé de mieux que de l’exposer publiquement, ce qui constitue une infraction pénale. Une grosse bêtise qui l’a conduit devant le tribunal correctionnel. «  C’est clair que c’est une grosse bêtise. Quand on veut jouer à la mère la vertu, on n’enfreint pas soi-même la loi  », avait affirmé l’avocat de la défense, M e  Baudoux. Encore fallait-il que la femme se rende compte que sa maladresse était une infraction.

Jeudi, le tribunal a estimé qu’elle était coupable de l’infraction mais a estimé qu’il ne fallait pas la condamner à un an de prison avec sursis comme l’avait requis le procureur du roi. Une simple suspension du prononcé, qui serait de nature à lui faire comprendre de ne plus recommencer, a été prononcée.

Source: Sud info.be

simpsons

Oye Boy Charlie from INDIA


RADIO SATELLITE  et RADIO SATELLITE 2  sont  les radios qui diffusent des hits dans toutes les langues.

Nous écoutons de la musique US, UK, turque, arménienne, grecque, il est temps de prendre plaisir et écouter la musique indienne.

Une super chanson ” Oye Boy Charlie” (From “Matru Ki Bijlee Ka Mandola) avec MOHIT CHAUCHAN, VISHAL BHARDWAJ, REKHA BHARDWAJ, SHANKAR MAHADEVAN:

Mohit-Chauhan

 

Rekha-Bhardwaj

 

Sans doute que pour de nombreux occidentaux, ces noms ne sont pas familiers, cependant, ce sont des stars en Inde.

On Radio Satellite. The best music, the best stars from all countries..No borders with music.

Music is free for all on RADIO SATELLITE

ENJOY MUSIC with RADIO SATELLITE.

VISHAL BARDWAJ

Shankar Mahadevan

Shankar Mahadevan

 

Le tourisme spatial : à l’infini et au-delà


Tourisme spatial #tourism #space #espace #tourisme

Cliquez pour lire et voir la vidéo

 

 

TOURISME SPATIAL

Etrange et Insolite

Le 12 avril, le monde entier célébrera la Journée internationale des vols habités dans l’espace, une célébration annuelle de l’anniversaire du premier vol spatial habité de Yuri Gagarin.

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SoulMusic Anthologizes Best of Billy Paul On New 2-CD Set


The late Billy Paul was one of the first and brightest stars in the Philadelphia International Records firmament.

 

His very first studio album – 1968’s rather misleadingly titled Feelin’ Good at the Cadillac Club – was the second ever release on the Gamble label, a precursor to PIR, while Going East was the very first…

via The Whole Town’s Talking: SoulMusic Anthologizes Best of Billy Paul On New 2-CD Set — The Second Disc

CV Bizarre


Chien paresseux

STOCKHOLM (Reuters) – Une assistante sociale suédoise a joué sur le principe de la publicité, même négative, pour illustrer l’adage: “En bien ou en mal, l’essentiel c’est qu’on en parle”.

 

AW, 30 ans, a fait passer dimanche dans son quotidien régional  une publicité proclamant “Je veux un travail bien payé. Je n’ai pas d’imagination, je suis anti-sociale, pas créative et sans talent.”

superman needs jogging

 

Son téléphone n’a cessé de sonner depuis, et les propositions d’emploi affluent.

“J’ai tout tourné à l’inverse. J’étais fatiguée de faire les choses comme il faut”, a-t-elle expliqué lundi dans l’édition internet  d’un quotidien.

loto

 

Elle a déjà un rendez-vous mercredi pour un entretien avec une société appelée  qui lui propose un salaire mensuel de  de 2.000 euros, une rémunération supérieure de 30% à celle de son poste actuel d’aide à des personnes âgées.

Article du dessus :  Source  “je meclate”

Evasion de prison, destination dentiste


Un détenu s’est évadé d’une prison suédoise pour faire soigner une rage de dent avant de se rendre à la police, et a vu sa peine prolongée d’une journée.

funny dentist

funny dentist

 

Le prisonnier s’était échappé début novembre de la prison de Oestragaard dans le sud-ouest de la Suède, deux jours avant la date de la fin de sa peine, “parce qu’il avait mal aux dents et voulait aller chez le dentiste”, ont indiqué des responsables de la prison. “En sortant du dentiste il s’est rendu à la police”, selon la même source.

père noel en prison

père noel en prison

L’homme de 51 ans s’était plaint de maux de dents auprès des responsables de la prison quatre jours avant son évasion de cette prison aux mesures de sécurité peu strictes. “Tout mon visage était totalement enflé”, a expliqué ce prisonnier au quotidien suédois Dagens Nyheter. “A la fin je ne pouvais plus le supporter”, a-t-il ajouté.

Sa peine, d’un mois de détention à l’origine, a été prolongée de 24 heures, les responsables de la prison ayant décidé de décompter le jour de l’incident du temps purgé en prison. Le détenu, qui a quitté la prison depuis, a expliqué au journal suédois qu’il était avant tout content de s’être débarrassé de sa rage de dent. “Maintenant il me reste à payer la note du dentiste”, a-t-il conclu.

Dentiste ancienne époque

Dentiste ancienne époque

Source  de l’article AFP  / 7S7 belgique.

 

 

JOHN WAYNE La légende


John WAYNE: Considéré comme l’américain patriote et héroique, 

 

 

JOHN WAYNE

john wayne

john wayne

Marion Mitchell Morrison, dit John Wayne, né le 26 mai 1907 à Winterset dans l’Iowa, aux États-Unis, et mort le 11 juin 1979 àLos Angeles, est un acteurréalisateur et producteur américain.

S’il a joué dans des films policiers, des films de guerre et quelques comédies romantiques, c’est dans ses nombreux westernsque John Wayne s’est réellement imposé, sous la direction de deux réalisateurs particulièrement : John Ford (La Chevauchée fantastiqueLe Massacre de Fort ApacheLa Charge héroïqueRio GrandeLa Prisonnière du désert ou encore L’Homme qui tua Liberty Valance) et Howard Hawks (La Rivière rougeRio BravoEl Dorado ou Rio Lobo). Il tourna également plusieurs films avec Henry Hathaway dont Cent dollars pour un shérif, qui lui valut en 1970 l’unique Oscar de sa carrière.

En 1960, il passa derrière la caméra pour réaliser une fresque historique d’envergure, Alamo, relatant les derniers jours de Davy Crockett et ses compagnons lors de la guerre d’indépendance du Texas. Huit ans plus tard, il coréalisa Les Bérets verts, film engagé justifiant l’intervention américaine au Viêt Nam. Ses deux réalisations reflètent l’engagement personnel de John Wayne, républicain et ardent patriote

Classé 13e plus grande star de légende par l’American Film Institute en 1999, John Wayne est certainement un des acteurs les plus représentatifs du western, une incarnation à lui seul de l’Amérique conquérante. Surnommé « The Duke » (le Duc), il reste toujours aujourd’hui, grâce à ses films, le symbole d’une certaine virilité. Il interpréta ce rôle d’homme viril, dur, solitaire et un peu machiste tout au long de sa carrière, ce qui lui fit déclarer : « J’ai joué John Wayne dans tous mes films et ça m’a plutôt pas mal réussi ».

Enfance et scolarité

 

Glendale aujourd’hui, où vécut John Wayne de 1916 à 1924.

Né dans une famille modeste et presbytérienne, son père est Clyde Leonard Morrison (1884–1937), d’ascendance irlandaise et écossaise et fils d’un vétéran de la Guerre de Sécession, Marion Mitchell Morrison (1845–1915). Sa mère est Mary Alberta Brown (1885–1970), d’origine irlandaise. En décembre 1912 naquit son frère Robert. Ses parents changèrent alors son identité en Marion Mitchell Morrison (toutefois il a souvent affirmé que son vrai nom aurait été Marion Michael Morrison).

John Wayne

John Wayne

 

Peu après son père eut des lésions aux poumons et fut contraint de « changer d’air » pour sa santé. Il mit en vente sa pharmacie et acheta une maison délabrée près du désert des Mojaves, à Palmdale, et des terres où il décida de faire pousser du maïs. Sa femme et ses enfants vinrent le rejoindre en 1914. « Je crois que c’était une misérable baraque. Ni gaz, ni électricité, ni eau courante. […] Nous étions absolument coupés du monde. » C’est pour aider son père qu’il apprit à se servir d’un fusil et à monter à cheval. « Je suis très à l’aise en selle, mais je ne suis pas amoureux des chevaux. Ils sont seulement utiles dans une ferme ou pour tourner un film. »

Lassée du climat rude et de la pauvreté de la famille, Mary Morrison poussa son mari à tout vendre. Ils partirent à Glendale, faubourg de Los Angeles, en 1916, où le père trouva un emploi dans une pharmacie5. Ils déménagèrent régulièrement, s’installant à chaque fois dans une maison plus petite. Marion devint vite un bon élève, lisant beaucoup à la bibliothèque municipale. À douze ans, il enchaîna, en parallèle des cours, des petits boulots  : livreur de journaux, livreur, ouvreur du cinéma Palace.

Son premier vrai souvenir d’un film est probablement Les Quatre Cavaliers de l’Apocalypse avec Rudolph Valentino6. Grâce à son job d’ouvreur, il pouvait accéder à un très grand nombre de films, dont des westerns avec Harry Carey ou des films d’aventures avec Douglas Fairbanks. Il se lia d’amitié avec Bob Steele, future star de westerns des années 1920. C’est aussi dès cette époque que Marion fut surnommé « Big Duke » en référence à son chien, « Little Duke », qu’il emmenait partout avec lui. Au collège, il appartenait aux clubs sportifs et culturels, et fit du théâtre, non comme acteur, mais comme accessoiriste. Ses rares performances d’acteur ne furent pas convaincantes, trop pétrifié qu’il était par le trac

Sportif et accessoiriste

En 1924, l’Université de Californie du Sud décida de recruter les meilleurs éléments des clubs alentours pour sa propre équipe de football, les Trojans, dont Marion Morrison. Pouvant faire ses études gratuitement grâce à une bourse sportive, il fut aussi initié à une fraternité, Sigma Chi8. Il rencontra peu après la vedette Tom Mix, qui assistait à tous les matchs de l’équipe. Appréciant la carrure du jeune homme, il lui offrit un rôle dans un film qu’il devait tourner quelques mois après.

Entre-temps, lors d’un weekend à Balboa, il fut victime d’un accident de bodysurf : il se déchira un muscle de l’épaule après une chute qui le fit entrer en contact avec le fond, tenta vainement quelque temps de continuer le football mais fut évincé de l’équipe, avec toutefois un diplôme de la Fédération de football. Il n’y joua plus jamais. L’été au studio, la star méprisa le jeune Morrison, qui fut toutefois engagé, mais comme accessoiriste.

 
La rencontre avec John Ford fut décisive pour la carrière de John Wayne, même si c’est Raoul Walshqui lui confia son premier grand rôle
 
.
 

Après une figuration sur le film The drop Kick, il fut appelé sur le tournage de Maman de mon cœur, dirigé par John Ford, réalisateur déjà respecté à Hollywood. Celui-ci décida un jour de provoquer gentiment le jeune footballeur Morrison en le faisant se mettre en position, puis en lui faisant mordre la poussière. La pareille que lui rendit aussitôt le jeune homme le fit grimper dans l’estime du réalisateur.

JOHN FORD

JOHN FORD

JOHN WAYNE

john wayne

Il l’embaucha d’ailleurs comme acteur sur son film suivant, La Maison du bourreau, dans un petit rôle de paysan condamné par un juge. John Ford le fit d’abord renvoyer à cause de son comportement (il fut pris d’un fou rire), puis le rappela et tourna la scène.

À partir de 1928, il décida de ne plus aller à l’université. N’ayant plus la bourse accordée grâce à l’équipe de football, il ne pouvait s’offrir les cours. Il retourna à la Fox et devint accessoiriste pendant trois années. « J’ai été menuisier, manœuvre, électricien, charpentier, peintre et tapissier. J’ai tout fait, je connais tous les problèmes du métier et les trucs pour les résoudre. » Il travailla alors de nouveau avec John Ford et d’autres réalisateurs, et fit un peu de figuration, notamment dans Words and musicRough Romance ou Cheer up and smile. Dans Salute, il se confronta pour une des premières fois à un autre étudiant-footballeur voulant participer au film de Ford, Wardell Bond. Dans Hommes sans femmes il fut engagé comme cascadeur, mais payé au tarif d’un accessoiriste

JW young

JW young

Le faux départ

Le cinéma parlant avait rendu difficile la réalisation de westerns. Le réalisateur Raoul Walsh prouva le contraire en coréalisant In Old Arizona qui fut un gros succès. La Fox voulut alors lui confier la réalisation d’un grand western, au budget d’un million de dollars. Des acteurs de théâtre furent engagés  : Tyrone Power et Ian Keith. Pour le rôle principal, le choix s’orienta vers Gary Cooper, mais celui-ci était indisponible car sous contrat avecSamuel Goldwyn. Walsh remarqua alors par hasard cet accessoiriste qui déchargeait un camion, Duke Morrison, puis décida de lui faire faire un bout d’essai. Le producteur délégué et le réalisateur décidèrent juste après de lui faire changer de nom. Par admiration pour le général Anthony Wayne, on lui trouva un nom. Et tout bêtement parce que « John » faisait Américain et simple, on lui donna ce prénom. Ainsi Duke Morrison devint John Wayne, sans même avoir été consulté.

Le tournage de La Piste des géants commença à Yuma. Wayne fut victime d’une dysenterie qui l’obligea à un régime et lui fit perdre trois semaines de tournage. Le film fut tourné en70 mm, près de vingt ans avant le CinemaScope. La première mondiale eut lieu le 24 octobre 1930 dans un grand cinéma de Hollywood et la société de production fit faire à sa nouvelle vedette une promotion mensongère, lui inventant une nouvelle biographie.

Le film fut un échec notoire et la conséquence pour John Wayne fut de redevenir un acteur inconnu, sous contrat, à 75 dollars la semaine. De plus, il se fâcha quelque temps avec John Ford

Les années 1930 : entre échecs et nouveau départ

Un acteur de séries B

Duke fut engagé en 1930 pour tourner Girls demand excitement, une comédie musicale dirigée par un chorégraphe de New York parfaitement inexpérimenté, avec Virginia Cherrill. Puis avec Loretta Young, ce fut Three girls lost. Présenté le 1er mai 1931, le film fut résumé par un critique par : « Tout cela est assez idiot ! » La Fox ne renouvela pas le contrat de John Wayne, qui fut embauché par Harry Cohn, grand patron de la Columbia, qui lui fit tourner un autre film sans intérêt, Men are like that. Ces films permirent toutefois à Wayne de se faire un public. Mais une brouille avec Cohn lui fit perdre son statut de vedette, et il devint un second rôle, au profit de Tim McCoy notamment. Il n’oublia jamais cette offense et, devenu une grande vedette, refusa toujours de tourner pour la Columbia.

La mode était aux films d’aviation. John Wayne, qui venait de prendre un agent, Al Kingston, tourna L’ombre d’un aigle. C’est sur ce tournage qu’il rencontra Yakima Canutt, qui allait devenir l’un des cascadeurs les plus connus du cinéma américain. Il enchaîna avec Hurricane express où il interprétait un aviateur décidé à venger son père, tué dans un accident de chemin de fer. Le 24 juin 1933, il se maria enfin à celle qu’il aimait depuis des années, Josie (Josephine Saenz).

cette dernière lui permit d’obtenir un petit rôle, celui d’un boxeur, dans La Vie de Jimmy Dolan avec Douglas Fairbanks. Al Kingston arrangea ensuite un entretien avec Trem Carr et Leo Ostrow qui venaient de fonder la sociétéMonogram Pictures et Duke se vit offrir un contrat de huit westerns par an, payés 2500 $. Il tourna la même année Les Cavaliers du destin où il fut un cow-boy chantant. Exaspéré par cette expérience humiliante, il déclara plus tard que sa chansonnette en play-back lui donnait l’impression « d’être une foutue pédale. » Pourtant cette époque laissa à Wayne de bons souvenirs, il déclara plus tard  : « D’avril à septembre on travaillait comme des dingues pour fournir de la pellicule aux petites salles qui achetaient la production en bloc et d’avance. Puis, à la fin de l’été, je filais chasser la palombe. Ensuite c’était la saison des oies sauvages et des canards. […] Oui c’était le bon temps

LORETTA YOUNG

LORETTA YOUNG

De nouvelles expériences navrantes

Marié et à présent père, John Wayne refusa un nouveau contrat de 24 000 $ proposé par Herbert J. Yates pour Monogram Pictures, las de vivre loin de sa famille et de ses enfants. Il s’essaya sans succès à la gestion d’une agence immobilière. Puis, sous le nom de Duke Morrison, devint boxeur et fit quelques combats dans le Nevada19. Encore une fois, sans grand succès. Résolu à revenir au cinéma, il tenta de se faire remarquer par Cecil B. DeMille,

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en vain. Son ami Paul Fix lui proposa alors une pièce de théâtre, Red Sky At Evening, avecSally Blane. D’abord enthousiasmé, il déchanta assez vite, se rappelant ses expériences navrantes de jeunesse. La seule et unique représentation fut un désastre  : ayant vidé une bouteille de whisky pour se donner du courage, Wayne entra sur scène ivre, oubliant ses répliques et demandant : « Où suis-je? »

Il reprit alors le chemin des studios et tourna pour Universal quelques films où il abandonnait son personnage de cow-boy. Entre 1936 et 1937, il tourna ainsi Les Pirates de la merConflic où il joua un boxeur, I Cover de war dans le rôle d’un reporter, et L’idole de la foule. Produits à coûts réduits, ces films furent des échecs cuisants. Son public fidèle ne voulait de John Wayne qu’il ne fût qu’un cow-boy, sachant se battre et manier son pistolet. Il revint alors vers Herbert J. Yates et tourna d’autres films médiocres, dont certains ne sortirent qu’une fois John Wayne devenu une star.

« Sauvé » par John Ford

À l’été 1937, John Ford invita Wayne à bord de son bateau, l’Araner, et lui donna à lire un scénario de Dudley NicholsLa Chevauchée fantastique, pour avoir son avis quant à l’acteur qui pourrait endosser le premier rôle. Vexé, il proposa néanmoins Lloyd Nolan. Ce n’est que le lendemain que Ford lui demanda : « Idiot, tu penses que tu ne pourrais pas le jouer le rôle ? » Mais les producteurs envisageaient plutôt des vedettes confirmées  : Gary Cooper et Marlène Dietrich.

Le réalisateur réussit finalement à imposer Wayne et Claire Trevor, ainsi que d’autres acteurs expérimentés, tels que Thomas Mitchell ou George Bancroft.

Le film fut tourné d’octobre à décembre 1938, avec un budget modeste. Quelques scènes furent filmées à Monument Valley, le reste en CalifornieYakima Canutt doubla John Wayne, notamment lors de la grande attaque de la diligence. Ce dernier fut tout au long du tournage tyrannisé par le réalisateur, Ford le reprenant sans cesse sur sa façon de marcher, de jouer, de parler. « Je l’aurais tué. Il me mettait en rage. Mais Ford savait ce qu’il faisait. Il savait que j’avais honte d’être un cow-boy de westerns de séries B et de me retrouver là, en compagnie de ces grandes vedettes. » Ford offrit à son acteur vedette l’une des « plus belles entrées de star de l’histoire du cinéma », avec son fameux mouvement de caméra laissant apparaître Ringo Kid, une selle dans une main, un fusil dans l’autre.

GARY COOPER

GARY COOPER

La Chevauchée fantastique fut un succès public et reçut sept nominations aux Oscar du cinéma. Les conséquences furent nombreuses  : le western comme genre de cinéma fut réhabilité (le critique Frank S. Nugent écrivit  : « Dans un grand geste superbe, John Ford a balayé dix ans d’artifice et de compromis et a réalisé un film qui fait chanter la caméra ») et John Wayne sortit enfin de l’impasse dans laquelle il se trouvait depuis le début des années 1930.

1940-1951 : L’affirmation d’un héros de cinéma américain

Des retrouvailles professionnelles

 John Wayne dans Les Naufrageurs des mers du sud, de Cecil B. DeMille, en 1942.

Le succès international de La Chevauchée fantastique fit de John Wayne une star, auprès du public et des réalisateurs. Son salaire fut multiplié par trois, puis par onze en 1946, et il devint alors un des acteurs les plus chers avec Gary Cooper ou Clark Gable. Il retrouva le réalisateur Raoul Walsh en 1940 pour un western sur fond de guerre civile, L’Escadron noir, avec Claire Trevor. La même année, il fut engagé pour incarner un Américain accueillant des réfugiés allemands fuyant le régime nazi dans Les Déracinés, et retrouva John Ford pour Les Hommes de la mer. Tourné rapidement et pour un coût relativement modeste, le film ne fut pas un succès public. De plus, Wayne n’était toujours pas pris au sérieux par le réalisateur qui ne le pensait pas capable de jouer des rôles plus complexes. Il tourna un dernier film cette année 1940, La Maison des sept péchés, première collaboration avec Marlène Dietrich, avec qui il s’entendit à merveille33.

PAULETTE GODARD

 

Il fut contacté par le réalisateur Cecil B. DeMille. Wayne, qui n’avait pas oublié sa première rencontre infructueuse avec lui, refusa de jouer dans son film, en lui adressant une longue notice visant à modifier le scénario. DeMille le rappela, John Wayne se fit prier et, après plusieurs discussions, DeMille obtint que John Wayne tournât dans Les Naufrageurs des mers du sud, en compagnie de Ray Milland et Paulette Goddard,

PAULETTE GODARD

PAULETTE GODARD

l’histoire d’un pilleur d’épaves dans les Caraïbes. Le tournage fut agréable, l’entente parfaite, ce qui fit déclarer à Wayne  : « Après avoir tourné avec lui, j’ai pu garder la tête haute, en dépit des films dégueulasses que je devais faire pour Republic. » L’année 1942 vit également Lady for a Night, de Leigh Jason avec Joan Blondell pour partenaire.

Après l’entrée en guerre des États-Unis, John Wayne voulut s’engager pour partir combattre en Europe. Mais, marié et père de quatre enfants, sa demande fut rejetée à plusieurs reprises. Sa participation se réduisit alors à des visites dans des camps. Il déclara plus tard  : « J’ai toujours eu honte de ne pas avoir combattu. Lorsque j’interprète un officier à la tête de son commando, j’ai une piètre opinion de moi-même. »

Patriote et soldat au cinéma

JULES DASSIN (qui est aussi le père de Joe Dassin )

Il retrouva Marlène Dietrich en 1942 dans une nouvelle adaptation du roman de Rex BeachLes Écumeurs, avec un jeune premier, Randolph Scott, puis dans La Fièvre de l’or noir, qui connut un accueil chaleureux de la part du public. Wayne incarna également un pilote de l’armée américaine combattant les Japonais dans Les Tigres volants, film de propagande réalisé par David MillerSacramento, un nouveau western, fut choisi par John Wayne car il devait incarner un pharmacien, une manière de rendre hommage à son père décédé en 1938.

Les années suivantes, John Wayne tourna une série de films de guerre  : Quelque part en France de Jules Dassin

JULES DASSIN (qui est aussi le père de Joe Dassin )

JULES DASSIN (qui est aussi le père de Joe Dassin )

où il incarna un pilote réfugié en Normandie, puis Alerte aux marines. Aux côtés d’ Anthony Quinn, il incarna un colonel américain luttant avec les résistants philippins dans Retour aux Philippines. Républicain et patriote, Wayne critiqua par la suite le travail du réalisateur Edward Dmytryk, qui fut lié au parti communiste et figura sur la liste des Dix d’Hollywood, ainsi que le scénario. Il retrouva ensuite John Ford pour Les Sacrifiés – qui se déroule pendant la guerre du Pacifique – aux côtés d’un jeune acteur, Robert Montgomery. Le film rapporta de l’argent et se classa parmi les vingt plus gros succès de l’année.

Entre temps, John Wayne revint au western dans L’Amazone aux yeux verts, revenant sur sa déclaration de ne plus jamais en tourner. Scénarisé et interprété par son ami Paul Fix, le film imposa durablement l’image virile, nonchalante et misogyne de son personnage.

En revanche, King Vidor ne peut le diriger avec Hedy Lamarr dans Duel au soleil (1946), western lyrique et exacerbé finalement interprété par Gregory Peck et Jennifer Jones et devenu un classique. Il enchaîna par la suite quelques films passés inaperçus, La Femme du pionnierSans réserve avec Claudette Colbert et L’Ange et le mauvais garçon. Pour faire « rentrer l’argent », il tourna également Taïkoun, de nouveau avec Anthony Quinn. En 1948, John Wayne, devenu une vedette importante, faisait partie des acteurs préférés du public américain, avec Clark GableGary Cooper et Humphrey Bogart.

Hawks, la Cavalerie et le Pacifique

En 1947, John Ford tourna le premier volet d’une trilogie consacrée à la cavalerie américaine, Le Massacre de Fort Apache avec pour vedettesHenry Fonda et John Wayne dans un rôle d’officier « humain et pacifiste ». Tourné à Monument Valley pour un budget modeste, le film réunit également Ward Bond et Victor McLaglen. John Wayne, habitué aux humeurs du réalisateur, fut un soutien psychologique précieux pour le jeune John Agar, martyrisé par Ford48. L’accueil public fut chaleureux. Il enchaina avec un rôle de nouveau refusé par Gary Cooper, celui de Tom Dunson dans La Rivière rouge de Howard Hawks qui signait là son premier western. Dans un rôle de cow-boy dur et brutal, Wayne eut pour partenaire Montgomery Clift avec qui il ne s’entendit pas immédiatement. Ce film tourné en extérieurs fut également un grand succès, rapportant plus de dix millions de dollars. Et s’il ne fut pas récompensé, John Wayne impressionna John Ford qui déclara par la suite àHawks : « Je ne savais pas que ce grand fils de pute pouvait jouer ».

OLIVER HARDY

 

En 1948, il engagea à nouveau John Wayne pour Le fils du désert, film en technicolor avec Harry Carey Jr., tourné dans la vallée de la Mort. Wayne tourna ensuite deux films, Le Réveil de la sorcière rouge avec Gail Russell et Le Bagarreur du Kentucky avec Oliver Hardy,

Oliver Hardy

Oliver Hardy

western sans moyens. Deuxième épisode de la trilogie de la cavalerie de FordLa Charge héroïque fut tourné en 1949 à Monument Valley et remporta un grand succès. L’année suivante, Rio Grande, suite du Massacre de Fort Apache, le mit en scène aux côtés de Maureen O’Haraqui devint une partenaire fidèle en même temps qu’une grande amie.

John Wayne enfila de nouveau l’uniforme de l’armée américaine dans trois films : Iwo Jima de Allan Dwan, pour lequel il fut nommé aux Oscars56Opération dans le Pacifique puis Les Diables de Guadalcanal de Nicholas Ray (qui désavoua le film par la suite, au même titre que Wayne qui le considérait comme une œuvre mineure), clôturant ainsi sa série de films en hommage aux combattants de la guerre du Pacifique.

1952-1959 : Une incarnation de l’Amérique à l’écran, un héros aux multiples visages

En 1952, John Wayne tourna à nouveau avec Maureen O’Hara et John Ford. Si Ford ne peut engager le couple d’acteurs pour son adaptation de What Price Glory (qu’ils ont joué sous sa direction sur scène), ils se consolent largement avec L’Homme tranquille, tourné en Irlande (terre des ancêtres du réalisateur), pour un cachet dérisoire. Le film, qui racontait le retour d’un boxeur américain dans son pays d’origine, fut un gros succès commercial dans le monde entier et remporta l’Oscar du Meilleur Film. Big Jim McLain, réalisé la même année parEdward Ludwig le mettait dans la peau d’un enquêteur de la Commission sur les activités anti-américaines au service du sénateur McCarthyL’Homme de bonne volonté, réalisé en 1953 par Michael Curtiz ne remporta pas le succès espéré et orienta de nouveau John Wayne vers des films héroïques. Sous la direction de William Wellman, il tourna Aventure dans le Grand Nord, qu’il coproduisit, et refusa un rôle principal dans Géant (qui fut interprété par Rock Hudson). Également coproducteur de Hondo, l’homme du désert, il fut obligé de reprendre le rôle titre, la star du film Glenn Ford étant en désaccord avec le réalisateur, puis retrouva l’équipe de Aventure dans le Grand Nord pour un nouveau film catastrophe, Écrit dans le ciel. Le film fut un grand succès public, nommé aux Oscars (seule la musique de Dimitri Tiomkin reçut la récompense). Sa collaboration avec Lana Turner pour Le Renard des océans fut houleuse, mais il s’entendit à merveille avec Lauren Bacall sur le tournage de L’Allée sanglante, qui fut un succès immédiat.

 La Prisonnière du désert a été désigné plus grand western de tous les temps par l’American Film Institute.

Le tournage du Conquérant en 1956 fut éprouvant65. Produit par Howard Hughes et réalisé par Dick Powell, il mettait en scène John Wayne dans le rôle … du chef asiatique Gengis Khan, avec Susan Hayward pour partenaire.

 

Tourné près d’un site d’essais nucléaires, il fut probablement à l’origine du cancer de l’acteur (et d’une grande partie de l’équipe du film). En outre, il fut un lourd échec au box-office. La même année, Wayne tourna un nouveau western sous la direction de John FordLa Prisonnière du désert. Tourné sur deux saisons (l’hiver et l’été), à Monument Valley notamment, le film permit à John Wayne de créer un personnage sombre et violent. Le film fut un énorme succès à sa sortie et plusieurs critiques louèrent le travail du réalisateur. En outre, il est aujourd’hui considéré par l’American Film Institute comme le plus grand western de tous les temps.

 

En 1957, de nouveau avec Ford, il tourna L’aigle vole au soleil, un film de guerre adapté de la biographie du héros Frank Wead, avant d’enchainer avec un film d’espionnage, Les espions s’amusent. Mise en scène par Joseph von Sternberg, avec l’actrice Janet Leigh, cette comédie d’espionnage était considérée par John Wayne comme son plus mauvais film. L’année suivante, il forma un couple à l’écran avec Sophia Loren dans La Cité disparue, tourné en partie en Italie par Henry Hathaway, puis entama le tournage du Barbare et la Geisha, sous la direction de John Huston. Les relations furent souvent tendues entre les deux hommes, et le film fut un échec. Wayne fut engagé de nouveau par Howard Hawks pour jouer dans Rio Bravo, aux côtés de Dean Martin et Rick Nelson. Construit comme l’opposition scénaristique du Train sifflera trois fois, le film fut un gros succès populaire et critique. Son nouveau projet avec John Ford et William HoldenLes Cavaliers, fut difficile : le scénario était complexe, le réalisateur vieillissait, des tensions intervinrent entre les sociétés de production et un cascadeur se tua sur le tournage.

susan hayward

susan hayward

1960-1976 : La fin du géant

John Wayne réalise en 1960 Alamo, qui fut une très belle fresque historique. Néanmoins le scénariste de ce film se permit quelques libertés par rapport aux causes et au déroulement de la bataille. En réalisant ce film, John Wayne souhaitait montrer l’abnégation des hommes à défendre une cause qui leur semble juste, telle la république ou la liberté. L’acteur reste fidèle à ce genre et retrouve à plusieurs reprises Henry Hathaway (1960 : Le Grand Sam avec Stewart Granger, 1965 : Les Quatre Fils de Katie Elder avec Dean Martin, 1969 : Cent dollars pour un shérif), Howard Hawks (1966 : El Dorado avec Robert Mitchum, 1970 : Rio Lobo avec Jennifer O’Neill), et bien sûr Ford pour L’Homme qui tua Liberty Valance (1962) face àJames Stewart, plus tard tournant beaucoup avec Andrew V. McLaglen (1963 : Le Grand McLintock qui réunit Wayne avec Maureen O’Hara et Yvonne De Carlo, 1969 : Les Géants de l’Ouest face à Rock Hudson, 1970 : Chisum, 1973 : Les Cordes de la potence).

 

La star continue de privilégier le film d’aventure  : exotique (en 1962 Hatari ! de Hawks), de guerre (en 1962 Le Jour le plus long, en 1965 Première Victoire d’Otto Preminger avec Kirk Douglas, en 1966 L’Ombre d’un géant avec Yul Brynner et Frank Sinatra). Il participe aux superproductions Le Plus Grand Cirque du monde d’Hathaway (1964) avec Rita Hayworth

Rita Hayworth

Rita Hayworth

etClaudia Cardinale et La Plus Grande Histoire jamais contée de George Stevens (1965) où il incarne le centurion de la Crucifixion. Finalement il ne se détend vraiment à l’écran que chez Ford, dans La Taverne de l’Irlandais (1963).

Lui-même revient à la mise en scène en 1968 pour le très polémique Les Bérets verts. L’essentiel est ailleurs : miné par la maladie mais toujours très actif, ce grand séducteur de l’écran s’offre un dernier tour avec sa partenaire favorite, Maureen O’Hara, dans Big Jake en 1971 (que Wayne coréalise), et un duel avec une autre géante, Katharine Hepburn, dans le western humoristique Une bible et un fusil (1975). Sur le tard, il tourne deux policiers : Un silencieux au bout du canon de John Sturges (1974) et Brannigan (1975). L’année de sa mort, sa carrière se clôt sur un western au titre mythique : Le Dernier des géants, dirigé par Don Siegel, où John retrouve James Stewart et Lauren Bacall. Une époque disparaît.

En 1964, on diagnostique chez Wayne un cancer du poumon. Des rumeurs affirment que le responsable de ce cancer était le site nucléaire de Yucca Flat, proche du plateau de cinéma lors du tournage du film Le Conquérant. Patriote, John Wayne pensait que les six paquets de cigarettes qu’il fumait par jour en étaient la cause.

 John Wayne dans Rio Bravo

Toujours présent à l’écran dans des premiers rôles malgré la maladie jusqu’en 1976, il décède finalement d’un cancer de l’estomac le 11 juin 1979. D’après son fils Patrick, il se convertit au catholicisme peu avant sa mort . Il est enterré au cimetière de Pacific View à Corona del Mar.

Engagement politique

John Wayne était connu pour ses opinions patriotiques, anti-communistes et conservatrices. Star du parti républicain, il s’impliqua dans la création de la Motion Picture Alliance for the Preservation of American Ideals, une association américaine de cinéma conservatrice. S’il n’a pas été incorporé pendant la Seconde Guerre mondiale pour des raisons familiales, il a toujours soutenu l’effort de guerre américain  : il incarnera toutes les catégories de soldats américains et cosigne, en 1968, avec Les Bérets verts le seul film américain ouvertement pro-guerre du Vietnam.

En 1964, il soutient encore la candidature de Barry Goldwater à la présidence des États-Unis et, en 1968, est approché pour être lui-même le candidat du parti républicain. Il déclina la proposition au prétexte qu’il ne pensait pas que le public pourrait envoyer un acteur à la Maison-Blanche. Il fut même approché pour être le colistier du candidat dixiecrat George Wallace. Il ne donna pas suite. John Wayne fut cependant un ardent soutien de son ami, l’acteur Ronald Reagan, lors de ses candidatures au poste de gouverneur de Californie en 1966 et 1970.

Famille

Il est le père de Michael Wayne (19342003), acteur et producteur, et de Patrick Wayne (né en 1939), acteur.

Décoration

Le Congrès américain lui décerne le 26 mai 1979 la Médaille d’or du Congrès (plus haute distinction civile qui puisse être accordée à un citoyen). Événement exceptionnel car cette décoration ne fut décernée que deux fois à des acteurs du cinéma, John Wayne et Francis Albert Sinatra, dit Frank Sinatra, le 14 mai 1997.

John Wayne the legend

John Wayne the legend

 

Vous pouvez lire aussi   / You can real also :  Angie Dickinson (Rio Bravo)

LIRE ALONGEE SUR CANAPE


Avez vous déjà essayé cette position?

Nous cherchons tous une position confortable pour lire…
En fait, c’est simple, il suffit de faire comme cette jeune fille 🙂

Lire confortablement... l'avez-vous déjà fait :)

Lire confortablement… y avez-vous pensé?

Georges le chat qui parle en vidéo. George the cat who speaks.


Un chat qui parle

 

Nous avons déjà vu nombre de vidéos sur des chats qui sembleraient balbuliter des mots.

Pas plus qu’hier, notre équipe a pu visionner une vidéo d’un chat qui, pris de peur face à une personne déguisée en Batman, a dit quelque chose comme ” I don’t know”.

Voici une vidéo d’un chat appellé Georges, qui dit “hello” 🙂

A notre avis, ce n’est pas un trucage. Mais bon, ceci est assez marrant, il faut l’avouer.

As usual, you can translate the whole website to english .

Just click on the translator button.

Une femme nue dans le métro.


 

Nue dans un train. Vous avez dit étrange?

 

Samedi 16 novembre, une femme totalement nue s’autoproclamant “déesse des trains” a voulu prendre le contrôle d’une rame de métro à Chicago.

La “déesse des trains”. Voilà comment se présentait la jeune femme de 31 ans qui a perturbé le trafic du métro de la ville de Chicago, ce samedi 16 novembre.

Souffrant de problèmes psychologiques, la jeune dame en question est entrée totalement nue dans un wagon et s’est mise à insulter et à gifler des passagers, avant d’être interpellée et placée en institut psychiatrique.

Naked woman in chicago Metro

Naked woman in chicago Metro

L’incident est intervenu sur la ligne rouge du métro, qui est la plus fréquentée de la ville avec quelque 230 000 passagers au quotidien.

Appelée à la rescousse la police a arrêté la trentenaire à la station Granville et l’a transportée jusqu’à l’hôpital St. Francis d’Evanston (Illinois) où elle a été prise en charge par le service psychiatrique.

Personne n’a été blessé, et le trafic a repris son cours normal aux alentours de 13h15 (heure locale),

D’après un témoin la “déesse” a expliqué aux passagers qu’elle comptait se rendre dans le wagon de tête pour conduire le train

Source : Yahoo / Gentside

CARY GRANT : On PARAMOUNT CHANNEL


PARAMOUNT CHANNEL : CARY GRANT

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Wikipedia sources: 

Cary Grant (born Archibald Alexander Leach; January 18, 1904 – November 29, 1986) was an English stage and Hollywood film actor who became an American citizen in 1942. Known for his transatlantic accent, debonair demeanor and “dashing good looks”, Grant is considered one of classic Hollywood‘s definitive leading men.

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Notorious (1946), The Bishop’s Wife (1947), To Catch a Thief (1955), An Affair to Remember (1957), North by Northwest (1959), and Charade (1963).

Nominated twice for the Academy Award for Best Actor (Penny Serenade and None But the Lonely Heart) and five times for a Golden Globe Award for Best Actor, Grant was continually passed over. In 1970, he was presented an Honorary Oscar at the 42nd Academy Awards by Frank Sinatra “for his unique mastery of the art of screen acting with the respect and affection of his colleagues

Early life and career

Archibald Alexander Leach was born at 15 Hughenden Road, HorfieldBristolEngland, to Elsie Maria (née Kingdon) Leach (1877–1973) and Elias James Leach (1873–1935). An only child, Leach had an unhappy upbringing, attending Bishop Road Primary School.

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CARY GRANT WITH AUDREY HEPBURN

His mother had suffered from clinical depression since the death of a previous child. Her husband placed her in a mental institution and told his 9-year-old son only that she had gone away on a “long holiday”. Believing she was dead, Leach did not learn otherwise until he was 31 and discovered her alive in a care facility.  When Leach was 10, his father abandoned him after remarrying and having a baby with his new young wife. 

Leach was expelled from the Fairfield Grammar School in Bristol in 1918. After joining the “Bob Pender Stage Troupe”, Leach performed as a stilt walker and traveled with the group to the United States in 1920 at the age of 16 on the RMS Olympic, on a two-year tour of the country. He was processed at Ellis Island on July 28, 1920.

When the troupe returned to the UK, he decided to stay in the U.S. and continue his stage career. During this time, he became a part of thevaudeville world and toured with Parker, Rand, and Leach.

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Still using his birth name, he performed on the stage at The Muny in St. Louis,Missouri, in such shows as Irene (1931), Music in May (1931), Nina Rosa (1931), Rio Rita (1931), Street Singer (1931), The Three Musketeers (1931), and Wonderful Night (1931). Leach’s experience on stage as a stilt walker, acrobat, juggler, and mime taught him “phenomenal physical grace and exquisite comic timing” and the value of teamwork, skills which would benefit him in Hollywood.

Leach became a naturalized United States citizen on June 26, 1942, at which time he also legally changed his name from “Archibald Alexander Leach” to “Cary Grant”.

After appearing in several musicals on Broadway under the name Archie Leach, Leach went to Hollywood in 1931.  When told to change his name, he proposed “Cary Lockwood”, the name of the character he had played in the Broadway show Nikki, based upon the recent film The Last Flight.

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He signed with Paramount Pictures, where studio bosses decided that the name “Cary” was acceptable but that “Lockwood” was too similar to another actor’s surname. Paramount gave their new actor a list of surnames to choose from, and he selected “Grant” because the initials C and G had already proved lucky for Clark Gable and Gary Cooper, two of Hollywood’s biggest film stars.

Grant appeared as a leading man opposite Marlene Dietrich in Blonde Venus (1932), and his stardom was given a further boost by Mae Westwhen she chose him for her leading man in two of her most successful films, She Done Him Wrong and I’m No Angel (both 1933).  

I’m No Angel was a tremendous financial success and, along with She Done Him Wrong, which was nominated for an Academy Award for Best Picture, saved Paramount from bankruptcy. Paramount put Grant in a series of unsuccessful films until 1936, when he signed with Columbia Pictures. His first major comedy hit was when he was loaned to Hal Roach‘s studio for the 1937 Topper (which was distributed by MGM).

The Awful Truth (1937) was a pivotal film in Grant’s career, establishing for him a screen persona as a sophisticated light comedy leading man. As Grant later wrote, “I pretended to be somebody I wanted to be and I finally became that person. Or he became me. Or we met at some point.”  Grant is said to have based his characterization in The Awful Truth on the mannerisms and intonations of the film’s director, Leo McCarey, whom he resembled physically. As writer/director Peter Bogdanovich noted, “After The Awful Truth, when it came to light comedy, there was Cary Grant and then everyone else was an also-ran.”

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CARY GRANT and GRACE KELLY

The Awful Truth began what The Atlantic later called “the most spectacular run ever for an actor in American pictures”.   During the next four years, Grant appeared in several classic romantic comedies and screwball comedies, including Holiday (1938) and Bringing Up Baby (1938), both opposite Katharine HepburnThe Philadelphia Story (1940) with Hepburn and James StewartHis Girl Friday (1940) with Rosalind Russell; and My Favorite Wife (1940), which reunited him with Irene Dunne, his co-star in The Awful Truth. During this time, he also made the adventure films Gunga Din (1939) with Douglas Fairbanks, Jr. and Only Angels Have Wings (1939) with Jean Arthur and Rita Hayworth and dramas Penny Serenade (1941), also with Dunne, and Suspicion (1941), the first of Grant’s four collaborations with Alfred Hitchcock.

Grant remained one of Hollywood’s top box-office attractions for almost 30 years.  Howard Hawks said that Grant was “so far the best that there isn’t anybody to be compared to him”.[15] David Thomson called him “the best and most important actor in the history of the cinema“.

Grant was a favorite of Hitchcock, who called him “the only actor I ever loved in my whole life”.  

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Besides Suspicion, Grant appeared in the Hitchcock classics Notorious (1946), To Catch a Thief(1955), and North by Northwest (1959). Biographer Patrick McGilligan wrote that in 1965 Hitchcock asked Grant to star in Torn Curtain (1966) only to learn that Grant had decided to retire after making one more film, Walk, Don’t Run (1966); 

Paul Newman was cast instead, oppositeJulie Andrews.   Producers Broccoli and Saltzman originally sought Cary Grant for the role of James Bond in Dr. No but discarded the idea as Grant would be committed to only one feature film and the producers decided to go after someone who could be part of a franchise.

In the mid-1950s, Grant formed his own production company, Granart Productions, and produced a number of films distributed by Universal, such as Operation Petticoat (1959), Indiscreet (1958),That Touch of Mink (co-starring with Doris Day, 1962), and Father Goose (1964). In 1963, he appeared opposite Audrey Hepburn in Charade. His last feature film was Walk, Don’t Run three years later, with Samantha Eggar and Jim Hutton.

Grant was the first actor to “go independent” by not renewing his studio contract, effectively leaving the studio system,  which almost completely controlled what an actor could or could not do. In this way, Grant was able to control every aspect of his career, at the risk of not working because no particular studio had an interest in his career long term.

He decided which films he was going to appear in, often had personal choice of directors and co-stars, and at times even negotiated a share of the gross revenue, something uncommon at the time. Grant received more than $700,000 for his 10% of the gross for To Catch a Thief while Hitchcock received less than $50,000 for directing and producing it.

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Grant was nominated for two Academy Awards, for Penny Serenade (1941) and None But the Lonely Heart (1944), but never won a competitive Oscar; he received a special Academy Award for Lifetime Achievement in 1970. Accepting the Best Original Screenplay Oscar in 1965, Father Goose co-writer Peter Stone had quipped, “My thanks to Cary Grant, who keeps winning these things for other people.” In 1981, Grant was accorded the Kennedy Center Honors.

Grant poked fun at himself with statements such as “Everyone wants to be Cary Grant—even I want to be Cary Grant”, and in ad-lib lines—such as in the film His Girl Friday, saying, “I never had so much fun since Archie Leach died”. In Arsenic and Old Lace (1944), a gravestone is seen bearing the name Archie Leach. According to a famous story now believed to be apocryphal, after seeing a telegram from a magazine editor to his agent asking “How old Cary Grant?” Grant reportedly responded with “Old Cary Grant fine. How you?

Cary Grant retired from the screen at 62 when his daughter Jennifer was born, in order to focus on bringing her up and to provide a sense of permanency and stability in her life.

While bringing up his daughter, he archived artifacts of her childhood and adolescence in a bank-quality room-sized vault he had installed in the house.

His daughter attributed this meticulous collection to the fact that artifacts of his own childhood had been destroyed during the Luftwaffe’s bombing of Bristol in the Second World War (an event that also claimed the lives of his uncle, aunt, and cousin as well as the cousin’s husband and grandson), and he may have wanted to prevent her from experiencing a similar loss.

Although Grant had retired from the screen, he remained active.

CARY GRANT - MARTIN LANDAU

CARY GRANT – MARTIN LANDAU

In the late 1960s, he accepted a position on the board of directors at Fabergé. By all accounts this position was not honorary, as some had assumed; Grant regularly attended meetings and his mere appearance at a product launch would almost certainly guarantee its success. The position also permitted use of a private plane, which Grant could use to fly to see his daughter wherever her mother, Dyan Cannon, was working.

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He later joined the boards of Hollywood Park, the Academy of Magical Arts (The Magic Castle, Hollywood, California), Western Airlines (now Delta Air Lines), andMGM.

He was a keen motoring enthusiast and, like many other Hollywood stars of the era, owned many notable cars. One of the first he owned was a 1929 Cadillac Cabriolet. His love of Cadillacs never waned and he later purchased a Cadillac Eldorado Biarritz. Other cars that he owned included an MG Magnette and a Sunbeam Alpine series one roadster.

In the last few years of his life, Grant undertook tours of the United States in a one-man show, A Conversation with Cary Grant, in which he would show clips from his films and answer audience questions. Grant was preparing for a performance at the Adler Theatre in DavenportIowa, on the afternoon of November 29, 1986, when he sustained a cerebral hemorrhage (he had previously suffered a stroke in October 1984). His wife did not know what was going on and she went to a local pharmacy to get aspirin. He died at 11:22 p.m.  in St. Luke’s Hospital at the age of 82.

The bulk of his estate, worth millions of dollars, went to his fifth wife, Barbara Harris, and his daughter, Jennifer Grant

In 2001, a statue of Grant was erected in Millennium Square, a regenerated area next to Bristol Harbour in his city of birth, Bristol.

In November 2005, Grant came in first in the “The 50 Greatest Movie Stars of All Time” list by Premiere magazine.  Richard Schickel, the film critic, said about Grant: “He’s the best star actor there ever was in the movies.

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CARY GRANT – ROGER MOORE

Filmography[edit]

Year Film Role Notes
1932 This Is the Night Stephen With Lili DamitaCharles Ruggles, and Thelma Todd
Sinners in the Sun Ridgeway With Carole Lombard and Chester Morris
Singapore Sue First Sailor Musical Comedy short subject
Merrily We Go to Hell Charlie Baxter UK title: Merrily We Go to _____With Sylvia Sidney and Fredric March
Devil and the Deep Lieutenant Jaeckel With Tallulah Bankhead and Gary Cooper
Blonde Venus Nick Townsend With Marlene Dietrich
Hot Saturday Romer Sheffield With Nancy Carroll and Edward Woods
Madame Butterfly Lieutenant B.F. Pinkerton With Sylvia Sidney and Charles Ruggles
1933 She Done Him Wrong Capt. Cummings With Mae West and Noah Beery, Sr.
The Woman Accused Jeffrey Baxter With Nancy Carroll
The Eagle and the Hawk Henry Crocker With Fredric March and Carole Lombard
Gambling Ship Ace Corbin With Jack La Rue and Glenda Farrell
I’m No Angel Jack Clayton With Mae West
Alice in Wonderland The Mock Turtle With W. C. Fields and Gary Cooper
1934 Thirty-Day Princess Porter Madison III With Sylvia Sidney and Edward Arnold
Born to Be Bad Malcolm Trevor With Loretta Young(Heavily censored by the Hayes Office)
Kiss and Make-Up Dr. Maurice Lamar With Helen Mack and the WAMPAS Baby Stars of 1934
Ladies Should Listen Julian De Lussac With Frances Drake and Edward Everett Horton
1935 Enter Madame Gerald Fitzgerald With top-billed Elissa Landi
Wings in the Dark Ken Gordon With top-billed Myrna Loy
The Last Outpost Michael Andrews With Claude Rains
Sylvia Scarlett Jimmy Monkley Directed by George CukorWith Katharine Hepburn
1936 Big Brown Eyes Det. Sgt. Danny Barr With Joan Bennett and Walter Pidgeon
Suzy Andre With Jean Harlow and Franchot Tone
The Amazing Quest of Ernest Bliss Ernest Bliss US title: Romance and RichesAlt title: The Amazing Adventure
Wedding Present Charlie With Joan Bennett
1937 When You’re in Love Jimmy Hudson UK title: For You AloneWith Grace Moore
Topper George Kerby With Constance Bennett
The Toast of New York Nicholas “Nick” Boyd With Edward Arnold and Jack Oakie
The Awful Truth Jerry Warriner Directed by Leo McCarey
With Irene Dunne and Ralph Bellamy
Introduced the “Cary Grant persona”
1938 Bringing up Baby Dr. David Huxley Directed by Howard Hawks
With Katharine Hepburn and Charles Ruggles
Holiday John “Johnny” Case Directed by George Cukor
With Katharine Hepburn
UK title: Free to Live
1939 Gunga Din Sgt. Archibald Cutter Directed by George Stevens
With Victor McLaglen and Douglas Fairbanks, Jr.
Only Angels Have Wings Geoff Carter Directed by Howard Hawks
With Jean ArthurThomas Mitchell and Rita Hayworth
In Name Only Alec Walker With Carole Lombard and Charles Coburn
1940 His Girl Friday Walter Burns Directed by Howard Hawks
Remake of The Front Page
With Rosalind Russell and Ralph Bellamy
My Favorite Wife Nick Co-written by Leo McCarey
Directed by Garson Kanin
With Irene Dunne and Gail Patrick
The Howards of Virginia Matt Howard UK title: The Tree of Liberty
With Martha Scott
The Philadelphia Story C.K. Dexter Haven With Katharine Hepburn and James Stewart
1941 Penny Serenade Roger Adams Nominated—Academy Award for Best Actor
Directed by George Stevens
With Irene Dunne and Edgar Buchanan
Suspicion Johnnie Directed by Alfred Hitchcock
With Joan Fontaine
1942 The Talk of the Town Leopold Dilg aka Joseph With Ronald Colman and Jean Arthur
Once Upon a Honeymoon Patrick “Pat” O’Toole Directed by Leo McCarey
With Ginger Rogers
1943 Mr. Lucky Joe Adams/Joe Bascopolous With Laraine Day and Charles Bickford
Destination Tokyo Capt. Cassidy With John Garfield and Dane Clark
1944 Once Upon a Time Jerry Flynn With Janet Blair
Arsenic and Old Lace Mortimer Brewster With Priscilla Lane and Peter Lorre
None But the Lonely Heart Ernie Mott Nominated—Academy Award for Best ActorWritten and directed by Clifford Odets
With Ethel Barrymore
1946 Without Reservations Himself (cameo) With Claudette Colbert and John Wayne
Night and Day Cole Porter Directed by Michael Curtiz
Notorious T.R. Devlin Directed by Alfred Hitchcock
With Ingrid Bergman and Claude Rains
1947 The Bachelor and the Bobby-Soxer Dick UK title: Bachelor KnightWith Myrna Loy and Shirley Temple
The Bishop’s Wife Dudley With Loretta Young and David Niven
1948 Mr. Blandings Builds His Dream House Jim Blandings With Myrna Loy and Melvyn Douglas
Every Girl Should Be Married Dr. Madison W. Brown With Betsy Drake
1949 I Was a Male War Bride Capt. Henri Rochard UK title: You Can’t Sleep Here
With Ann Sheridan
1950 Crisis Dr. Eugene Norland Ferguson With Jose Ferrer
1951 People Will Talk Dr. Noah Praetorius With Jeanne Crain
1952 Room for One More George “Poppy” Rose With Betsy Drake
Monkey Business Dr. Barnaby Fulton Directed by Howard Hawks
With Ginger Rogers and Marilyn Monroe
1953 Dream Wife Clemson Reade With Deborah Kerr and Walter Pidgeon
1955 To Catch a Thief John Robie Directed by Alfred Hitchcock
With Grace Kelly
1957 The Pride and the Passion Anthony With Frank Sinatra and Sophia Loren
An Affair to Remember Nickie Ferrante A same-script remake of Love Affair (1939 film), both directed by Leo McCareyWith Deborah Kerr
Kiss Them for Me Cmdr. Andy Crewson Directed by Stanley Donen
With Jayne Mansfield and Suzy Parker
1958 Indiscreet Philip Adams Nominated—Golden Globe Award for Best Actor – Motion Picture Musical or Comedy
Directed by Stanley Donen
With Ingrid Bergman
Houseboat Tom Winters With Sophia Loren
1959 North by Northwest Roger O. Thornhill Directed by Alfred HitchcockWith Eva Marie SaintJames Mason and Martin Landau
Famous scene of Grant being chased by a biplane
Operation Petticoat Lt. Cmdr. Matt T. Sherman Nominated—Golden Globe Award for Best Actor – Motion Picture Musical or Comedy
With Dina Merrill and Arthur O’Connell
1960 The Grass Is Greener Victor Rhyall, Earl Nominated—Golden Globe Award for Best Actor – Motion Picture Musical or ComedyDirected by Stanley Donen
With Deborah KerrRobert Mitchum and Jean Simmons
1962 That Touch of Mink Philip Shayne Nominated—Golden Globe Award for Best Actor – Motion Picture Musical or Comedy
Directed by Delbert Mann
With Doris Day and Gig Young
1963 Charade Peter Joshua / Alexander Dyle / Adam Canfield / Brian Cruikshank Nominated—BAFTA Award for Best Foreign Actor
Nominated—Golden Globe Award for Best Actor – Motion Picture Musical or Comedy
Directed by Stanley Donen
With Audrey HepburnWalter Matthau and James Coburn
1964 Father Goose Walter Christopher Eckland Directed by Ralph Nelson
With Leslie Caron and Trevor Howard
1966 Walk, Don’t Run Sir William Rutland With Samantha EggarRemake of The More the Merrier

 CARY GRANT : Here also another article

A lire aussi ( A french article)

http://www.radiosatellite2.com/archives/2014/07/06/30199855.html

 

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ERIC CLAPTON

Single Or Married

Remember Aunt Clara ?? Bewitched?


Marion Lorne (August 12, 1883 – May 9, 1968) was an American actress of stage, film, and television. After a career in theatre in New York and London, Lorne made her first film in 1951, and for the remainder of her life, played small roles in films and television.

Her recurring role, between 1964 and her death in 1968, as Aunt Clara in the comedy series, Bewitched (1964–1972) brought her widespread recognition, and for which she was posthumously awarded an Emmy Award for Outstanding Supporting Actress in a Comedy Series.  

She was born Marion Lorne MacDougall in West Pittston, Pennsylvania, a small mining town halfway between Wilkes-Barre and Scranton, of Scottish and English immigrant parents.  While her year of birth is listed as 1885 on her tombstone, it was usually listed as 1888 when she was alive and the Social Security Death Index lists it as 1883. She studied at the American Academy of Dramatic Arts in New York City.

Career Lorne debuted on Broadway in 1905; she also acted in London theaters, enjoying a flourishing stage career on both sides of the Atlantic Ocean.

In London she had her own theater, the Whitehall, where she had top billing in plays written by Walter Hackett, her husband. None of her productions at the Whitehall had runs shorter than 125 nights.

After appearing in a couple of Vitaphone shorts, including Success (1931) starring Jack Haley, she made her feature film debut in her late 60s in Strangers on a Train (1951), directed by Alfred Hitchcock.

The role was typical of the befuddled, nervous, and somewhat aristocratic matrons that she usually portrayed.

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From 1952-55, Lorne was seen as perpetually confused junior high school English teacher Mrs. Gurney on Mr. Peepers. From 1957–58, she co-starred with Joan Caulfield in the NBC sitcom Sally in the role of an elderly widow who happens to be the co-owner of a department store. Although afraid of live television, declaring “I’m a coward when it comes to a live [television] show”,  she was persuaded to appear a few times to promote the film The Girl Rush with Rosalind Russell in the mid-1950s.

Between 1958–64, she made regular appearances on The Garry Moore Show (1958–64). Her last role, as Aunt Clara in Bewitched, brought Lorne her widest fame as a lovable, forgetful witch who is losing her powers due to old age and whose spells usually end in disaster. Aunt Clara is obsessed with doorknobs, often bringing her collection with her on visits.

Lorne had an extensive collection of doorknobs in real life, some of which she used as props in the series.[8] Death She appeared in twenty-seven episodes of Bewitched, and was not replaced after she died of a heart attack in her Manhattan apartment, just prior to the start of production of the show’s fifth season, at the age of 84 on May 9, 1968. Lorne is buried at Ferncliff Cemetery in Greenburgh, New York.

Posthumous The producers of Bewitched recognized that Lorne’s performance as Aunt Clara could not be replicated by another actress.  Comedic actress Alice Ghostley was recruited to fill the gap as “Esmeralda”, a different type of befuddled witch with wobbly magic whose spells often went astray.

Coincidentally, Lorne and Ghostley had appeared side-by-side as partygoers in the iconic comedy-drama film The Graduate , made the year before Lorne’s death.  She received a posthumous Emmy Award for Outstanding Supporting Actress in a Comedy Series for her work on Bewitched. The statue was accepted by Bewitched star Elizabeth Montgomery. Personal life She was married to playwright Walter Hackett, who died in 1944. WIKIPEDIA  SOURCES  Personal life She was married to playwright Walter Hackett, who died in 1944.

Bulgaria


A trip to Bulgaria

Un voyage en Bulgarie

 

Rick Steves’ Europe Travel Guide | Check your local public television station for this Rick Steves’ Europe episode

Bulgaria, so mysterious, has a vivid identity as a crossroads of the Balkans. We’ll trace the country’s complex history, from ancient Thracian tombs to medieval Orthodox Christian monasteries to Soviet monuments. And we’ll enjoy an intimate taste of contemporary culture: the yellow brick road of Sofia; the gregarious craftspeople of the medieval capital, Veliko Tarnovo; and the thriving pedestrian zones of cosmopolitan Plovdiv.

ricksteves.com  for more information about this destination and other destinations in Europe.

 

 

bulgaria rick steves

 

 

Sources : YouTube

ricksteves.com/watch-read-listen/video/tv-show

 

sweet thing.


Delicious cakes

 

I didn't have my glasses on....

Theories abound as to the origins of Russian cake. The popular legend goes that it was created by a New Orleans baker who ran out of ingredients to bake a proper cake for the Russian Grand Duke Alexis when the latter visited New Orleans for Mardi Gras in 1872. But the late food historian Michael Mizell-Nelson put this theory to…

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Missions Apollo : La Russie doute du voyage des Américains sur la Lune


Aphadolie

Mission Apollo – Astronaute - 2

Photo – Credit : NASA

Comme les doutes internationaux entourent les prétentions américaines, diffusées dans le monde entier depuis des années, selon lesquelles les États-Unis auraient débarqué des hommes sur la Lune, le chef de l’agence spatiale russe « Roscosmos » Dmitry Rogozin a proposé à plusieurs reprises de vérifier si les Américains étaient vraiment allés sur la Lune.

Les États-Unis ont affirmé que six missions ont débarqué des hommes sur la Lune, à commencer par celle d’Apollo 11 en juillet 1969, au cours de laquelle Neil Armstrong est apparemment devenu le premier homme à marcher sur la Lune. Apollo 13 devait se poser sur la Lune, mais on a dit qu’il s’était limité à un survol en raison d’un dysfonctionnement à bord du vaisseau spatial. Étonnamment, les neuf missions habitées sont retournées sur Terre en toute sécurité.

Comme l’a rapporté Forbes en 2015, la NASA a publiquement affirmé

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