Independent music radio dedicated to instrumental and country sounds from around the world. Here, style matters more than language, and music travels across cultures
Si comme moi vous partagez la passion du voyage et de la lecture alors cet article est tout simplement fait pour vous !
Récits d’aventures, romans, contes initiatiques, bandes-dessinées … Voici une sélection de 22 livres tout droit sortis de ma bibliothèque sur le thème du voyage. De quoi s’évader aux quatre coins du monde ❤
Trêve de blabla et place à l’évasion !
Les meilleurs livres de voyage de ma bibliothèque
Longue Marche
Bernard Ollivier
S’il n’y avait qu’un récit d’aventures à lire ce serait bien bien celui-ci : Longue Marchede Bernard Ollivier !
Dans ces trois tomes l’auteur retrace l’extraordinaire voyage qu’il a effectué à pied: 12.000 kilomètres sur la route de la Soie, d’Istanbul à Xi’an ! Une aventure qui durera quatre ans, riche en rebondissements et surtout jalonnée de merveilleuses rencontres.
L’Estonie, en forme longue la république d’Estonie (en estonien : Eesti et Eesti Vabariik), est un pays d’Europe du Nord situé sur les bords de la mer baltique.
Néanmoins, l’Estonie possède une culture ainsi que des racines linguistiques, génétiques et un statut (pays de souche finno-ougriennegermaniséprotestant) qui l’apparentent à la Finlande, souvent considérée comme “la grande soeur” de l’Estonie.
On y retrouve notamment le sauna, une mythologie riche ainsi qu’une culture du silence et un attachement particulier des Estoniens pour la nature, ce qui conduit l’Estonie à se revendiquer et à être également perçue comme un pays nordique.
Initialement peuplée de populations indigènesfennique pendant plusieurs milliers d’années, l’Estonie a été conquise puis convertie au christianisme par des chevaliers allemands au xiie siècle.
Pendant près de 700 ans, l’Estonie vit sous le contrôle et l’influence de populations germaniques (issus du Nord de l’Allemagne et des pays Scandinaves), qui affectent durablement la culture et le mode de vie de ses habitants.
La lutte permanente des puissances voisines (Pologne-Lituanie, Suède, Danemark, Empire russe…) pour le contrôle de cet emplacement stratégique tout au long de l’histoire déclenche en réponse une volonté d’affirmation de la part des autochtones à partir du xixe siècle.
Ces derniers, dominés et réduit au servage (voire à l’esclavage) pendant des siècles, tirent profit des luttes d’influence entre anciens maitres allemands et la Russie impériale qui contrôle le territoire à partir de 1710 pour s’affirmer culturellement (le “réveil national”), puis politiquement tout au long du xixe siècle. Les Estoniens se servent des troubles engendrés par la révolution russe de 1917 pour devenir un pays indépendant à partir de 1918.
Pendant la Seconde Guerre mondiale (1939-1945), l’Estonie a été contestée et occupée à plusieurs reprises par l’Union soviétique et l’Allemagne. L’Estonie indépendante est finalement occupée par l’Union soviétique en juin 1940, conformément au pacte germano-soviétique d’août 1939. Après la perte de son indépendance de facto, les représentants diplomatiques et le gouvernement en exil ont préservé la continuité de jure(en) de l’Estonie. En 1987, la révolution chantante pacifique contre l’occupation soviétique a abouti à la restauration de l’indépendance de facto le 20 août 1991.
L’Estonie est un pays développé doté d’une économie qui a connu l’une des croissances les plus rapides de l’UE. Le pays se classe à la trentième place en 2018 dans l’indice de développement humain et obtient des résultats favorables en termes de liberté économique, libertés civiles, éducation et liberté de la presse selon RSF (quatorzième dans le monde en 2020). Les citoyens estoniens bénéficient de soins de santé universels, d’une éducation gratuite
L’Estonie fut violemment touchée par la crise économique mondiale de 2008 avec une hausse du taux de chômage à près de 14 %. Avec une politique de maîtrise de l’inflation et des finances publiques, le gouvernement permet au pays d’avoir le plus faible taux d’endettement public de l’Union européenne. Particulièrement à la pointe dans l’usage des technologies de l’information-communication, notamment par les services de l’état, le cadre offert par l’Estonie lui permet d’être attractive pour de nombreux entrepreneurs de l’économie numérique. Son nombre record de start-ups par habitant permet à l’Estonie de faire partie des leaders européens du domaine.
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En cette période trouble, nos déplacements étant limités au strict minimum. A l’essentiel , comme on dit. Un petut article d’évasion pour nous souvenir d’une époque pas si lointaine que cela ( Eté 2020 ) mais qui parrait…si loin
Notre nouveau site additif en langue Française, orienté plutôt Middle East proposant comme ici , la diffusion de RadioSatellite avec en plus quelques podcasts, informations internationales de divers flux média ( BFM TV, LCI…)
Un petit flashback à une époque où les gens se mélangeaient, mangeaient dans les restaurants sans masque, sans crainte de virus covid ou autre
Nous avons puisé dans nos archives à la radio. Archives pas si lointaines pourtant. Nous avons ressorti quelques vidéos que nous avons regroupé en une seule.
Un petit tour dans le métro de Paris.
Un petit tour du côté du Sacré-Coeur en flanant dans le quartier artistique de Montmartre. Evidemment, outre les caricaturistes, peintres et autres artistes. Nous avons croisé un groupe musical.
Un peu plu tôt, nous étions du côté de la place de la concorde pour nous promener dans le jardin des tuileries. ( enfin, plutôt le parc )
N’oubliez pas que vous pouvez nous retrouver ainsi que toute l’équipe sur RADIOSATELLITE
Pour les amateurs de soft Jazz : Steve Hart sera au rendez-vous tous les soirs à 20h00 heures de Paris. Steve vous propose son émission COOL NIGHTS à partir de chez lui en Nouvelle Zeelande.
Pour les amateurs de Folk musique et américana: Artie Martello vous propose MOSTLY FOLK. Artie vous propose son émission à partir des montagnes de Catskill dans l’étant de New York
Pour les amateurs de musique pop, rock des années 60: Jason Curtman vous propose THE JASON CURTMAN SHOW à partir de Southern New Mexico
Le lounge music : Ca sera nos 2 amis : Guido son émission : IN THE ZONE
Et une autre émission proposée par Michael Maretimo : Maretimo Sessions.
Nous vous écrivons cet article alors que le monde entier vit une période assez particulière. L’envie de voyager et de voir d’autres contrées est présente en chacun d’entre nous
Raison pour laquelle, nous avons ressorti de nos archives quelques vidéos.
Vidéos d’un autre temps…Si proche? Si loin? Lorsque les gens se mélangeaient… Les gens ne se souciaient pas de “masques”, de gel hydroalcoolique ( Sanitizer ) et autres…
Sur cette vidéo qui en fait, regroupe plusieurs petites prises de vue , sur plusieurs voyages en Turquie notamment Instanbul
Nous avons gardé les vidéos telle quelles. Sans aucun artifice, montage musical rajouté. Vidéos à l’état brut où vous entendrez les touristes qui étaient à nos côtés . Nous n’avons pas souhaité “enjolivé” encore plus les vidéos par des extaits musicaux.
Nous pourrons voir l’aquiaruim d’Istanbul. Bob l’éponge ( Bob the sponge) en réel.
Nous verrons diverses vue du bosphore, notamment la nuit avec les bateaux naviguant tout le long de ce Bosphore.
Un de nos quartiers préférés se trouve du côté asiatique d’istanbul. (KADIKÖY) . Le côté européen est la partie “la plus touristique”. La partie où presque tous les sites à visiter y sont. Visitables, monuments (Aya Sofia / Sainte sophie, la mosquée bleue etc..) tout est concentré dans cette partie. Normal que les cars, les opérateurs de tourisme et les touristes du monde entier y aillent. D’où “le trop plein” de touristes. Du coup, comme notre équipe a déjà visité à maintes reprises ces lieux touristiques, elle s’est plutôt orientée vers la turquie des Istanbouliotes et non vers celle des touristes. D’où la partie Asiatique.
D’autant plus que côté asiatique, nous pouvons encore trouver des marchands de sandwichs, (marchands ambulants) , des snacks où l’on peut encore manger sur le pouce. Du côté Européen notamment la région où se trouve les grands monuments (et même du côté du Grand Bazar) nous devons déjeûner obligatoirement dans un restaurant .
Parlant de restaurant, nous rigolions au début en nous disant “nous voilà à Instabul, allons manger au Mc Do du coin” ( en guise de boutade). Cependant, détrompez-vous ….Le Mac Do ( Ou Burger King) à Instabul : Le goût de ses sandwichs n’a rien à voir avec les mêmes restaurants de la chaine de par le monde….Le goût de la viande est carrément différent ( en meilleur évidemment ). On aurait dit un goût de chawarma planqué dans le sandwich. Même les fast foods sont délicieux là bas.
Ne nous cachons pas derrière notre petit doigt : L’une des spécialités et l’un de leur patrimoine : c’est le culinaire. Ils le savent. Tout est articulé autour de la “bonne” nouriture”. Riche nourriture : Non pas en terme de calories …Cependant Richesse en terme de variétés et de choix. Que ce soit Salé ou sucré. Le choix est là.
Sur cette vidéo, nous verrons aussi bien le musée “miniaturc” ( tout est en miniature, y compris l’aéroport, les avions etc…Du fake bien réel ) et le bouquet final ( dernière prise sur la vidéo ) SultanAhmet, la nuit avec tous les lumières du parc : C’est un quartier au nom de la mosque gigantesque et superbe.
Nous vous laissons avec cette vidéo : Visionnez la et passez de bons moment en compagnie de notre radio ( eh oui…Vous nous retrouverez aussi en audio sur notre webradio / radio en ligne / internet radio ) juste en cliquant entre autres sur
Le parc de Sceaux, ensemble du domaine de Sceaux, est propriété du département des Hauts-de-Seine et son parc s’étend sur les territoires des communes de Sceaux et d’Antony.
Parc de Sceaux
Le parc fut dessiné par André Le Nôtre à la fin du XVII siècle à la demande de Colbert puis de son fils le marquis de Seignelay. À la Révolution, par les spéculations de la Bande Noire, le domaine est pillé, revendu à un exploitant agricole, Jean François Hippolyte Lecomte, et le château comme les cascades sont détruits. Un nouveau château est érigé à partir de 1856 par sa fille, Anne-Marie Lecomte-Stuart, mariée au duc de Trévise.
La superficie du parc est de 181 hectares : 121 sur la commune de Sceaux, 60 à Antony.
Le château de Sceaux accueille depuis 1937 les collections du musée de l’Île-de-France, renommé en 2013 musée du domaine départemental de Sceaux.
Au XV siècle, il y a à Sceaux un manoir : en 1470, le seigneur de Sceaux, Jean II Baillet (1400-1477), maître des requêtes ordinaires de l’hôtel du roi, y reçoit le roi Louis XI et la reine Charlotte de Savoie avec toute la Cour.
Au début du XVII siècle, les Potier de Gesvres, seigneurs de Sceaux depuis 1597, font construire un château de style Henri IV ou Louis XIII. C’est une famille de bourgeois qui finiront par devenir ducs : ducs de Tresmes et ensuite ducs de Gesvres. Sceaux est érigée en châtellenie en 1612 et en baronnie en 1619-1624 pour le fils cadet de Louis, Antoine Potier de Sceaux, greffier des ordres du Roi.
Chateau ( au parc de Sceaux )
Lorsque Colbert meurt en septembre 1683, le château de Sceaux devient la propriété de son fils, l’aîné de neuf enfants, le marquis de Seignelay, homme brillant qui succéda également dans plusieurs des charges de son père : Marine et secrétariat d’État à la Maison du roi. Celui-ci fait luxueusement réaménager les intérieurs, commandant notamment un appartement dans le goût chinois, décoré de laques, destiné à sa femme. Il fait construire en 1686 par Jules Hardouin-Mansart l’orangerie qui subsiste en partie aujourd’hui (longue à l’origine de 80 mètres, elle a été amputée de sa partie est pendant la guerre de 1870). Elle fera l’admiration des contemporains et servira dès le début de galerie d’art, visitée par les ambassadeurs du roi du Siam.
Il agrandit considérablement le parc, en achetant la seigneurie de Châtenay au chapitre de Notre-Dame de Paris, portant la surface du domaine à environ 227 hectares. Parc dans lequel il fait créer par Le Nôtre un second axe, perpendiculaire à l’axe originel, en creusant le Grand Canal, long de 1 140 mètres, achevé en 1691 et la création de la terrasse le surplombant dite aujourd’hui « Terrasse des Pintades ». L’ensemble des terrassements et des parterres devant le château sont remaniés pour créer quatre niveaux de terrasses en pente douce, ornés de parterres de broderies avec bassins, d’un parterre de compartiments surplombant le canal et d’un Tapis Vert en direction de Châtenay-Malabry à l’ouest.
Le 16 juillet 1685, Seignelay reçoit le roi et la Cour lors d’une fête demeurée célèbre, organisée par l’ornemaniste Jean Berain. Le roi se promène longuement dans les jardins. Il admire le pavillon de l’Aurore, les bassins et les fontaines puis il regagne le château. L’orangerie qui occupe alors l’aile sud du château a été transformée en salle de spectacle ou l’on donna L’Idylle de Sceaux ou Idylle de la Paix, œuvre de Lully et de Racine, chantée par les membres de l’Opéra. La fête se termine par un somptueux festin. Les tables ont été disposées autour d’un nouveau bassin proche de l’aile sud du château.
Le marquis de Seignelay meurt en 1690 et son épouse en 1699 ; leurs enfants ne profiteront pas du domaine qui sera vendu par leur tuteur au duc et à la duchesse du Maine.
En 1700, les héritiers du marquis de Seignelay vendent le château au duc du Maine, fils naturel légitimé et préféré de Louis XIV et de madame de Montespan. La duchesse du Maine (1676-1753), petite-fille du Grand Condé, tient à Sceaux une cour brillante. Elle fait construire par Jacques de La Guépière le pavillon de la Ménagerie (détruit), situé au nord du grand parc et entouré d’un jardin. Ils donnent une fête brillante pour célébrer le départ du duc d’Anjou, petit-fils de Louis XIV, en Espagne, dont il deviendra roi sous le nom de Philippe V. Elle crée, en 1703, l’ordre de la Mouche à Miel et sa devise est : « Je suis petite certes mais je fais de cruelles blessures », vers tiré de L’Amintas du Tasse.
À la mort de la duchesse du Maine en 1753, le château passe à ses fils, d’abord au prince de Dombes puis, au décès de celui-ci en 1755, au comte d’Eu. En 1775, à la mort du comte d’Eu, son cousin le duc de Penthièvre récupère l’héritage, et se sépare du château de Crécy dont il emporte tous les décors dont douze toiles peintes par François Boucher et huit peintes par Alexis Peyrotte. Ces dernières servirent à décorer le boudoir de Marie-Fortunée d’Este, princesse de Conti (1776) sa belle-sœur. En 1786, le duc projette de transformer une partie du parc en jardin à l’anglaise. En 1791, il donne le domaine à sa fille, la duchesse d’Orléans. Le duc de Penthièvre meurt le 4 mars 1793. Ses biens sont confisqués dès 1793. Les tableaux de Peyrotte furent vendus et les quatre ensembles comprenant cartons de François Boucher furent achetés en 1872 par le duc de Trévise.
La marquise de Trévise continue à veiller sur le domaine. Les troupes françaises l’occupent en 1914. En 1923, l’héritière du marquis de Trévise, sa fille Marie Léonie Mortier de Trévise, par son mariage princesse de Faucigny-Cystria, envisage la cession de ce domaine qu’elle est dans l’incapacité d’entretenir. Jean-Baptiste Bergeret de Frouville, maire de Sceaux de 1919 à 1925, sauve le domaine en réussissant à convaincre le conseil général du département de la Seine d’en faire l’acquisition. En 1971, le domaine est devenu la propriété du département des Hauts-de-Seine.
Pour financer la restauration du domaine, le département de la Seine en lotit le tiers. Les travaux de restauration sont entrepris à partir de 1928 sous la direction de l’architecte Léon Azéma. Le parc de Sceaux retrouve, dans leurs grandes lignes, les dispositions voulues par Le Nôtre. Des mascarons sculptés par Auguste Rodin viennent orner les Grandes Cascades recréées. Le parti-pris d’ensemble est fidèle au classicisme, même si les détails révèlent, par leur dépouillement non exempt d’une certaine sécheresse, une exécution dans les années 1930. Ce parti-pris permet aussi de limiter les frais d’entretien. Œuvre de longue haleine, la restitution ne s’achève que dans les années 1970 avec la recréation du Tapis Vert.
Quelques vestiges significatifs rappellent le château de Colbert et de son fils. La grille d’entrée est encadrée de guérites sommées d’animaux sculptés par Jean-Baptiste Théodon (attribués précédemment par tradition à Antoine Coysevox) qui illustrent les vertus dont le ministre de Louis XIV avait voulu se parer : la licorne transperçant un dragon symbolise la pureté et le désintéressement, tandis que le dogue, qui prend un loup à la gorge, représente la fidélité. À droite de l’entrée, les écuries attribuées à Antoine Le Pautre. Dans le jardin, derrière les communs, le Pavillon de l’Aurore, est surmonté d’une coupole sur laquelle Charles Le Brun a peint l’Aurore chassant la Nuit et décoré de peintures de Nicolas Delobel. On peut également mentionner, outre l’orangerie déjà citée, l’entrée d’honneur avec les deux pavillons de garde en pierre et les bâtiments de la ferme.
Près du château, on avait installé à l’occasion de l’exposition Île-de-France-Brabant, le groupe, œuvre de Martin Desjardins (1686), des quatre nations soumises (l’Empire, la Hollande, l’Espagne et le Brandebourg) qui escortaient la statue pédestre de Louis XIV de la place des Victoires à Paris (aujourd’hui au musée du Louvre, salle Pujet). Au fond du parc, on a remonté en 1932 la façade du pavillon de Hanovre, construit entre 1758 et 1760 par l’architecte Jean-Michel Chevotet dans les jardins de l’hôtel du duc de Richelieu, rue Neuve-Saint-Augustin (actuellement boulevard des Italiens), démonté lors de la construction du Palais Berlitz.
Le château accueille le musée de l’Île-de-France, inauguré en 1937. Le parc est ouvert au public tous les jours du lever jusqu’au coucher du soleil.
Le parc accueille également plusieurs écoles de la région pour leurs activités d’EPS et parcours d’orientation, ainsi que les journées d’intégration de certains établissements scolaires.
Du fait de la présence de nombreux cerisiers du Japon dans la partie ouest du parc, celui-ci est devenu un lieu de rendez-vous de la communauté japonaise d’Île-de-France pour la fête du hanami durant les premières semaines de floraison au printemps.Un théâtre de marionnettes à gaine a été créé et inauguré en avril 2015. Le parc abrite un mémorial du génocide arménien. Des travaux réalisés en 2013 et 2014 ont permis de reconstituer le parterre le plus proche du château dans son état origine avec des broderies de buis (perspective ouest), telles qu’elles avaient été réalisées par André Le Nôtre, augmentées pour le second parterre de gazon (en contrebas).
Le domaine à la Révolution
Le domaine est confisqué comme bien national dès 1793. Il est transformé en école d’agriculture. La plupart des statues sont enlevées par Alexandre Lenoir pour son musée des monuments français. Le domaine est acheté en 1798 par Jean François Hippolyte Lecomte, négociant affairiste, enrichi dans le commerce du vin, proche de Fouché, qui, vers 1803, détruit le château pour en vendre les matériaux.
Le château du duc de Trévise
En 1828, Anne-Marie Lecomte-Stuart (1808-1870), fille de M. Lecomte épouse Napoléon Mortier de Trévise (1804-1869), fils du maréchal Mortier, duc de Trévise. Deuxième duc de Trévise en 1835, celui-ci fait construire à l’emplacement du château de Colbert, le château de style Louis XIII en brique et pierre que l’on peut voir aujourd’hui. Les travaux sont dirigés par l’architecte Joseph-Michel Le Soufaché entre 1856 et 1862, d’après les projets de l’architecte Auguste Théophile Quantinet. Le parc est soigneusement replanté sur les tracés de Le Nôtre. Sous le Second Empire, le domaine est le théâtre de fêtes brillantes.
Le second duc de Trévise meurt en 1869. En 1870, le domaine est occupé par les troupes bavaroises qui saccagent le village de Sceaux. La propriété reste en indivision quelques années puis Hippolyte Mortier de Trévise, marquis de Trévise rachète leurs parts à ses frères et sœurs et continue à entretenir le domaine jusqu’à sa mort en 1892. Sceaux devient alors la propriété de sa fille, la princesse Léonie de Faucigny-Lucinge-Cystria.
Celle-ci se désintéresse du domaine dont sa mère garde l’usufruit. En 1923, lorsque le domaine est cédé au département, les tableaux restèrent dans la famille de Trévise et quittèrent les lieux. Ils furent acquis pour la somme de 400 000 euros par le domaine départemental de Sceaux et retrouvent donc pour la troisième fois le château
Restent de l’époque de l’Ancien Régime, antérieure à la Révolution . L’axe menant de la route d’Orléans à l’entrée d’honneur du château avec ses douves sèches, son pont dormant et ses deux pavillons de garde ;
Brazil officially the Federative Republic of Brazil is the largest country in both South America and Latin America.
At 8.5 million square kilometers and with over 211 million people, Brazil is the world’s fifth-largest country by area and the sixth most populous. Its capital is Brasília, and its most populous city is São Paulo.
The federation is composed of the union of the 26 states and the Federal District. It is the largest country to have Portuguese as an official language and the only one in the Americas;
It is also one of the most multicultural and ethnically diverse nations, due to over a century of mass immigration from around the world.
Bounded by the Atlantic Ocean on the east, Brazil has a coastline of 7,491 kilometers.
It borders all other countries in South America except Ecuador and Chile and covers 47.3% of the continent’s land area.
Its Amazon River basin includes a vast tropical forest, home to diverse wildlife, a variety of ecological systems, and extensive natural resources spanning numerous protected habitats.
This unique environmental heritage makes Brazil one of 17 megadiverse countries, and is the subject of significant global interest and debate regarding deforestation and environmental protection.
Brazil was inhabited by numerous tribal nations prior to the landing in 1500 of explorer Pedro Álvares Cabral, who claimed the area for the Portuguese Empire.
Brazil remained a Portuguese colony until 1808, when the capital of the empire was transferred from Lisbon to Rio de Janeiro. In 1815, the colony was elevated to the rank of kingdom upon the formation of the United Kingdom of Portugal, Brazil and the Algarves.
Independence was achieved in 1822 with the creation of the Empire of Brazil, a unitary state governed under a constitutional monarchy and a parliamentary system. The ratification of the first constitution in 1824 led to the formation of a bicameral legislature, now called the National Congress.
The country became a presidential republic in 1889 following a military coup d’état. An authoritarian military junta came to power in 1964 and ruled until 1985, after which civilian governance resumed. Brazil’s current constitution, formulated in 1988, defines it as a democratic federal republic.
Due to its rich culture and history, the country ranks thirteenth in the world by number of UNESCO World Heritage Sites.
Brazil is considered an advanced emerging economy. It has the ninth largest GDP in the world by nominal, and eight by PPP measures.
It is one of the world’s major breadbaskets, being the largest producer of coffee for the last 150 years.
It is classified as an upper-middle income economy by the World Bank and a newly industrialized country, with the largest share of global wealth in Latin America. Brazil is a regional power and sometimes considered a great or a middle power in international affairs.
On account of its international recognition and influence, the country is subsequently classified as an emerging power and a potential superpower by several analysts. Brazil is a founding member of the United Nations, the G20, BRICS, Union of South American Nations, Mercosul, Organization of American States, Organization of Ibero-American States and the Community of Portuguese Language Countries.
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Nous avons décidé de passer la journée à Bruxelles, en cette période de décoration de Noël.
Partant de Paris, le trajet facile voire un peu monotone pour le conducteur de la voiture.
En fait, nous avons l’habitude de prendre la route vers Bruxelles presque 4 ou 5 fois par mois. Route directe…longue… Autoroute A1 / E19… Enfin…
Arrivés à Bruxelles, heureusement que le GPS est en action..
Depuis des années, que nous allons passer des jours voire des semaines à Bruxelles; La capitale européenne est toujours… Mais vraiment “toujours” en chantier… Des routes bloquées, des déviations de route… On s’y perd…Pourtant, depuis le temps, nous devrions y être habitués. Surtout les tramways qui passent entre les voitures au niveau des croisements.
Cependant, nous aimons cette ville. (aussi bien que la Belgique dans son ensemble ) , au delà de ces chantiers , cette ville est “jeune”. Elle respire l’ouverture européenne et surtout la vie simple sans chichi, sans complexe.
En france, nous avons divers complexes. A commencer par les scandales et cris horrifiés si une ville envisage installer une petite crèche de Noël , pour les quelques jours durant cette célébration.
Nous entendons toutes sortes d’insultes et attaques pretextant que c’est “anti laïque”. Alors qu’en Belgique, ils assument leur histoire, leur croyances ( ou non ) : La crèche de Noël , GEANTE est installée en plein centre de la “grand place” royale de Bruxelles.
Eh oui… Nous aimons la joie, le bonheur, le sourire et l’intelligence de nos amis belges.
La belgique a été choisie cette année, nous aurions pu opter pour la hollande ou l’allemagne. L’ambiance est aussi joyeuse et heureuse dans ces pays, durant les fêtes de Noël et de fin d’année en général.
En france, actuellement, c’est plutôt la galère entre grèves, blocages et arrêts des transports publics (ni trains, ni métros), le pays est paralysé en pleine période de fêtes.
Il faut reconnaitre ses défauts , ses qualités aussi mais aussi les qualités des autres voisins.
Notre équipe s’est déplacée entre la grand place où nous avons pu admirer la crèche de Noël.
Nous avons revu notre ami le “manneken pis” aussi bien que son alter égo féminin “jeanneken pis“.
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Pour l’histoire du personnage en question ( le manneken pis ) : Nous préférons vous remettre le lien wikipédia pour relation tout de A à Z.
Ce qui est certain: Ce petit personnage, cette statue de petite taille est le centre d’intérêt de tous les touristes, des belges… Du monde entier.
Il est inconcevable qu’un touriste passe par Bruxelles sans passer voir ce petit bonhomme.
Le plus sympathique : Il est habillé en période hivernale ( il faut bien qu’il se protège du froid ) 🙂 Alors qu’en période d’été / printemps, il est nu comme un vers. Evidemment, dans les 2 cas, ce petit fait pipi “non stop”.
Nous vous avons choisi quelques photos prises par nos équipes (sauf pour le manneken pis : sources google )
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L’association Peta a demandé au maire du village Issigeac qu’il change le nom d’une des ruelles de ce village médiéval.
Ca se passe en Dordogne en 2018
La star : Une rue dont le nom “rue de la saucisse”
L’agitateur : Association Peta
Jean-Claude Castagner, maire d’Issigeac en Dordogne a reçu un mail de l’association végane Peta dont plusieurs membres, en vacances dans le village médiéval, ont remarqué qu’une des ruelles portait le nom de rue de la Saucisse.
Donc, des touristes, de passage qui ont lancé cette demande.
« Ils sont fermement opposés à cette dénomination et ils nous conseillent même de la rebaptiser Rue Soy-cisse, en référence au soja en anglais. C’est n’importe quoi et il est hors de question que je le fasse » s’insurge le maire.
Même sentiment pour Elma Laporte, la seule habitante à l’année de cette ruelle d’une quinzaine de mètres de long : « Ces gens-là sont complètement hors sujet. La saucisse n’a rien à voir avec du porc. C’est le surnom que les villageois donnaient à une des leurs au début du XXe siècle, car elle était voûtée.
Elle s’appelait Suzanne Tessier et les anciens racontent qu’elle adorait ce surnom alors, pourquoi cette démarche aujourd’hui ? » s’interroge cette femme d’origine écossaise qui a acheté la vieille maison en pierre où vivait « La Saucisse », il y a dix-huit ans.
Sources : Le parisien du 28/11/2018 (Denis Granjou)
NB: Par la suite, il s’est avéré que cette demande de la part de cette association ne fut qu’un coup médiatique pour promouvoir leur association
( source: blastingnews france de Décembre 2018 ).
D’ailleurs, nous en parlons toujours aujourd’hui, même si c’est dans le cadre de la rigolade et d’un gag assez marrant.