Brigitte Bardot


Brigitte Bardot (également connue sous les initiales de « BB »), née le 28 septembre 1934 à Paris, est une actrice française de cinéma, mannequin, chanteuse et militante des droits des animaux.

Figure féminine des années 1950-1970, elle est une star mondiale, l’égérie et la muse de grands artistes de l’époque. Emblème de l’émancipation des femmes et de la liberté sexuelle, elle incarne des rôles de femme libérée, anticonformiste et parfois fatale.

Elle tourne avec plusieurs grands cinéastes, interprétant des personnages à l’élégante légèreté et à la sensualité photogénique. Elle devient rapidement un sex-symbol et acquiert une renommée internationale. Avec à son actif 45 films et plus de 70 chansons en près de vingt et un ans de carrière, Brigitte Bardot est l’une des artistes françaises les plus célèbres au monde.

En 1973, elle met un terme à sa carrière d’actrice pour se consacrer à la défense des droits des animaux, notamment avec la création de la Fondation Brigitte-Bardot.

Brigitte Bardot naît le 28 septembre 1934 au domicile de ses parents, 5, place Violet, dans le 15e arrondissement de Paris. Son père, Louis Bardot (1896-1975), est un industriel originaire de Ligny-en-Barrois, en Lorraine : issu « de la haute bourgeoisie catholique solidement implantée aux commandes de la Troisième République », il est le propriétaire des usines Bardot (appartenant aujourd’hui à Air liquide), dont le siège se trouve rue Vineuse, à Paris. Il descend aussi de la famille Oudinot dont est issu le maréchal d’Empire Nicolas-Charles Oudinot, duc de Reggio (1767-1847). Sa mère, Anne-Marie Mucel (1912-1978) est la fille du directeur d’une compagnie d’assurances, Isidore Léon Mucel (1881-1958). Artiste contrariée qui souhaitait être ballerine, sa mère, à qui elle dit « vous », reporte son ambition sur sa fille et la contraint à une discipline rigoureuse, n’hésitant pas à la gifler « si son corps s’affaisse », afin que sa disciple y gagne ce « port de tête altier », qui caractérisera l’actrice et sera perçu par certains comme de l’arrogance.

Dans son enfance marquée par une éducation très rigoureuse, Brigitte Bardot souffre d’une amblyopie, qui l’empêche de bien voir de son œil gauche. Elle étudie à l’Institut de la Tour, un établissement catholique situé au 86 de la rue de la Tour (16e arrondissement de Paris). Dissipée, elle souffre de la préférence de ses parents pour sa sœur cadette, Marie-Jeanne (dite « Mijanou », née le 5 mai 1938)13.

Elle se passionne pour la danse classique et fait ses premiers pas, à 7 ans, au cours de Marcelle Bourgat. En 1949, elle entre au Conservatoire de Paris et y obtient un premier accessit. Son père, dont un recueil de poèmes est primé par l’Académie française, est un passionné de cinéma et adore filmer : il existe ainsi de nombreux films de Brigitte enfant, ce qui est rare à cette époque. Hélène Lazareff, amie de sa mère et directrice de Elle et du Jardin des Modes, engage Brigitte Bardot en 1949 pour présenter la mode « junior ». À 15 ans, l’adolescente devient la « mascotte » du magazine Elle, dont elle fait la couverture dès 1949, sa silhouette élancée, la moue boudeuse et le regard sauvage enflammant la pellicule. Le réalisateur Marc Allégret, voyant une de ses photos sur le numéro du 8 mai 1950, demande à la rencontrer. Ses parents s’opposent à ce qu’elle devienne actrice, mais un de ses grands-pères la soutient dans son projet.

À l’audition, elle rencontre l’assistant d’Allégret, Roger Vadim, qui lui donne la réplique pour une scène du film Les Lauriers sont coupés. Le film ne se fait pas, mais ils tombent amoureux. Ses parents s’opposent à cette relation, désespérée la jeune femme fait une tentative de suicide. Son père consent alors à ce qu’elle l’épouse mais pas avant ses 18 ans ; ce qu’elle fait le 21 décembre 1952 deux mois après son dix-huitième anniversaire.

La vie privée de Brigitte Bardot fait l’objet d’une très forte médiatisation, notamment pendant sa carrière professionnelle. Disant avoir connu 17 hommes durant sa vie, elle se marie à quatre reprises.

Pour ses 18 ans, comme il le lui avait promis pendant son adolescence, son père l’autorise à se marier avec Roger Vadim. Le mariage est célébré à l’église Notre-Dame-de-Grâce de Passy (16e arrondissement de Paris) le 21 décembre 1952. Mais lors du tournage de Et Dieu… créa la femme, en 1956, elle tombe amoureuse de son partenaire, Jean-Louis Trintignant. Elle éprouve dès lors davantage d’amitié que d’amour pour Roger Vadim, qui réalise avec difficulté les scènes d’amour entre elle et Trintignant. Ce dernier quitte sa femme, Stéphane Audran, pour vivre avec Brigitte Bardot, qui fait de même avec Vadim. Elle écrit plus tard : « J’ai vécu avec lui la période la plus belle, la plus intense, la plus heureuse de toute cette époque de ma vie ». En 1957, alors qu’il effectue son service militaire, Jean-Louis Trintignant met un terme à leur relation, découvrant que Brigitte Bardot a une liaison avec Gilbert Bécaud ; brève liaison, précédant celle tout aussi éphémère avec Sacha Distel.

Brigitte Bardot et Sami Frey à Saint-Tropez en 1963.

Le 18 juin 1959, elle se marie avec Jacques Charrier, qu’elle a rencontré sur le tournage de Babette s’en va-t-en guerre. Apprenant peu après qu’elle est enceinte, ne désirant pas d’enfant et effrayée à l’idée d’être mère, elle envisage un avortement (précédemment par deux fois enceinte de Vadim, elle eut recours à l’IVG), mais aucun médecin n’accepte d’interrompre sa grossesse. Le 11 janvier 1960, elle donne naissance à l’unique enfant de sa vie, Nicolas Charrier. Les conditions de son accouchement dans son appartement du 71 avenue Paul-Doumer dans le 16e arrondissement de Paris sont particulièrement difficiles, le logement étant notamment barricadé pour échapper à l’objectif des journalistes. Elle déclare par la suite : « Ma grossesse était neuf mois de cauchemar. C’était un peu comme une tumeur qui s’était nourrie de moi, que j’avais portée dans ma chair tuméfiée, n’attendant que le moment béni où l’on m’en débarrasserait enfin ». Elle ajoute (peu après dans un entretien) : « J’aurais préféré accoucher d’un petit chien ».

Le couple divorce le 30 janvier 1963, Brigitte Bardot entretenant une relation avec Sami Frey depuis le tournage de La Vérité (1960). Elle affirme : « Sami, un être rare, sensible, angoissé et érudit qui resta longtemps l’homme de ma vie ». Frey ayant mis un terme à leur histoire à l’été 1963, Brigitte Bardot a une aventure avec le musicien brésilien Bob Zagury.

En mai 1966, elle rencontre Gunter Sachs, qu’elle épouse le 14 juillet à Las Vegas. Rentré en France après un voyage de noce à Tahiti, l’actrice refuse de vivre dans l’appartement de son époux. Bardot tourne À cœur joie, Gunter veut produire un film et le présenter au Festival de Cannes ; les organisateurs acceptent à la condition que l’actrice soit présente, ce qu’elle refuse dans un premier temps. Afin d’éviter un divorce, elle consent à participer à l’évènement, où elle remet une récompense à Michel Simon. La star ne reviendra jamais à Cannes. L’entente du couple ne cesse alors de se détériorer. En parallèle, elle interprète la chanson Harley-Davidson (1967), composée par Serge Gainsbourg, dont elle devient la muse et avec qui elle entame une relation extra-conjugale qu’elle qualifie d’« immense passion ». Mais pour essayer de sauver son mariage avec Gunter Sachs, elle demande à Gainsbourg de ne pas sortir Je t’aime… moi non plus et chante pour lui Bonnie and Clyde ou encore Comic Strip. Brigitte Bardot tourne en Espagne, Gunter l’accompagne. Leur réconciliation ne dure qu’un temps et l’un et l’autre enchaînent les aventures extra-conjugales. Ils divorcent trois ans après leur mariage, le 1er octobre 1969.

Par la suite, elle noue une relation avec Patrick Gilles, puis avec Christian Kalt, Laurent Vergez, Mirko Brozek et Allain Bougrain-Dubourg. En 1992, lors d’un dîner organisé par son avocat, Jean-Louis Bouguereau, à Saint-Tropez, elle fait la connaissance de Bernard d’Ormale, industriel et conseiller de l’homme politique Jean-Marie Le Pen, « un coup de foudre mutuel » écrit-elle plus tard ; ils se marient le 16 août 1992.

C’est en 1962 que Brigitte Bardot engage son premier combat pour la cause animale, en militant pour le pistolet d’abattage indolore dans les abattoirs. En effet, après avoir vu des photos montrant les conditions dans lesquelles les animaux étaient abattus, elle décide de devenir pescétarienne. À sa demande, Pierre Desgraupes accepte de lui accorder — malgré ses réserves, trouvant que le statut de sex-symbol de la star correspond mal à un sujet aussi dur et si peu médiatique — un entretien dans son émission Cinq colonnes à la une, où elle inaugure la rubrique Avocat d’un soir. L’actrice apparaît en direct dans cette émission et affiche une réelle maitrise du sujet le 9 janvier1962. Conséquence du « plaidoyer » de l’actrice, Roger Frey, alors ministre de l’Intérieur, lui accorde une entrevue, où elle se rend avec trois exemplaires de pistolets d’abattage destinés à assommer le gros bétail, afin que la mort lente et consciente par saignement soit abolie dans la plupart des cas, grâce à la projection d’une flèche dans le cerveau qui paralyserait les centres nerveux, qu’elle abandonne sur le bureau du ministre avant de se retirer. La presse donne une large couverture à ce qu’elle nomme alors le « pistolet de Brigitte Bardot », présenté comme procurant à l’animal une mort instantanée et sans qu’il ait le temps de ressentir de la douleur. Le pistolet d’abattage sera généralisé dans tous les abattoirs conventionnés de France en 1972

Source WIKIPEDIA

Photos : Google / Paris Match / Voici / Femme Actuelle / Al Chabaka

CLAUDIA CARDINALE


Claudia Cardinale est une actrice et mannequin italienne francophone, née le 15 avril 1938 à Tunis (Tunisie).

Véritable sex-symbol des années 1960, elle a joué dans de nombreux films à succès, notamment dans les films Le Pigeon (1958), Le Guépard (1963) et Il était une fois dans l’Ouest (1968).

Claudia Cardinale3 RadioSatellite

Claude Joséphine Rose Cardinale est née à Tunis à l’époque du protectorat français, dans un immeuble de l’avenue Jules-Ferry (aujourd’hui avenue Habib-Bourguiba), le « Foyer du combattant », derrière le quartier de la Petite Sicile. Son père, François, est ingénieur à la compagnie des chemins de fer de Tunis. Elle est l’aînée d’une fratrie de quatre enfants avec Blanche, Bruno et Adrien élevés par sa mère Yolande Greco. Ses grands-parents paternels et maternels sont originaires de Sicile.

Garçon manqué et enfant sauvage, elle est fascinée comme beaucoup d’adolescentes de sa génération, par Brigitte Bardot. Elle étudie au lycée Cambon, rue de Marseille. Le sicilien est la langue parlée dans sa famille et le français la langue apprise pendant sa scolarité, de sorte que, bien qu’étant de nationalité italienne, elle n’apprend l’italien qu’à l’âge adulte, afin de pouvoir tourner.

Ses premiers contacts avec le cinéma ont lieu en 1955 à Venise, durant la Biennale, au cours d’un voyage qui lui a été offert après qu’elle a gagné, à 17 ans, l’élection de « la plus belle Italienne de Tunis », concours de beauté organisé par l’office du cinéma italien. Cependant, désirant être institutrice, elle décline toutes les propositions qui lui sont faites et ne fait qu’une brève apparition dans un court métrage, Anneaux d’or de René Vautier. Violée à l’âge de 19 ans, elle refuse de se faire avorter et c’est ce qui la pousse à s’engager dans le cinéma pour gagner sa vie et être indépendante dans le but de pouvoir élever son fils Patrick.

Ses véritables débuts dans un long métrage se font en 1958 dans Goha de Jacques Baratier et surtout Le Pigeon de Mario Monicelli, sous l’égide du producteur Franco Cristaldi, qu’elle épouse en 1966.

Dans les années 1960, on la retrouve à l’affiche de nombreux succès critiques et publics. De célèbres et nombreux réalisateurs tiennent à sa présence devant leurs caméras. Ce sont notamment Mauro Bolognini, Abel Gance, Luchino Visconti, Henri Verneuil, Philippe de Broca, Luigi Comencini, Federico Fellini, Blake Edwards, Henry Hathaway et Sergio Leone. Avec le drame La Fille à la valise de Valerio Zurlini, elle devient la petite fiancée de l’Italie.

À cause de sa voix rauque et de son italien alors approximatif, l’actrice est systématiquement doublée dans ses films, jusqu’à Huit et demi.

Sur le tournage, Claudia Cardinale parle le français dans les scènes avec Alain Delon, l’anglais avec Burt Lancaster et l’italien dans ses autres scènes.

Ces doublages ont eu une conséquence négative au début de sa carrière, car pour le film La Fille à la valise, elle reçoit le ruban d’argent de la meilleure actrice, qui lui est aussitôt retiré, le jury s’étant rappelé après coup que le règlement interdit aux lauréats d’être doublés.

Sa présence aux côtés d’Alain Delon dans Rocco et ses frères et dans Le Guépard de Visconti, et aux côtés de Jean-Paul Belmondo dans Cartouche la font connaître du public français, alors que le succès aux États-Unis et la renommée internationale lui viennent en 1963 avec Huit et demi de Federico Fellini puis, en 1964, avec Le Plus Grand Cirque du monde d’Henry Hathaway ; ils se confirment en 1968 par Il était une fois dans l’Ouest de Sergio Leone. 

Les années 1970 et 1980 la voient alterner les rôles : réalisations italiennes avec Marco Ferreri, Luigi Comencini, Franco Zeffirelli, Marco Bellocchio,

Luchino Visconti (sous la direction duquel elle a joué quatre fois) et surtout avec son compagnon (à partir de 1974), le réalisateur et scénariste Pasquale Squitieri ; réalisations françaises avec Christian-Jaque, José Giovanni, Michel Lang, Nadine Trintignant, Diane Kurys ou Robert Enrico ; réalisations internationales avec Jerzy Skolimowski, Mikhaïl Kalatozov, George Cosmatos, Alan Bridges, Werner Herzog ou Blake Edwards.

Sur le tournage difficile des Aventures du brigadier Gérard, elle empêche le renvoi du réalisateur polonais Jerzy Skolimowski en menaçant de quitter le film.

Durant les années 1970, elle se prête aussi à une parenthèse discographique qui lui vaut des succès discos en Europe et au Japon avec plusieurs passages télévisés et une large diffusion sur les ondes des radios périphériques en France de titres comme Love affair (classé no 16 au hit-parade), et Sun… I love you en 1977 et en 1978.

À partir de la fin des années 1990, Claudia Cardinale réduit le nombre de tournages de films pour se consacrer davantage au théâtre ou à l’écriture.

Claudia Cardinale2 RadioSatellite

Dans les années 2000, elle monte sur scène à Paris, interprétant, en 2000, La Vénitienne (anonyme du xvie siècle) et Doux oiseaux de jeunesse de Tennessee Williams en 2005.

En 1993, elle est membre du jury de la sélection officielle au Festival de Cannes. Par ailleurs, à la Mostra de Venise 1993, elle reçoit un lion d’or saluant sa contribution au patrimoine cinématographique mondial. Cette année marque le début d’une succession de récompenses saluant l’ensemble de sa carrière cinématographique.

L’Italie continue à la saluer : elle reçoit en 1997 un David di Donatello, en 1998 un Flaiano International Prizes, en 2000 le ruban d’argent d’honneur du Syndicat national des journalistes cinématographiques italiens.

Claudia Cardinale RadioSatellite

Elle enchaîne avec des prix européens : en 2002, l’ours d’or d’honneur au Festival de Berlin mais aussi le prix Platinum du Viareggio EuropaCinema. En 2003, elle est lauréate du prix des acteurs européens au Festival du Film de Ludwigsburg.

Puis c’est la France qui prend le relais : en 2006, elle est lauréate du prix Henri-Langlois de Vincennes puis en 2008 reçoit l’ordre national de la Légion d’honneur. En 2013, à la 18e cérémonie des prix Lumières 2013, elle est lauréate du prix pour l’ensemble de sa carrière. Son pays d’origine suit rapidement : en 2009, elle reçoit les insignes du grand cordon de l’ordre national du Mérite (Tunisie).

Jusqu’en 2015, elle reçoit une dizaine d’autres récompenses dans des festivals internationaux à travers le monde.

Elle continue de tourner, mais dans des productions beaucoup moins exposées médiatiquement, et souvent pour des seconds rôles..

Après un viol, elle donne naissance discrètement à Londres à un garçon, Patrick, le 19 octobre 1958, alors qu’elle est âgée de 20 ans. Son producteur, Franco Cristaldi, lui conseille de le faire passer pour son petit frère pour ne pas contrarier sa carrière. Alors que son fils a 6 ou 7 ans, elle révèle ce secret pesant à un journaliste.

Le père lui aurait envoyé de nombreuses lettres, toutes déchirées par Cristaldi sans qu’elle ne  le sache, et souhaitera des années plus tard le reconnaître, ce que Patrick refusera.

Après un mariage malheureux de 1966 à 1975 avec Cristaldi (lequel a adopté Patrick) qui organise lui-même la cérémonie sans l’avertir, elle est la compagne de 1974 à 2011 du réalisateur Pasquale Squitieri (1938-2017), avec lequel elle a une fille, Claudia. Celle-ci aura un fils, Milo, avec l’artiste plasticien Samon Takahashi.

Les rumeurs sur sa relation avec Rock Hudson à l’époque sont en réalité fausses, l’actrice révèle plus tard avoir fait croire à cela pour protéger la carrière de l’acteur, à une époque où l’homosexualité était plutôt mal perçue.

Elle a toujours adopté des positions politiques marquées par des idées progressistes. Femme de gauche, elle est engagée depuis longtemps dans la lutte contre le sida, dans la défense des droits des femmes et des homosexuels. Elle a apporté sa contribution à nombre de causes humanitaires. En 1999, l’UNESCO l’a désignée « ambassadrice de bonne volonté ».

« J’ai été une star, très jeune. Je n’ai pas de mérite, le destin en a décidé ainsi. Une étoile a toujours veillé sur moi. »

En 2009, elle publie « Ma Tunisie » aux éditions Timée, un livre de photos sur les traces de son enfance tunisienne.

En 2014, elle est membre du comité de soutien à la candidature d’Anne Hidalgo à la mairie de Paris.

Le 29 mars 2017, elle est désignée comme l’égérie des 70 ans du Festival de Cannes en figurant sur l’affiche du festival. Les retouches apportées à la photographie, qui ont pour objet de la mincir davantage, suscitent une controverse relative aux canons de beauté féminin dans le cinéma et la communication, que Claudia Cardinale finit par écarter en la qualifiant de fausse polémique

sources : Wikipedia + Divers