KIRK DOUGLAS


Notre équipe a souhaité écrire un article commun sur Messieurs  KIRK et MICHAEL DOUGLAS : Le projet était en cours.

Cependant, le décès de M kirk DOUGLAS le 05 février 2020 a fait en sorte que nous ressortions  l’article déjà écrit sur un autre de nos sites RADIOSATELLITE  pour le diffuser sur le site officiel et principal de notre Radio “en ligne”.

KIRK DOUGLAS

Issur Danielovitch dit Kirk Douglas, né le 9 décembre 1916 à Amsterdam (État de New York), est un acteur, producteur, réalisateur et écrivain américain. Il est le père de l’acteur et producteur Michael Douglas.

 

KIRK DOUGLAS

 

 

Figure majeure du cinéma américain, Kirk Douglas est un des acteurs les plus populaires dans le monde entier dans les années 1950 et 1960.

Nombre de ses films deviennent des classiques, et il excelle dans tous les genres : la comédie (Au fil de l’épée), l’aventure (Vingt Mille Lieues sous les mers, Les Vikings), le western (Règlement de comptes à O.K. Corral), le péplum (Spartacus), les films de guerre (Les Héros de Télémark, Sept jours en mai, Les Sentiers de la gloire), le drame (La Vie passionnée de Vincent van Gogh).

Douglas a tourné avec de nombreux réalisateurs réputés comme Brian De Palma, Stanley Kubrick, Vincente Minnelli, John Huston, Howard Hawks, Otto Preminger, Joseph Leo Mankiewicz, Elia Kazan, Billy Wilder et King Vidor.

Connu pour son engagement démocrate, il est un producteur courageux à une époque où le cinéma américain est en proie au maccarthysme, notamment en engageant Dalton Trumbo, le scénariste figurant sur la « liste noire d’Hollywood ». Plusieurs de ses films abordent des thèmes sensibles, comme la Première Guerre mondiale avec Les Sentiers de la gloire (Paths of Glory), qui est interdit à sa sortie dans beaucoup de pays européens. Dans le western avec La Captive aux yeux clairs, La Rivière de nos amours et Le Dernier Train de Gun Hill, il tourne des films qui réhabilitent la figure de l’Indien et dénoncent le racisme.

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Ambitieux, séducteur , mégalomane , il fait partie des acteurs américains qui ont le plus marqué la mémoire du public.

Sa grande popularité ne s’est jamais démentie et il apparaît comme l’une des dernières légendes de l’Âge d’or de Hollywood. L’American Film Institute l’a par ailleurs classé en 1999 17e plus grande star masculine du cinéma américain de tous les temps.

Retiré du cinéma en 2008, il s’occupe de sa fondation pour les enfants défavorisés.

Issur Danielovitch est le quatrième enfant d’une famille qui en compte sept (il a six sœurs).

Il est le fils de Bryna (« Bertha », née Sanglel) et de Herschel (« Harry ») Danielovitch (« Demsky »). Ses parents étaient des immigrants juifs de Tchavoussy, en actuelle Biélorussie, ayant fui le pays pour échapper à la pauvreté et à l’antisémitisme d’état de l’Empire russe.

Son oncle paternel, qui avait émigré auparavant, avait utilisé le patronyme de « Demsky », que la famille Danielovitch adoptera aux États-Unis. En plus de leur nom de famille, ses parents changèrent leurs prénoms en Harry et Bertha. Issur adopte quant à lui le surnom d’« Izzy » : né sous le nom d’Issur Danielovitch, il grandit donc sous celui de Izzy Demsky

 

 

Le père est chiffonnier et la famille vit modestement au 46 Eagle Street à Amsterdam, dans l’État de New York. C’est après avoir récité un poème à l’école et reçu des applaudissements que le jeune Issur décide de devenir acteur. Une ambition non partagée par sa famille. À l’université, le fait d’être fils de chiffonnier lui attire l’ostracisme des personnes intolérantes mais le jeune homme trouve une façon d’imposer le respect : la lutte.

En juin 1939, il décide de partir à New York pour apprendre la comédie. Au théâtre Tamarak, un ami lui propose de changer son nom. On lui propose Kirk et un nom commençant par un D, Douglas. Il entre ensuite à l’académie américaine d’art dramatique et suit les cours de Charles Jehlinger.

Il y rencontre aussi Diana Dill, sa future première femme, et la jeune Betty Bacall, future Lauren Bacall. Après quelques rôles mineurs dans les pièces Spring Again (novembre 1941) et Les Trois Sœurs (décembre 1942), il s’engage dans la marine. Peu avant de s’enrôler, il effectue une démarche de changement de nom : Kirk Douglas, qui était initialement un nom de scène, devient alors son nom d’état civil.

Pendant la guerre, il se marie à Diana. Réformé à la suite d’une dysenterie chronique au printemps 1943, il retourne à New York puis de mars 1943 à juin 1945 il remplace sur scène Richard Widmark dans Kiss and Tell et en avril 1946 il joue dans Woman bites dog. Lauren Bacall, en intervenant auprès de Hal Wallis, lui permet d’obtenir le troisième rôle dans L’Emprise du crime où il joue le mari de Barbara Stanwycknote .

Il donne la réplique à Robert Mitchum dans La Griffe du passé et rencontre Burt Lancaster dans L’Homme aux abois. Alors qu’il est père de deux enfants et qu’il se sépare de sa femme, il prend le choix audacieux de tourner Le Champion (alors qu’on lui proposait une superproduction produite par la MGM). Sorti en juillet 1949, le film est un succès inespéré.

Kirk Douglas signe alors un contrat avec la Warner et enchaîne plusieurs films (La Femme aux chimères, Le Gouffre aux chimères…) qui lui permettent de rencontrer et de séduire un grand nombre de stars féminines, dont Rita Hayworth ou Gene Tierney. Las de l’emprise du studio, il décide de ne pas renouveler son contrat après le film La Vallée des géants. Libre, il tourne un western de Howard Hawks, La Captive aux yeux clairs, puis Les Ensorcelés de Vincente Minnelli où l’oscar du meilleur acteur lui échappe.

Pour les beaux yeux de l’actrice italienne Pier Angeli il accepte un contrat de trois films qui l’amène en Europe. Le Jongleur, Un acte d’amour et enfin Ulysse des jeunes producteurs Dino De Laurentiis et Carlo Ponti.

À cette époque il rencontre Anne Buydens, une assistante dont il tombe amoureux et qu’il épouse le 29 mai 1954, la même année que la superproduction Disney Vingt Mille Lieues sous les mers. Après L’Homme qui n’a pas d’étoile, l’acteur à succès devient producteur et crée la Bryna, du nom de sa mère, et produit La Rivière de nos amours, un succès.

En 1955 il achète les droits du roman Lust for life et confie la réalisation à Vincente Minnelli. La Vie passionnée de Vincent van Gogh entraîne Kirk Douglas aux limites de la schizophrénie, l’acteur ayant du mal à entrer sans conséquences dans l’âme tourmentée du peintre.

Là encore, il est nommé pour l’Oscar du meilleur acteur sans toutefois l’obtenir. Il tourne alors avec son ami Burt Lancaster un western de légende, Règlement de comptes à O.K. Corral. Sa composition du personnage de Doc Holliday reste dans toutes les mémoires. La même année, il s’investit dans la production et l’écriture d’un autre film de légende, Les Sentiers de la gloire qui permet à Stanley Kubrick de faire ses preuves.

Le film ne rapporta pas beaucoup d’argent puisqu’interdit dans un grand nombre de pays européens. Avec la Bryna, il produit Les Vikings, fresque épique qui l’emmène tourner un peu partout dans le monde (dont en France). Le film avec Tony Curtis et Janet Leigh est un gros succès. L’année suivante, après le film Au fil de l’épée, sa mère meurt le jour de son anniversaire.

Vexé de ne pas avoir été choisi pour interpréter Ben-Hur, il choisit de faire son propre film épique en adaptant au cinéma l’histoire de Spartacus l’esclave qui fit trembler Rome.

KIRK DOUGLAS SPARTACUS

KIRK DOUGLAS

 

Une préparation longue et compliquée, un tournage long et difficile (le réalisateur Anthony Mann est remplacé par Stanley Kubrick), mais un immense succès et un rôle qui place définitivement Kirk Douglas au panthéon des stars de Hollywood.

En 1962, toujours sur un scénario de Dalton Trumbo, il interprète un cow-boy perdu dans le monde moderne dans Seuls sont les indomptés, son film préféré de toute sa carrière cinématographique. Il triomphe aussi au théâtre dans la pièce Vol au-dessus d’un nid de coucou, qu’il comptait jouer au cinéma. Après quelques échecs commerciaux, dont un ambitieux, Le Dernier de la liste, il revient aux films engagés avec Sept jours en mai. Dans Les Héros de Télémark il est un scientifique qui tente de stopper la progression industrielle allemande pendant la guerre. Sur la même période, il enchaîne avec Première victoire et L’Ombre d’un géant.

Après un petit rôle dans Paris brûle-t-il ? de René Clément, il retrouve John Wayne pour un western à succès La Caravane de feu.

En 1969, il tourne L’Arrangement sous la direction de Elia Kazan puis sous celle de Joseph L. Mankiewicz pour un western original et déroutant, Le Reptile aux côtés de Henry Fonda. Après une autre adaptation d’un roman de Jules Verne (assez sombre), Le Phare du bout du monde, Kirk Douglas décide de passer à la réalisation.

Sur un sujet qu’il pense rentable, avec un budget correct, Kirk Douglas réalise Scalawag, adapté de L’Île au trésor. Le tournage est catastrophique, comme en témoigne le journal de bord, et le film est un échec total. Deux ans plus tard, il réitère l’opération avec La Brigade du Texas, western qui ne trouve pas son public.

Ce dernier film incite la star à abandonner la réalisation. Ne voulant plus tourner que des films qui l’intéressent, il produit Holocauste 2000, et Saturn  (nommé aux Razzie Awards). Furie lui permet de se frotter au Nouvel Hollywood avec Brian De Palma et Nimitz, retour vers l’enfer de retrouver le film de guerre, mâtiné cette fois de science-fiction.

Il retrouve son ami Burt Lancaster pour Coup double en 1986. Victime d’un grave accident d’hélicoptère en Californie duquel il réchappe miraculeusement, il réduit son activité cinématographique, freinée par une attaque cérébrale en 1996. Diamonds en 1999 est l’occasion de retrouver Lauren Bacall et de recevoir au festival de Deauville un hommage pour l’ensemble de sa carrière.

Une attaque cardiaque en 2001 lui enlève tout espoir de retourner au cinéma, et pourtant il accepte de tourner dans Une si belle famille aux côtés de son fils Michael et de son petit-fils Cameron. Trois générations de Douglas sont ainsi réunies pour un film sorti de façon discrète et qui ne connaîtra pas un grand succès.

Depuis le milieu des années 1990, Kirk Douglas est fréquemment honoré dans le monde entier pour l’ensemble de sa carrière. Écrivain, il a publié plusieurs ouvrages et se consacre aujourd’hui à sa fondation en faveur des enfants défavorisés.

Kirk Douglas s’est marié deux fois : la première fois avec Diana Dill (née le 22 janvier 1923, divorcée en 1951 et morte le 3 juillet 2015) avec qui il a eu deux fils, l’acteur Michael Douglas et Joel Douglas ; la seconde fois en 1954 avec Anne Buydens (née le 23 avril 1919), avec qui il a eu également deux fils, le producteur Peter Vincent Douglas, né le 23 novembre 1955, et l’acteur Eric Douglas, né le 21 juin 1958 et mort le 6 juillet 2004 d’une overdose.

Il a sept petits-enfants (trois enfants de Michael Douglas, dont l’aîné Cameron Douglas est également acteur, et quatre enfants de Peter Douglas).

Considéré comme bel homme, Kirk Douglas est souvent identifié par sa fossette au menton. Il a été caricaturé avec cette fossette bien visible sous le nom de Spartakis dans la série de bandes dessinées #Astérix (album La Galère d’Obélix), d’après son rôle dans le film #Spartacus.

 

kirk Douglas est décédé le 05 Février 2020.

 

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Kirk Douglas Album

 

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JEAN-PAUL BELMONDO


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TABBOUCH & Cie

Jean-Paul Belmondo, né le 9 avril 1933 à Neuilly-sur-Seine est un acteur français. Il a également été producteur de cinéma et directeur de théâtre.

Alternant dans les premières années de sa carrière les films populaires et d’Art et Essai avant de pencher nettement pour la première catégorie, il est rapidement devenu l’une des plus grandes vedettes du cinéma français, champion incontesté du box-office au même titre que Louis de Funès et Alain Delon à la même époque.

En cinquante ans de carrière, il a attiré dans les salles près de 130 millions de spectateurs : entre 1969 et 1982, il a joué à quatre reprises dans le film le plus vu de l’année en France (Le Cerveau, Peur sur la ville, L’Animal, L’As des as), égalant le record de Fernandel et n’étant dépassé sur ce point que par Louis de Funès.

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Il a tourné sous la direction de grands…

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JOHN WAYNE La légende


RADIO SATELLITE

John WAYNE: Considéré comme l’américain patriote et héroique, 

 

JOHN WAYNE

john wayne john wayne

Marion Mitchell Morrison, dit John Wayne, né le 26 mai 1907 à Winterset dans l’Iowa, aux États-Unis, et mort le 11 juin 1979 àLos Angeles, est un acteurréalisateur et producteur américain.

S’il a joué dans des films policiers, des films de guerre et quelques comédies romantiques, c’est dans ses nombreux westernsque John Wayne s’est réellement imposé, sous la direction de deux réalisateurs particulièrement : John Ford (La Chevauchée fantastiqueLe Massacre de Fort ApacheLa Charge héroïqueRio GrandeLa Prisonnière du désert ou encore L’Homme qui tua Liberty Valance) et Howard Hawks (La Rivière rougeRio BravoEl Dorado ou Rio Lobo). Il tourna également plusieurs films avec Henry Hathaway dont Cent…

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JEAN ROCHEFORT et LE PETIT PRINCE VERSION “DJEUNS”


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TABBOUCH & Cie

L’artiste, l’acteur M Jean Rochefort explique l’histoire du “petit prince” ( d’Antoine de Saint Exupéry) en quelques minutes en mode language dit de “jeunes”

Sympa..Marrant…Même si pour notre part, ce n’est pas notre style, pas notre langage 🙂

En tout cas, Bravo M Rochefort… Grand talent connu et reconnu.

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ALDO MACCIONE… BIRTHDAY 27 NOV


HAPPY BIRTHDAY ALDO MACCIONE

Aldo Maccione est un acteur et chanteur italien né le 27 novembre 1935 à Turin (Italie).

 

 

Acteur de comédie, il a tourné dans son pays d’origine, mais c’est en France qu’il est devenu une vedette et où il a fait l’essentiel de sa carrière dans les années 1970 et les années 1980.

 

Après avoir gagné un radio-crochet dans les années 60, Aldo Maccione est engagé par un théâtre turinois où il se fait remarquer en imitant les stars de l’époque comme Jerry Lewis et Clark Gable. Venu travailler à Paris, il fait les entractes de l’Olympia avec son groupe italien, le quatuor « Les Brutos ». Ils se produisent aux quatre coins de la planète.

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Entre quelques scopitones (ancêtres des clips) dont un tourné par son futur réalisateur, Claude Lelouch, et quelques émissions télé de variété, il crée un nouveau groupe parodique, « Les Tontos », qui se produit six ans d’affilée à l’Emporium de Barcelone. C’est en accompagnant Sacha Distel à Londres et à l’Olympia qu’il crée et popularise sa marque de fabrique : « Aldo la classe »

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En 1970, Claude Lelouch, amusé par sa démarche cambrée « empruntée » à Alberto Sordi, lui donne son premier rôle au cinéma dans Le Voyou. En 1972, il retrouve Claude Lelouch pour L’aventure c’est l’aventure où, aux côtés de vedettes comme Lino Ventura, Charles Denner et Jacques Brel, il fait une célèbre démonstration de groupe de sa démarche.

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Dans les années 1970, les rôles comiques se succèdent. Il apparaît dans le premier volet de la Septième Compagnie en 1973 (Henri Guybet reprendra son rôle dans les deux épisodes suivants), mais aussi aux côtés de Pierre Richard (Je suis timide mais je me soigne, C’est pas moi, c’est lui) ou Jean-Paul Belmondo (L’Animal).

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Les années 1980 s’avèrent glorieuses et il est une vedette qui permet à des comédies de se monter sur son seul nom. Il abandonne son personnage d’« Aldo la classe » à la fin des années 1980 et a du mal à donner un nouveau souffle à sa carrière, faisant néanmoins quelques apparitions dans des films ou téléfilms.

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En 2005, il apparaît dans le film français Travaux, on sait quand ça commence… aux côtés de Carole Bouquet et Jean-Pierre Castaldi, dans le rôle d’un carreleur un peu trop imbu de sa personne.

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Il vit désormais à Saint-Paul-de-Vence dans les Alpes-Maritimes.

 

À partir du 29 janvier 2010, il participe à la troisième saison de La Ferme Célébrités en Afrique qu’il quitte le 5 février 2010, pour cause de problèmes de santé.

 

Le 5 juin 2015, le journaliste et réalisateur Gilles Botineau publie aux Éditions Christian Navarro une biographie entièrement consacrée au comédien. L’ouvrage, titréAldo Maccione, la classe , est préfacé par Claude Lelouch.

 

Sources Wikipedia

https://radiosatellite.online/lire?id=55