MYROSLAV LEVYTSKY


2016 RADIO FORUM / SALON DE LA RADIO 2016 PARIS


Voici un clip résumé sur le salon de la radio 2016

Here is a musical video resuming the 2016 Radio’s exhibition organized in “la Villette Paris”  the  31s Jan / 01st Feb / 02nd Feb

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МОСКВА ТУРИЗМ TOURISME A MOSCOU


Faisons un petit tour du côté de Moscou. Un voyage en vidéo HD pour le plaisir audio visuel. Moscou grande capitale, capitale des grands hommes et des grands combats qui ont marqué l’histoire du monde.  Поездка в Москву

Sourced through Scoop.it from: webradiosblog.wordpress.com

See on Scoop.itRADIO SATELLITE2

ALAIN BARRIERE


 

Une vie musicale riche et garnie

Un répertoire musical varié , de qualité
ALAIN BARRIERE … Une infime partie de ce répertoire

ALAIN BARRIERE…CLIQUEZ ICI SVP POUR VOIR LA VIDEO

PYRAMIDS FOR RUSSIA LEBANON AND FRANCE


The lights of pyramids for all victims

Les lumières des pyramides pour toutes les victimes

أضواء الأهرامات لجميع الضحا يا

огни пирамид для всех жертв

Suite à nos images déjà affichées
https://radiosatellite.co/2015/11/15/bleu-blanc-rouge-international/

 

voici d’autres photos de solidarité avec la France / Paris

pyramids france

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pyramides liban

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pyramids russia

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solidarité France russie liban

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JOE DASSIN L’INOUBLIABLE… UNFORGETTABLE


Joseph Ira  Dassin, dit Joe Dassin, né le 5 novembre 1938 à New York et mort le 20 août 1980 à Papeete (Tahiti), est un chanteur, compositeur et écrivain américano-français.

En seize ans de carrière (1964-1980), il a connu de nombreux succès dans la francophonie et ailleurs2, notamment en Finlande, en Grèce et en Allemagne 3 : Joe Dassin a vendu plus de 50 millions de disques dans le monde4 dont près de 17 millions de disques en France, soit 10 millions de singles et 7 millions d’albums

Dassin l'été indien

Biographie et parcours professionnel

Naissance et famille

Joe Dassin est le fils de Jules Dassin (1911-2008), réalisateur de films, et de Béatrice Launer (1913-1994), violoniste virtuose, tous deux de nationalité américaine.

Il a deux sœurs, Richelle (surnommée « Ricky ») et Julie (surnommée « la petite »).

Son grand-père, Samuel Dassin, était un émigré juif russe originaire d’Odessa.

A son arrivée en Amérique, ne parlant pas anglais, il dit simplement qu’il venait d’Odessa aux services d’immigration.  Ces derniers l’enregistrèrent sous le nom de « Dassin ».

Les années 1960

Jeunesse

Joe Dassin et ses parents habitent New York puis Los Angeles où il apprend le piano, le banjo et la guitare auprès de sa mère.

Son père ayant brièvement appartenu au Parti communiste américain (jusqu’à la conclusion du pacte germano-soviétique) est dénoncé par un membre du parti, le réalisateur Edward Dmytryk, désireux de s’affranchir des soupçons qui pèsent sur lui  et cédant à la pression de la commission des activités anti-américaines.

Aussi la famille s’expatrie en 1950 en Europe où elle déménage de nombreuses fois .

Suivant son père dans ses tournages, Joe Dassin connait onze écoles : il étudie notamment dans plusieurs collèges en Angleterre, en Italie, à l’Institut Le Rosey en Suisse.

Il passe son bac à Grenoble. Il obtient la mention « bien ».

Supportant mal la séparation de ses parents en 1954, il décide de venger son père, chassé comme un paria, en regagnant les États-Unis.

Il  finance ses études par différents jobs (plongeur dans un restaurant, chauffeur-livreur, testeur psychologique, DJ dans la radio WCX de Détroit) ou en interprétant, dans les cafés autour du campus ou lors de mariages, des airs de son chanteur préféré Georges Brassens, mais est trop timide pour chanter devant un vrai public.  C’est en fréquentant le milieu musical qu’il fait la connaissance de Pete Seeger et Bob Dylan.

Il étudie d’abord la médecine puis choisit la spécialité de l’ethnologie.

Il soutient une thèse d’ethnologie sur la tribu des Indiens Hopis à l’université du Michigan et reçoit le diplôme de « professeur assistant »  le jour de ses 23 ans.

Son doctorat en poche, il est réformé par les autorités militaires à cause d’un souffle au cœur.

Alors qu’il envisage une carrière d’écrivain, il revient en 1962 en France où il rejoint sa mère et ses sœurs.

Il  écrit un roman et des nouvelles, écrit pour des magazines américains (New Yorker, Playboy), travaille comme technicien pour son père, puis fait quelques figurations dans ses films.

Joe Dassin à l'olympia

Joe Dassin à l’olympia

Son père l’engage comme assistant sur le tournage de « Topkapi », film où il fait une brève apparition dans le rôle de Josef.

Le 13 décembre 1963, il rencontre sa compagne, Maryse Massiera, chez Eddie Barclay . L’année suivante, il double des films américains et écrit des articles pour Playboy et The New Yorker.

En 1965, il apparaît dans le film Nick Carter et le trèfle rouge de Jean-Paul Savignac, aux côtés d’Eddie Constantine, Nicole Courcel et Graziella Galvani, et dans Lady L. .

Il est   (aussi)  assistant-metteur en scène sur le tournage de What’s New Pussycat?..

Premiers échecs (1964-1965)

Maryse Massiera est une connaissance de Catherine Régnier, secrétaire chez CBS Records, entreprise qui s’est récemment installée en France afin d’y distribuer les disques de ses stars américaines.

Maryse fait donc passer à son amie une bande sur laquelle Joe Dassin entonne un folk song américain, Freight Train.

Son objectif est de graver cette bande sur un disque simple afin de l’offrir à Joe Dassin pour son anniversaire.

A l’écoute de la bande, CBS est convaincue de lancer son premier artiste francophone. Ainsi, le 26 décembre 1964, Joe Dassin est le  premier résident français à signer avec une maison de disques américaine. Il enregistre quatre titres (dont la version française de Freight Train), accompagné de l’orchestre de Oswald d’Andréa.  Deux chansons sont signées Jean-Michel Rivat et Frank Thomas.

Au mois de juin 1965, il sort un nouvel  Maxi 45t,  dont le titre phare est « Je vais mon chemin ». Ce deuxième disque est un nouvel échec.

Il ne s’écoule qu’à 2 000 exemplaires environ.  Et si, en ce début de carrière, Joe Dassin a quelquefois l’occasion d’interpréter ses chansons à la télévision (notamment « Je change un peu de vent » et «  Je vais mon chemin » ), les médias s’intéressent plus à lui en tant que fils de Jules Dassin qu’en tant que chanteur.

Début du succès (1965-1966)

Son troisième EP sort à la fin de l’année 1965.   Si Bip-bip ne marque pas encore le marché du disque (environ 25 000 exemplaires sont écoulés), ce titre devient son premier succès d’estime.

C’est en tout cas son premier vrai succès radio et  pour la première fois de sa carrière, Joe Dassin fait son apparition dans les hit-parades.

Le 31 décembre 1965, Jacques Souplet, nouveau PDG de CBS France, lui présente celui qui deviendra son producteur et ami, Jacques Plait.

En avril 1966, il sort son quatrième EP (sa première collaboration avec Jacques Plait). Deux titres sortent rapidement du lot :  « Ça m’avance à quoi » et « Comme la lune ».

Bien que les  ventes soient encore modestes,  cependant , les titres sont diffusés en boucle sur les radios musicales  et contribuent à la popularité grandissante du chanteur.

Joe Dassin est plus que jamais catalogué parmi les chanteurs de folk song de langue française. Au cours de l’été, il sort son premier single, « Guantanamera »  ainsi que l’adaptation d’un traditionnel, Katy Cruel.

Joe Dassin effectue également son premier concert en public à l’Ancienne Belgique à Bruxelles. À la fin de l’année, il sort un nouvel EP, « Excuse me lady », ainsi que le tout premier album de sa carrière, Joe Dassin à New-York, album qu’il enregistre à New York. Toujours pas de franc succès commercial, même si Joe Dassin continue lentement sa progression dans les hit-parades.

Reconnaissance (1967-1968)

En janvier 1967, André Salvet et Bernard Chevry créent le MIDEM que Joe Dassin va présenter en deux langues.

Il sort aussi un nouvel EP le 3 mai 1967 .  Il obtient le premier vrai réel succès de sa carrière avec « Les Dalton » . « Viens voir le loup », titre de la face B, est éclipsé et n’obtient qu’un succès d’estime.

Sur ce disque, figure la chanson  « Hello hello »  qui reste le premier texte de Claude Lemesle écrit pour Joe Dassin.

À l’automne 1967, il signe « Bébé requin »  pour France Gall et enregistre un nouveau single dont les titres sont  « Marie-Jeanne » et « Tout bébé a besoin d’une maman ».

JOE DASSIN ON STAGE  ( Listen to Joe Dassin's Songs on webradios Radio Satellite & Radio Satellite2 )

JOE DASSIN ON STAGE ( Listen to Joe Dassin’s Songs on webradios Radio Satellite & Radio Satellite2 )

En mars 1968 sort le nouveau single de Joe Dassin avec La Bande à Bonnot. La chanson devient un classique de l’artiste au fur et à mesure des années. Un mois à peine plus tard, il sort un nouveau 45T, Siffler sur la colline. En pleine période de mai 68, le titre rencontre un grand succès commercial : 500 000 copies sont vendues en France15[réf. incomplète]. Joe Dassin devient avec ce titre une véritable vedette et remporte le premier disque d’or de sa carrière.

En novembre 1968, Joe Dassin confirme son succès en sortant Ma bonne étoile, une reprise d’une chanson italienne (comme Siffler sur la colline) avec des paroles de Pierre Delanoë.

joe Dassin country music

joe Dassin country music

Le titre s’installe en tête des hit-parades et remporte un nouveau disque d’or (367 000 exemplaires). La face B du disque « Un peu comme toi » apparait  également dans les hit-parades. Cette période marque également la fin de la collaboration entre Joe Dassin, Jean-Michel Rivat et Franck Thomas. Le nouveau parolier  attitré de Joe Dassin  est désormais Pierre Delanoë.

En mars 1969, Le Petit Pain au chocolat, toujours adapté de l’italien par Delanoë, devient son nouveau grand succès (447 000 copies). Joe Dassin est de nouveau en tête des hit-parades.

Tournées et récompenses (1969)

Le 1er avril 1969, Joe Dassin est victime d’un premier infarctus. Reprenant ses tournées, il rencontre Boby Lapointe, qui lui présente Georges Brassens et l’emmène en tournée.

L’année 1969 se poursuit par  « Les Champs-Élysées », une adaptation anglaise par Pierre Delanoë de Waterloo Road de Lionel Morton, et « Le Chemin de papa », cosigné par Dassin et Delanoë.

Les deux chansons se vendent à plus de 550 000 exemplaires chacune.

 

Le 22 octobre 1969, Joe Dassin cloture sa tournée à l’Olympia avant de recevoir le grand prix du disque de l’Académie Charles-Cros pour l’album « Le Chemin de papa », qui est l’album le plus vendu de sa carrière (presque 800 000 exemplaires) et dans lequel il reprend l’ensemble de ses hits précédents : « La Bande à Bonnot », « Siffler sur la colline », « Ma bonne étoile », « Le Petit Pain au chocolat », « les Champs-Élysées », « Le Chemin de papa »ou encore « Mon village du bout du monde ».

L’Amérique et nouveaux tubes (1970)

Alors qu’il est au sommet de sa carrière discographique, il enregistre « L’Amérique » ainsi que « Cécilia », deux adaptations signées Delanoë.

Le disque se vend à plus de 730 000 exemplaires.

L’Amérique devient rapidement sa chanson de référence . Désormais chacun de ses concerts est cloturé  par ce titre. Après une tournée au cours de l’été, Joe Dassin est à la recherche de nouveaux titres qui seraient susceptibles de prendre la relève de L’Amérique.

Le retour de l’armée de Claude Lemesle marque un nouveau tournant dans sa carrière.

En effet, à la fin de l’année 1970, celui-ci propose deux chansons à Joe Dassin mais ce dernier les refuse.

De nouveau, Jacques Plait convainc le chanteur d’enregistrer ces deux titres. « La Fleur aux dents »

et « L’Équipe à Jojo » qui remportent un énorme succès.

Les ventes de l’album s’en ressentent (740 000 ventes environ)

Le creux de la vague (1971-1974)

Le 4 janvier 1971, « La Fleur aux dents est mis en vente ».

C’est l’un des grands succès de ce début d’année et 359 000 exemplaires seront vendus.

Fin 1971, Joe Dassin sort un nouvel album ainsi qu’un single extrait de cet album.

La promotion de l’album est correcte et le titre phare de l’album  « Elle était oh »  se classe dans le top 10 des hit-parades de l’époque, mais Joe Dassin connaît tout de même un premier creux de la vague .

Les ventes connaissent un net fléchissement. hormis « Elle était oh »,  peu de titres de l’album s’imposent.

« La Mal Aimée du courrier du cœur », « Bye Bye Louis », « La Ligne de vie » sont repris par d’autres artistes et malgré ceci, le succès n’est pas au rendez-vous.

Joe Dassin retrouve le succès lors de l’été 1972 avec « Taka Takata »  qui s’écoule à 300 000 exemplaires ce qui lui vaut un nouveau disque d’or.

A la fin de l’année, il sort son nouveau succès 3La Complainte de l’heure de pointe3.

Joe Dassin sort alors son nouvel album intitulé «  Joe ».

Fin 1974, Joe Dassin sort un nouvel album. « Vade rétro »  et   « Si tu t’appelles mélancolie » qui  lui permettent de retrouver le succès (384 000 ex).

joe dassin et hélène ségara album

joe dassin et hélène ségara album

Le 24 mai 1975, est lancé sur la marché  « L’Été indien » de Toto Cutugno et de Vito Pallavicini. Titre qui devient le plus grand succès de sa carrière.

Il en vend 950 000 ex en France et quasiment deux millions dans le monde . Le titre est interprété, repris,  dans vingt-cinq pays , traduit en plusieurs langues (allemand, italien, espagnol).

Joe Dassin devient le chanteur français le plus apprécié et le plus exporté dans les pays de l’Est, comme l’URSS ou la Pologne.

joe Dassin l'amérique

joe Dassin l’amérique

L’Été indien ne sort sur aucun album studio du chanteur mais figure sur une compilation de ses plus grands succès, sortie à la fin de l’année 1975. L’Été indien est le plus gros succès de l’année 1975 en France et sa version française un plus grand succès que la version originale italienne.

Fin 1975, Joe Dassin sort un nouveau single : La face A  « Ça va pas changer le monde »  s’accapare   la 1re place des hit-parades.  La face B « Il faut naître à Monaco »  lui permet de se replacer dans un registre musical comique voire ironique.

« Et si tu n’existais pas »  (qui est l’un de ses plus grands classiques) et « Salut »  lui permettent  d’occuper à nouveau les top ( appellés Hit Parade à l’époque).

À la fin des années 1970, Joe participe à plusieurs émissions de Maritie et Gilbert Carpentier avec sa bande composée de Carlos, Jeane Manson, Joelle  ( du groupe il était une fois ) , Dave.

Fin 1976, il présente son nouvel album nommé « Le Jardin du Luxembourg »  composé à l’attention de Dassin, par Toto Cutugno et Vito Pallavicini. Ce titre  est quelque peu boudé par les radios et les télévisions en raison de sa longueur (douze minutes).

Joe Dassin se voit dans l’obligation de présenter une version écourtée du morceau.

Ce titre ne dispose même pas d’une version 45 tours, seul un 45 tours promotionnel verra le jour. Début 1977, ce sont donc «  A toi »  et « Le Café des trois colombes »  qui sortent et remportent un grand succès malgré la vague Disco en cours à cette époque

Le 23 juin 1977, à Paris, Joe Dassin participe au spécial télé Soirée canadienne du Québec à l’Olympia enregistré par la Société Radio-Canada.

Comme chaque fin d’année, il profite des fêtes pour sortir un nouvel album.  « Les femmes de ma vie » ne connait pas de succès, au niveau des ventes.  En revanche, le single extrait de l’album (sur lequel figure  « Dans les yeux d’Émilie » se vend à près de  250 000 exemplaires.

Durant l’été 1978, il enregistre « Si tu penses à moi », adapté de « No Woman, No Cry », un tube de Bob Marley revu par Boney M. Le succès de ce titre est mitigé.

Fin 1978, Joe Dassin atteint ses quinze ans de carrière dans la chanson. Pour l’occasion, il sort un nouvel album intitulé 15 ans déjà.

Le disque obtient un disque d’or pour 100 000 exemplaires vendus

Santé

La santé de Joe Dassin se détériore à cette époque. En décembre 1979, une alerte cardiaque, doublée d’une opération due à un ulcère à l’estomac, l’oblige à annuler toutes ses tournées.

Dans les mois qui suivent, il multiplie les malaises cardiaques, exacerbés par le stress (notamment la procédure juridique concernant la garde de ses enfants depuis son divorce en 1977), l’alcool et la drogue.

Il sort tout de même un ultime single nommé « the guitar don’t lie . Fin juillet 1980, Joe est à nouveau victime d’un infarctus et est hospitalisé à l’hôpital américain de Neuilly.

Décès

Après avoir fait une énorme tournée en Europe dont il  en sort très fatigué, sans avoir obéi à son médecin qui lui avait conseillé de se reposer.  Il  part, donc,  à Tahiti pour une quinzaine de jours de vacances et de repos… Le 20 août 1980, Joe Dassin meurt à l’âge de 41 ans à la suite d’un infarctus du myocarde à Papeete (Tahiti).

Il déjeunait alors avec sa famille et des amis dans le restaurant  « Chez Michel et Éliane »  lorsque soudainement, à 12 h 30, il est pris d’un malaise et s’effondre sur sa chaise.

La seule ambulance de Papeete est indisponible et n’arrive sur les lieux qu’environ quarante minutes après l’attaque cardiaque.

Le cœur de Joe Dassin bat encore à l’hôpital mais de façon très aléatoire. Malgré un massage cardiaque et un essai de réanimation, le médecin ne peut que constater son décès.

Une plaque à sa mémoire est visible à Papeete au bar « le Rétro » sur le front de mer où il est mort, au premier étage. Son monument funéraire se trouve à l’Hollywood Forever Cemetery, cimetière juif d’Hollywood à Los Angeles (Californie).

Joe dassin le meilleur

Joe dassin le meilleur

Vie privée

Le 18 janvier 1966, Joe Dassin se marie avec Maryse Grimaldi. Après avoir avorté à plusieurs reprises « pour qu’elle puisse continuer à le suivre dans ses nombreuses tournées », elle lui donne son premier fils, Joshua, né le 12 septembre 1973 mais mort prématurément, cinq jours après sa naissance.

Joe Dassin est alors animateur d’une série d’émissions radio, Western Story, sur les antennes de Radio Luxembourg.

Séduit par l’environnement de Feucherolles, il y fait construire une très grande maison de 800 m² dans laquelle il vivra avec sa famille de 1975 à 1980. Ses deux enfants y passeront leur petite enfance.

Le 5 mai 1977, il divorce à l’amiable de Maryse Grimaldi. Il a en effet rencontré Christine Delvaux, fille d’un commerçant de Rouen, dans une boîte à la mode de Courchevel où il séjournait pour ses vacances d’hiver.

S’étant perdus de vue, ils se sont retrouvés chez Castel au cours d’une soirée entre amis.

Le 14 janvier 1978, il se marie avec Christine Delvaux à Cotignac. Lors d’un gala qu’il effectue gratuitement dans cette même commune, la municipalité lui offre un terrain. Il fera construire une maison de vacances qu’il occupera plusieurs années. Le 14 septembre 1978, son fils Jonathan naît à l’hôpital américain de Neuilly.

Le 22 mars 1980 naît son second fils, Julien. Christine Delvaux meurt en 1995, à l’âge de 50 ans, foudroyée par une crise d’asthme.

Joe Dassin Les Champs-Élysées

Joe Dassin Les Champs-Élysées

SOURCES: Wikipedia

 

Pour écouter Joe Dassin et toutes les variétés Françaises: Rendez vous sur “RS2: Radio Satellite2”:

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ROMANOV FAMILY / FAMILLE ROMANOV / семьи Романовых


L’assassinat de la famille Romanov et de ceux qui ont choisi de les accompagner en exil, le Dr Evgueni Sergueïevitch Botkine, Anna Stepanovna Demidova, Alekseï Egorovitch Trupp et Ivan Kharitonov, a eu lieu à Ekaterinbourg dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918 sur les ordres de Lénine.

Son compte-rendu se base sur le dossier Sokholov, nommé d’après le juge d’instruction qui enquêta sur place et publia une partie de son rapport en 1924. Des recherches controversées, rejetées par la majorité des historiens et des scientifiques, remettent pourtant en cause les conclusions de ce rapport.

Le 15 août 2000, l’Église orthodoxe russe annonce la canonisation des Romanov pour « leur humilité, leur patience et leur douceur ». Le 1er octobre 2008, la Cour suprême de la Fédération de Russie poursuit la campagne de réhabilitation des Romanov et estime que Nicolas II et sa famille ont été victimes de la répression politique.

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Le contexte

Le 22 mars 1917, Nicolas II, qui a abdiqué quelques jours plus tôt, est placé en résidence surveillée avec sa famille au Palais Alexandre situé à Tsarskoïe Selo près de Saint-Pétersbourg. La même nuit, une bande de soldats profane le tombeau de Raspoutine, jette son cadavre sur un bûcher. Le corps brûle pendant six heures jusqu’à ce que les cendres soient dispersées par le vent glacé.

En août 1917, le gouvernement provisoire d’Alexandre Kerenski évacue les Romanov à Tobolsk en Sibérie, selon lui, pour les protéger contre les débordements de la Révolution.

Là, ils vivent plutôt confortablement dans l’ancien hôtel particulier du gouverneur.

Après la prise du pouvoir des bolcheviks en octobre 1917, les conditions de leur détention deviennent plus strictes. L’imminence de leur procès est fréquemment évoquée tandis que la famille subit régulièrement insultes et vexations : On interdit à Nicolas II de porter ses épaulettes, les sentinelles griffonnent des dessins obscènes sur la clôture pour choquer ses filles.

Le 1er mars 1918, la famille vit sur des rations de soldats et doit se séparer de dix serviteurs.

La lutte entre l’Armée rouge et les Armées blanches s’intensifiant, la famille est rapatriée en deux convois (Nicolas II, Alexandra et leur fille Maria en avril, le tsarévitch Alexis trop malade pour accompagner, est resté avec ses sœurs Olga, Tatiana et Anastasia et ne quittent Tobolsk qu’en mai 1918) dans la direction de Moscou avant de bifurquer vers l’Oural et de les enfermer dans la villa Ipatiev à Iekaterinbourg.

La peur que des membres de la famille Romanov s’évadent ou soient exfiltrés par les Anglais (Nicolas II étant le cousin et ami du roi du Royaume-Uni George V) a ainsi poussé les autorités russes à passer d’une résidence surveillée à Tsarskoïe Selo à une détention dans la villa Ipatiev.

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Déroulement de l’assassinat

Le geôlier Iakov Iourovski

Au cœur de l’été 1918, le geôlier des Romanov est remplacé par le nouveau super-intendant Iakov Iourovski.

La pression des Armées blanches sur les faubourgs de Iekaterinbourg accélère les événements : un télégramme donnant l’ordre d’exécuter les prisonniers au nom du Soviet régional de l’Oural est signé par Iakov Sverdlov.

Vers minuit, le 16 juillet, Iakov Iourovski ordonne au Dr Evgueni Sergueïevitch Botkine de réveiller les Romanov et leurs quatre derniers serviteurs et de leur demander de se préparer pour un voyage dont on leur tait la destination.

Ils sont conduits vers une pièce dans l’entresol. L’ex-empereur fait apporter deux chaises pour lui et sa femme. Un peloton d’une douzaine d’hommes apparaît et le geôlier déclare :

Yakov Mikhailovich Yurovsky

Yakov Mikhailovich Yurovsky

« Nikolaï Alexandrovitch, les vôtres ont essayé de vous sauver, mais ils n’y sont pas parvenus. Et nous sommes obligés de vous fusiller. Votre vie est terminée. »

— Iakov Iourovski

Les tirs ont lieu à bout portant.

Iourovski aurait levé son arme et tiré sur Nicolas, qui meurt sur le coup.

Les autres bourreaux tirent jusqu’à ce que toutes les victimes tombent. Le tsarévitch rampe vers la porte, le Commissaire bolchevik Peter Ermakov lui défonce le crâne à coups de baïonnette.

Les dernières survivantes (Anastasia, Tatiana, Olga, et Maria dont les diamants cousus dans leurs vêtements leur ont servi un temps de gilet pare-balle) sont exécutées tout aussi sauvagement car leurs cris pourraient être entendus à l’extérieur.

Les corps sont placés dans des draps, conduits en camion dans une fondrière à quelques kilomètres de là, brûlés à la chaux vive et au vitriol.

Les corps n’étant pas complètement dissous à l’aube, les bourreaux reviennent la nuit suivante. Une annonce officielle parue dans la presse nationale, deux jours plus tard, indique que le monarque a été exécuté sur l’ordre de l’Uralispolkom (Soviet de l’Oural) pressée par l’approche des Armées blanches tchécoslovaques.

Cela fait surgir des interrogations sur le sort du reste de la famille qui officiellement a été évacué par les Bolcheviks (déclarations des dirigeants bolcheviks, notamment du commissariat du peuple aux Affaires étrangères Gueorgui Tchitcherine).

Bien que les officiels soviétiques placent la responsabilité de la décision sur l’Uralispolkom, Léon Trotsky écrit dans son journal personnel que cet assassinat a été commis sous l’autorité de Lénine.

Trotsky affirme alors dix-sept ans après les faits que les Bolcheviks ont massacré toute la famille dans le but de terroriser l’ennemi.

En 1989, le rapport de Yakov Yurovsky est publié. Selon ce rapport, les unités des légions tchèques approchaient des lieux. Craignant que ces légions prennent la ville et libèrent les Romanov, les geôliers les exécutèrent, faisant valoir qu’il n’y avait pas de « retour en arrière possible ».

Mais d’après ce rapport, que copie le rapport Sokholov, les corps ont été tous incinérés, ce qui expliquerait qu’on ne les ait pas retrouvés entre juillet 1918 et juillet 1919.

Liste des personnes ayant participé à l’assassinat de la famille impériale

Le 16 juillet 1918, les personnes chargées de l’exécution de Nicolas II de Russie, de sa famille et des membres de sa suite sont réunis.

=> Six lettons selon d’autres sources des Hongrois de la Tcheka sont réunis, deux d’entre eux se désisteront.

=> Parmi les volontaires, selon certains témoignages, figurait un hongrois, Imre Nagy, né le 7 juin 1896, en 1956 il dirigera la Révolution hongroise et sera fusillé par les Soviétiques le 16 juin 1958 à Budapest. Cependant, sa participation a été contestée par certains historiens qui remarquent que son nom apparaît seulement dans des documents soviétiques après l’écrasement de la révolte hongroise.

=> Iakov Mikhaïlovitch Iourovsky, né le 19 juin 1878 et mort le 2 août 1938 ; il se confessa le 1er février 1934 ; la même année sa fille est envoyée dans les camps de travail.

=> Grigori Petrovitch Nikouline, adjoint de Iakov Mikhaïlovitch Iourovsky ;

=> Piotr Zakarovitch Ermakov : (connu sous le sobriquet de Camarade Mauser), né le 13 décembre 1884, mort le 22 mai 1952, commandant du détachement chargé de l’exécution de la famille impériale ;

=> À Medvedev de son vrai nom Mikhaïl Koudrine : il décèdera en 1964, peu avant son décès, il offrira au Musée de la Révolution, son revolver, un Browning portant le numéro de série 3891965, cette arme aurait été utilisée pour assassiner le tsar.

=> Mikhaïlovitch Medvedev : Fils du précédent ;

=> Alexeï Kabanov : Ex membre de la Garde impériale, pendant l’assassinat du tsar et de sa famille, il se tiendra près d’une mitrailleuse installée dans le grenier de la maison Ipatiev ;

=> Stepan P. Vaganov ;

=> Pavel Spiridonovitch Medvedev, chef de la garde de la maison Ipatiev ;

=> Viktor Nikiforovitch Netrebine ;

=> Un étudiant encore mineur, selon J.F. Plotnikov il aurait été utilisé comme spécialiste de la joaillerie.

Postérité sous le régime post-communiste

En 1990, Boris Eltsine alors chef de l’État russe fait exhumer 9 des 11 corps de la famille impériale, puis procéder à une identification par une analyse ADN.
La validité de ces tests est remise en cause par certains scientifiques, comme le professeur Kitozato Tatsuo Nagai, directeur du Japanese Institute of Forensic Medicine and Science qui dispose de l’ADN du tsar issu d’un de ses mouchoirs tachés de sang lors d’un attentat au cours d’un voyage à Oda au Japon en 1890 ou de l’équipe universitaire de Stanford qui obtint l’os du doigt d’une Romanov, Élisabeth de Hesse-Darmstadt. Deux corps manquent, celui du tsarévitch Alexis et celui de l’une de ses sœurs, Maria ou Anastasia.

D’après le rapport de Yourovski, qui dirigea l’exécution, ces deux corps furent brûlés dans les bois voisins. Cependant, il n’existe aucune preuve réelle de la mort du frère et d’une des sœurs.

Le 16 juillet 1998, Nicolas II a été inhumé dans la cathédrale Pierre-et-Paul de Saint-Pétersbourg avec les membres de sa famille (sauf Alexis et l’une de ses sœurs) en présence des descendants de la famille Romanov, notamment du prince Nicolas Romanov, chef de la maison impériale de Russie.

Le patriarche de toutes les Russies, Alexis II refuse de célébrer ces obsèques, l’Église orthodoxe russe refusant de reconnaître les restes dits d’Ekaterinbourg comme ceux de la famille impériale, se raccrochant aux reliques de Sokolov.

Lors de fouilles, réalisées en juillet 2007 sous l’égide du Ministère de l’intérieur russe, au lieu probable où les corps du tsarévitch et de l’une de ses sœurs auraient été enterrés, ont été retrouvés des ossements de deux corps.

D’après les premières conclusions, il s’agirait d’un jeune garçon âgé de treize, quatorze ans et d’une jeune femme âgée de dix-neuf, vingt ans.

Tels étaient les âges du tsarévitch Alexis et de la grande-duchesse Maria au moment de leur mort. Toutefois les autorités russes avaient déjà annoncé en 1998 que ces 2 corps avaient été retrouvés dans la forêt d’Ekaterinbourg près de la fosse où furent exhumés les 9 corps.

L’église orthodoxe Sur-le-Sang-versé est construite entre 2000 et 2003 sur la colline de l’Assomption sur le lieu de l’assassinat de la famille impériale.

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TEST ADN

Le 22 janvier 2008, à l’occasion du dépôt des conclusions préliminaires de l’expertise génétique, Nikolaï Nevoline, chef du bureau régional de l’expertise médico-légale de Sverdlovsk, a confié à RIA Novosti :

« Les ossements découverts le 29 juillet 2007 aux abords d’Ekaterinbourg appartiennent à des enfants du dernier empereur russe. Les analyses ADN effectuées à Ekaterinbourg et à Moscou ont confirmé notre hypothèse. Une fois ces expertises terminées, leurs résultats seront comparés à ceux de nos collègues étrangers. »

Le 30 avril 2008, les analyses génétiques effectuées par un laboratoire américain ont confirmé que les restes provenaient bien du tsarévitch Alexis et de sa sœur, la grande-duchesse Maria.

Aux yeux de certains seulement, les analyses ADN laissent peu de doute sur la réalité de l’exécution de la famille Romanov ; et les circonstances de l’exécution et de l’exhumation de la famille Romanov et de leur suite comportent suffisamment de parts d’ombre pour introduire un doute sérieux quant au forfait et faire admettre la possible survie des membres de la famille (exemple : l’affaire Anna Anderson, révélations sur Maria Nikolaïevna de Russie, Tatiana Nikolaïevna de Russie, Olga Nikolaïevna de Russie, Alexandra de Hesse ou le tsarévitch Alexis) et de l’immense fortune impériale dormant peut-être dans des coffres étrangers.

Les historiens ne donnent pas tous foi à ces tests ADN. Depuis le milieu des années 1980 nous dit Marc Ferro tous les cinq ans environ, des laboratoires souvent britanniques annonçaient les preuves de la découverte des corps de la famille Romanov ; ce qui n’empêchait pas l’absence de deux corps sans qu’on soit sûr en 2011 de l’identité des disparus.

Par ailleurs, le rapport Sokolov affirmait que si certains des corps de la famille n’avaient pas jamais été retrouvés après un an de recherche (juillet 1918-juillet 1919), c’est parce qu’ils avaient été brûlés.

Mais en 1972 un grand légiste britannique, le professeur Camps, assura auprès d’Anthony Summers et de Tom Mangold qu’il n’était pas possible en trois jours de faire disparaître par le feu onze corps “ni d’ailleurs un seul” .

De surcroît, nous expliquent Summers et Mangold, Iourovski et la Tchéka ne furent pas début juillet 1918 envoyés par Lénine pour aggraver les persécutions bien réelles imposées par les gardes-rouges avant de les achever mais au contraire pour protéger les prisonniers, sanctionner les coupables (peines de prison).

Il s’agissait de maintenir de bonnes relations avec l’Allemagne de Guillaume II, pays avec qui la famille impériale était liée par le sang ou par alliance.

Pour certaines des femmes ainsi que pour Alexis, un nombre important d’imposteurs des Romanov (en) apparaissent, se présentant comme les enfants de Nicolas II. Cela discrédite-t-il la version de la survivance ? Pas forcément si l’on examine au cas par cas ce qu’ont fait plusieurs de ces historiens, apportant régulièrement de nouveaux éléments, sans évidemment emporter toujours la conviction sur le devenir prolongé de l’ensemble de la famille de Nicolas II.

SOURCES WIKEPEDIA

UN VOYAGE EN RUSSIE ….МОСКВА ТУРИЗМ


Une belle vidéo HD  abordant la russie d’aujourd’hui et d’hier

Вояж ан России

Si vous aimez les voyages, voici un de nos articles : Des vidéos prises par notre équipe : Istanbul

VIDEOS ISTANBUL

saint petersburg


Un petit article en photos, sur saint Petersbourg

http://radiosatellite.canalblog.com/archives/2014/07/06/30199855.html

 

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MUSIQUE DU MONDE ENTIER


 

WORLDWILDE  MUSIC 

 

Comme d’habitude,  nos webradios “Radio Satelllite2”  et “Radio Satellite” vous écoutent et répondent  à vos requêtes. Nous avons donc préparé un programme de 2 heures 30 minutes.Image

burcu gunesVendredi 02 Mai 2014 à MIDI (CET , heure de Paris) nous avons le plaisir de vous présenter un programme regroupant des musiques, chansons, titres traditionnels de plusieurs pays et communautés: 

Nous aurons des musiques /chansons espagnoles, indiennes, libanaises, turques, greques, irlandaises, écossaises, néerlandaises etc…

Nous aurons des musiques traditionnelles hebraiques, des artistes originaires du Maroc interprétant des titres en langue espagnole, des artistes russes, italiens, coréens…02 heures 30 minutes regroupant les meilleures musiques du monde.Kitaro

 

Enjoy 🙂

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RAGHEB ALAMA